"En effet, en 2011, il a été démontré que des rats infectés montraient des signes d'excitation sexuelle après avoir reniflé de l'urine de chat au lieu des signes de peur détectés chez les individus sains. Ainsi, les rats infectés ont tendance à rechercher la présence de chats au lieu de la fuir (ces derniers étant des prédateurs), ce qui favorise la transmission du parasite à l'hôte définitif. De même, une étude publiée en février 2016 montre que cette manipulation parasitaire affecte également les chimpanzés, qui acquièrent suite à l'infection une attirance à l'égard de l'urine du léopard, prédateur naturel et hôte définitif de T. gondii. Cette étude amène à repenser les différences de comportement observées chez les humains porteurs du parasite".
Nuances.
Une planche d'acajou et un bon ampli.