JulosImac a écrit :
Dans le numéro 369 de juin d'Alternatives Économiques, j'ai trouvé un article assez éclairant sur une expérience d'une "petite main" dans les start-ups.
Il faut que je lise ce livre,
"Bienvenue dans le nouveau monde. Comment j'ai survécu à la coolitude des start-ups", paru chez Premier Parallèle. Son auteur, Mathilde Ramadier a travaillé dans plusieurs de ces boîtes à Berlin.
Rien d'étonnant dans les propos de la dame. Mais j'ai aussi l'impression qu'elle se plante un peu dans le discours (en tous ces sur les extraits que tu cites) : si tu veux une situation pérenne, avec des conditions de travail "classiques" (y compris une hiérarchie organisée et formée), postuler dans une start-up est un peu le truc à ne pas faire. Alors juger là-dessus, c'est un peu schizophrène.
De toute façon, j'ai 'impression que le mot "start-up" n'est presque plus utilisé dans le monde professionnel : je constate autour de moi une sorte de rejet de ce terme, car il est en effet très connoté "nouvelles technos + petites équipes + coolitude + résultats plus qu'aléatoires".
Peut-être que Blow Up peut être rassuré pour le coup.