StratChild a écrit :
Citation:
Dis-donc, t'aurais pas déjà essayé, par le passé, de me soudoyer pour lâcher ma fée verte ?
Je peux parfois être insistant...voir coriace
la description qu'a fait Kyle de l'Italian correspond à ce que je cherche dans une wha...gros fan des 70s Uli Roth, Schenker et compagnie je me dois de la tester un jour je l'aurais comme dirait l'autre...
Bon j'ai commandé le True i-Care aussi...
Pour le reste, je n'ai pas vraiment en tête la description de Kyle pour l'Italian (vaguement, je crois « Band of Gypsies », et encore je ne suis pas sûr...).
Mais les seventies de
Herren Schenker und Roth, c'est point du tout mon truc, mon horizon
, et donc sûrement pas le rapport que j'aurais imaginé faire avec l'Italian.
Ce qui prouve bien la largeur d'inspiration de l'engin recréé par Master Chase.
Cela dit, un créateur auquel je ne suis pas indifférent, Billy Corgan, reste paraît–il un grand admirateur de Mister Uli...
Sait–on jamais ?
StratChild a écrit :
Les tests de la Purple sur basse étaient fait avec du matos "d'étude" dans un appart où on ne pouvait pas jouer à volume de répétition (et on jouait du jazz)... Le bassiste à quand même halluciné sur le rendu, moi j'ai adoré le Hi octave sur basse mais c'est assez typée... j'aimerais bien entendre ce que ça rend en situation de répète
(...)
Situation d'autant plus intéressante.
Ton retour sur les autres volumes live (répétition et scène) m'intéresse : ça peut être effectivement essentiel de comparer ces écoutes / situations de jeu : j'ai le même ampli de 500 W (et la même enceinte 2 x 12 / 600 W) pour la basse au salon ou en mode sauvage attentif ou montgolfière en vrille : il va de soi que les sensations, pressions, pulsations ne sont pas totalement identiques
.
Par exemple, le compresseur optique/tube que j'utilise régulièrement avec la basse (Effectrode PC 2A), est très bien en bedroom / couch level, mais pas forcément indispensable ; en revanche, il est magistral et charnel en live, mode big-audio...
Je suis à peu près sûr qu'il en va de même avec un autre Chase tool, le
Secret Preamp autour duquel je tourne, depuis de trop longs mois, avec trop de prudence...
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.