Le Con du Jour

Tu veux te battre ?

C'est pas si grave que ça cette formule, dans le sens où son intention n'était pas d'insulter les autistes ... mais ça témoigne quand même d'un état d'esprit qui date du siècle dernier ...il aurait dû savoir qu'aujourd'hui on ne peut plus dire ça ..il aurait dû concevoir que ça blesserait autistes ou parents d'autistes ... en fait ça montre bien qu'il méconnaît le monde dans lequel il vit... mais ni plus ni moins que les autres candidats

voilà... c'est l'ignorance érigée en expression, le rienàfoutrisme habituel, quoi...

Pas mieux.

Pour conclure:

C'est à dire?

Bien sur que les autistes sont plus ou moins gravement déconnecté du monde qui les entourent, ce n'est pas une insulte que d'utiliser cette formule qui est de toutes façons imagée. La y'a toute la team 1er degrès qui lui tombe dessus, c'est ridicule, comme dit plus haut, il aurait dit "je suis pas sourd" ou "je suis pas aveugle" ça aurait fait le même tollé.

on lui fait un un procès d'intention car ça vient de lui et que le mec est detestable pour des actions qui n'ont rien à voir, n'importe qui d'autre aurait prononcé cette phrase, personne aurait relevé.

"Rien à foutre" LE slogan de ces élections !

je me suis permis de corriger, #PRAFiste2017
sources
http://www.lepoint.fr/politiqu(...)0.php

http://lelab.europe1.fr/tweetf(...)97200


Le con de la décénnie

http://www.dhnet.be/regions/to(...)b532a

quel horreur !

Alors que des solutions existent



d'ailleurs ça m'étonne que tu ne connaisse pas ça Manu, c'est plutôt ton rayon d'habitude

Putain du liquide vaisselle quoi
Il n'y avait plus de beurre dans le frigo?

Réponse typique de l'individu qui n'a pas la moindre notion de se que recouvre l'autisme et la complexité de le définir tellement le spectre est large.

A partir d'aujourd'hui, je dirai "j'ai compris, je ne suis pas numero27".

c'est vrai que pour le quidam (comme moi), un autiste c'est Rain Man, John Nash dans un homme d'exception ou encore le gars dans "le goût des merveilles" (bluette avec "Virginie Efira" et un "Asperger").

Maintenant, est-il possible de parler d'autisme au cinéma sans tomber dans le cliché et en maintenant un enjeu scénaristique intéressant autour du syndrome du personnage?