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Telecaster MIJ 62 candy apple red

Rappel du dernier message de la page précédente :
rapideyemove
crowjane a écrit :
rapideyemove a écrit :


Bon, on s'en remettra, non ?



ce sera dur, mais oui on s'en remettra, avec une bonne psychanalyse de groupe ça devrait
aller


Et un bon deuil bio, élevé sous la mère, tu crois pas que ce serait moins cher qu'une psychanalyse, après ce terrible PTSD (Post-traumatic Stress Disorder) ???
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.
crowjane
t'as certainement raison, excuse moi avec tous ces événements j'ai plus ma tête

au fait on serait pas un peu hors sujet là
J'ai bon caractère mais j'ai le glaive vengeur et le bras séculier. L'aigle va fondre sur la vieille buse.
- C'est chouette ça, comme métaphore.
- C'est pas une métaphore, c'est une périphrase.
- Oh fait pas chier !
- Ça, c'est une métaphore.
rapideyemove
crowjane a écrit :
t'as certainement raison, excuse moi avec tous ces événements j'ai plus ma tête

au fait on serait pas un peu hors sujet là


Euh, tu crois qu'on nous écoute ? Qu'on nous filme ?
Ah ! Mais c'est que le Candy Apple Red me monte aux joues !
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.
crowjane
[quote[/quote]

Euh, tu crois qu'on nous écoute ? Qu'on nous filme ?
Ah ! Mais c'est que le Candy Apple Red me monte aux joues ! [/quote]

mais bien sur qu'on nous écoute, qu'on nous filme aussi bien sur, ta naïveté me navre,
que n'ai je été me fourrer dans cette sale affaire tout ça à cause de toi !!!

oui je sais je suis lâche sur ce coup là
J'ai bon caractère mais j'ai le glaive vengeur et le bras séculier. L'aigle va fondre sur la vieille buse.
- C'est chouette ça, comme métaphore.
- C'est pas une métaphore, c'est une périphrase.
- Oh fait pas chier !
- Ça, c'est une métaphore.
rapideyemove
crowjane a écrit :
rapideyemove a écrit :


Euh, tu crois qu'on nous écoute ? Qu'on nous filme ?
Ah ! Mais c'est que le Candy Apple Red me monte aux joues !


mais bien sur qu'on nous écoute, qu'on nous filme aussi bien sur, ta naïveté me navre,
que n'ai je été me fourrer dans cette sale affaire tout ça à cause de toi !!!

oui je sais je suis lâche sur ce coup là


Et tout ça à l'insu de notre plein gré ?!?!



PS :
Comment c'est y pas qu' c'est pas qu' tu fais tes quotes ??
Prends y donc el' bouton “Citer”, sur la page de lecture et pas le “Quote” sur la page d'écriture. Non mais !
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.
Iboost
adams-stokes a écrit :
MP


Merci pour votre absence de réponse en retour...

Avec les deux débiles au-dessus, toujours classe le forum guitariste...
Je pense pas que ça soit la meilleure méthode pour vendre
rapideyemove


Un des deux (et peut-être des trois) débiles vous salue, cher grand homme, et vous trouve, somme toute, bien léger pour les simples d'esprit que nous sommes, moi et Crowjane, au moins.

À la suite de cette sanction divine qui vient de nous tomber sur le museau, je devrais être en détresse, réduit au dernier désarroi.

Je devrais.

Oui, mais contre toute attente, je pouffe, me gausse, et m'esclaffe car je vous trouve vous, avec votre procédé, à plusieurs semaines de distance (voir pages 3 et 4), tout à fait délicieux (mais si, mais si, je vous assure), et sais gré au forum d'avoir eu l'occasion de nous révéler ainsi un prince de l'esprit et un titan de l'humour.

Mais les Dieux sont éprouvants pour les simples d'esprit.

Je vous laisse donc à votre silence et à votre invisibilité, aussi grande que l'est celle de votre pauvre guitare qui tarde à quitter vos mains jalouses.
La pauvre, c'est le mot.

Vous nous pardonnerez l'offense de n'être pas allés, à l'époque (enfin, cinq semaines, soit une éternité), plus loin en affaire avec Votre Sainteté à propos de cette Tele CAR quel qu'en fût le désir.
Et il était bien réel.

Ah, je me suis diverti, à vous tourner ainsi en mots mon absence de doléance, sans préfixe.

Bon, ce n'est pas la fanfare, non plus, mais le week-end commence plutôt pas mal.
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.
Iboost
rapideyemove a écrit :


Un des deux (et peut-être des trois) débiles vous salue, cher grand homme, et vous trouve, somme toute, bien léger pour les simples d'esprit que nous sommes, moi et Crowjane, au moins.

À la suite de cette sanction divine qui vient de nous tomber sur le museau, je devrais être en détresse, réduit au dernier désarroi.

Je devrais.

Oui, mais contre toute attente, je pouffe, me gausse, et m'esclaffe car je vous trouve vous, avec votre procédé, à plusieurs semaines de distance (voir pages 3 et 4), tout à fait délicieux (mais si, mais si, je vous assure), et sais gré au forum d'avoir eu l'occasion de nous révéler ainsi un prince de l'esprit et un titan de l'humour.

Mais les Dieux sont éprouvants pour les simples d'esprit.

Je vous laisse donc à votre silence et à votre invisibilité, aussi grande que l'est celle de votre pauvre guitare qui tarde à quitter vos mains jalouses.
La pauvre, c'est le mot.

