je parlais effectivement de ma basse frettée bizzzarrre (je sais jamais si c'est double-z ou double-r, alors j'en mets partout).
le J : pas de souci, c'est un bridge monté en neck, donc il y avait de la marge pour incliner.
le P : pas de souci (translation)
le MM : j'ai dû faire un choix cornélien : respecter la position harmonique par rapport à la fraction de diapason au risque de ne pas tout couvrir, ou bien faire un compromis de couverture magnétique + un compromis de positionnement. comme je ne suis pas un homme de compromis, j'ai choisi la première option, qui s'avère significativement insuffisante quand le bouzin est switché en simple, et qui ne donne pas le meilleur non plus en parallèle ou en série. d'où le changement pour un micro plus long et à lames.
les choix que j'ai fait sur ce projet (la Rickenderman) sont pertinents à l'usage, mais perfectibles notamment la répartition de l'éventail sur la touche, et le choix des micros bien sûr.
la prochaine sera juste parfaite, mais... chuuut !
ah si, tiens, une question aux boiseux : quelle est d'après vous l'essence la plus rouge vif, dans les bois locaux voire exotiques ? (le premier qui me répond "le fioul domestique", je le brûle vif aussi ! )
"J'ai cru que tu faisais la gueule. Ou pire, que tu étais émotif."
Je suis l'un des bassistes de
PöWëR-4