Où acheter un banjo sur Paris ?

Bonjour à tous,

Question simple : Où acheter un banjo sur Paris ?

Je précise que mon budget est serré (200 € maximum) et que je cherche un magasin sur Paris où je puisse l'acheter et non un site internet. C'est un cadeau pour un guitariste dans le but qu'il puisse s'amuser/débuter.

Je vous remercie par avance de vos réponses et m'excuse si un sujet similaire à déjà été traité.

Guitaristiquement

Tu veux quel banjo ?
Un banjo 5 cordes (celui avec une mécanique au milieu du manche), le banjo "américain", celui qu'on joue presque exclusivement avec 3 onglets métalliques ?
Open–back ou closed–back ?

Le "vrai", quoi , celui du "three fingers style" à la Earl Scruggs ou Bela Fleck.

Quoi qu'il en soit, pour 200 € ça risque d'être chaud pour trouver un instrument à peu près correct sur ce segment des 5 cordes, par exemple.
En neuf, il vaudrait mieux viser entre 250 et 300 €, en Gretsch, Ibanez, ou les Fender qui sont souvent très bons.
Regarde, par exemple, le catalogue de Michenaud sur le Net (3 pages sur les banjos 4, 5 et 6 cordes ; je viens rapidement de le consulter avec celui de Woodbrass ; je n'ai pas regardé le ThomThoTho...).

Essaie la boutique de François Charle, galerie Véro-dodat dans le 1er, a défaut de trouver dans tes prix, tu auras peut-être de bons conseils et des adresses pour de l'entrée de gamme.

Oui, François C. peut sans doute être de bon conseil.
Peut-être...

Mais l'entrée de gamme, pour un 5 cordes, à moins de 200 €, je n'y crois guère...... Notamment, après avoir consulté au moins le site de Michenaud qui doit donner quand même un aperçu relativement fidèle du marché.

A Woodbrass tu as un Epiphone dans les 250 euros, sinon François Charle ne fait que dans la haut de gamme et de plus il est cher.

On est bien d'accord, un banjo (à ..... cordes ???) à moins de 200€, ça paraît coton–coton.
François C. ? On est encore d'accord. Mais ce qu'il vend c'est sans (mauvaise) surprise.
Et puis attendre qu'il dirige quelqu'un vers des entrées de gamme de la grande distribution, ça je ne sais pas.

Sans mauvaise surprise, pas toujours !

J'étais intéressé par une Gretsch country club de 59, belles photos sur le site, mais après essai, le vernis était collant comme s'il n'avait pas séché, de plus la mécanique mi grave se désaccordait constamment.

Une Guild x500 il me semble avait retenu aussi mon attention, mais elle frisait de partout et le tirant de cordes était vraiment trop souple pour ce genre de guitare à mon avis.

Par contre les autres guitares étaient nickels et on a affaire à des connaisseurs, de plus aucun problèmes pour essayer les guitares tranquillement.

Merci pour vos réponses. J'ai reçu les mêmes recommandations de la part des luthiers : le banjo attendra

Ouais ça, ça te gâche la journée.
Et le gars François y faisait quand même pas l'aveugle devant les talents de coiffeuse de la Gretsch ???

Autrement, on trouve quand même deux ou trois bons morceaux de gras, avec du l'art autour, sis au Passage Véro–Dodat.

Et puis, c'est tellement beau comme passage, entre les rues de Paris, à l'ombre de Walter Benjamin.

Tu connais aussi des passages du guide touristique par coeur ?

Rapideyemove, tu es plus pratique que le Reader's Digest !

J'ai pas compris rapideyemove, désolé :pleurs:

Je suis comme les vaches, je digère la cellulose.

Pour les guides, non merci, sans façon.
Je marche dans mes pas, et à côté.
En somme, la ruse la plus efficace que j'ai trouvée pour me suivre à la trace.

J'aime les passages quels qu'ils soient. Véro–Dodat comme Burlington Arcade, par exemple.
Et c'est tout.

Enfin, Walter Benjamin ce n'est ni le Baedeker ni le Michelin.
Mais tu le savais déjà, à n'en pas douter (Ou jette un œil sur le post suivant).

Impair et manque, je passe mon tour.

Pour la Gretsch, les frisures et la coiffeuse ? (plus, en passant, un jeu de mots forcément très moyen, «beim Friseur» : "chez le coiffeur", en allemand)

Ou pour Walter Benjamin ?





http://www.liberation.fr/cahie(...)48015

« Les passages : des immeubles, des galeries qui n’ont pas de face extérieure. Comme le rêve...»
(Walter Benjamin, Paris, Le Livre des Passages.)

Ok, j'avais pas saisi !