Vous nous pardonnerez l'offense de n'être pas allés, à l'époque (enfin, cinq semaines, soit une éternité), plus loin en affaire avec Votre Sainteté à propos de Tele CAR quel qu'en fût le désir.
Et il était bien réel.

Ah, je me suis diverti, à vous tourner ainsi en mots mon absence de doléance, sans préfixe.

Bon, ce n'est pas la fanfare, non plus, mais le week-end commence plutôt pas mal.


Vous vous rendez compte à quel point votre manière d'écrire, faussement littéraire, est parfaitement ridicule ?
rapideyemove
Iboost a écrit :
rapideyemove a écrit :


Un des deux (et peut-être des trois) débiles vous salue, cher grand homme, et vous trouve, somme toute, bien léger pour les simples d'esprit que nous sommes, moi et Crowjane, au moins.

À la suite de cette sanction divine qui vient de nous tomber sur le museau, je devrais être en détresse, réduit au dernier désarroi.

Je devrais.

Oui, mais contre toute attente, je pouffe, me gausse, et m'esclaffe car je vous trouve vous, avec votre procédé, à plusieurs semaines de distance (voir pages 3 et 4), tout à fait délicieux (mais si, mais si, je vous assure), et sais gré au forum d'avoir eu l'occasion de nous révéler ainsi un prince de l'esprit et un titan de l'humour.

Mais les Dieux sont éprouvants pour les simples d'esprit.

Je vous laisse donc à votre silence et à votre invisibilité, aussi grande que l'est celle de votre pauvre guitare qui tarde à quitter vos mains jalouses.
La pauvre, c'est le mot.

Vous nous pardonnerez l'offense de n'être pas allés, à l'époque (enfin, cinq semaines, soit une éternité), plus loin en affaire avec Votre Sainteté à propos de cette Tele CAR quel qu'en fût le désir.
Et il était bien réel.

Ah, je me suis diverti, à vous tourner ainsi en mots mon absence de doléance, sans préfixe.

Bon, ce n'est pas la fanfare, non plus, mais le week-end commence plutôt pas mal.


Vous vous rendez compte à quel point votre manière d'écrire, faussement littéraire, est parfaitement ridicule ?


Après la débilité, le ridicule .

Je ne me tue pas.
Et j'aime l'horreur d'être ridicule, jusqu'à la suffisance, puisqu'il s'agit bien de cela, de rire, et d'en rire, si Mallarmé pouvait encore me parodier,
et moi me taire,
m'être tu.

Bref, ta perspicacité m'aura encore mis à jour, trahi.

Au plus vrai, j'aime tes jugements, petit Scarabée , même si nous sommes loin de Shaolin, sur cette sente étroite du bout du monde.

Comment pourrais–je être Faux si je suis Parfait ?

Ah, mazette, ces adverbes, et ma tête, à l'envers !
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.
Iboost
rapideyemove a écrit :
Iboost a écrit :
rapideyemove a écrit :


Un des deux (et peut-être des trois) débiles vous salue, cher grand homme, et vous trouve, somme toute, bien léger pour les simples d'esprit que nous sommes, moi et Crowjane, au moins.

À la suite de cette sanction divine qui vient de nous tomber sur le museau, je devrais être en détresse, réduit au dernier désarroi.

Je devrais.

Oui, mais contre toute attente, je pouffe, me gausse, et m'esclaffe car je vous trouve vous, avec votre procédé, à plusieurs semaines de distance (voir pages 3 et 4), tout à fait délicieux (mais si, mais si, je vous assure), et sais gré au forum d'avoir eu l'occasion de nous révéler ainsi un prince de l'esprit et un titan de l'humour.

Mais les Dieux sont éprouvants pour les simples d'esprit.

Je vous laisse donc à votre silence et à votre invisibilité, aussi grande que l'est celle de votre pauvre guitare qui tarde à quitter vos mains jalouses.
La pauvre, c'est le mot.

Vous nous pardonnerez l'offense de n'être pas allés, à l'époque (enfin, cinq semaines, soit une éternité), plus loin en affaire avec Votre Sainteté à propos de cette Tele CAR quel qu'en fût le désir.
Et il était bien réel.

Ah, je me suis diverti, à vous tourner ainsi en mots mon absence de doléance, sans préfixe.

Bon, ce n'est pas la fanfare, non plus, mais le week-end commence plutôt pas mal.


Vous vous rendez compte à quel point votre manière d'écrire, faussement littéraire, est parfaitement ridicule ?


Après la débilité, le ridicule .

Je ne me tue pas.
Et j'aime l'horreur d'être ridicule, jusqu'à la suffisance, puisqu'il s'agit bien de cela, de rire, et d'en rire, si Mallarmé pouvait encore me parodier,
et moi me taire,
m'être tu.

Bref, ta perspicacité m'aura encore mis à jour, trahi.

Au plus vrai, j'aime tes jugements, petit Scarabée , même si nous sommes loin de Shaolin, sur cette sente étroite du bout du monde.

Comment pourrais–je être Faux si je suis Parfait ?

Ah, mazette, ces adverbes, et ma tête, à l'envers !



Mallarmé ? Vraiment ?...
rapideyemove
Iboost a écrit :

Mallarmé ? Vraiment ?...


Et

松尾 芭蕉 ..... aussi,

qui l'était tout autant que Stéphane, avec sa propriété :

奥の細道 / おくのほそ道

.

Bref, je n'en perds pas une goutte .
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.
tiep
  • #29
  • Publié par
    tiep
    le 07 Jun 15, 10:06
rapideyemove a écrit :


Bref, je n'en perds pas une goutte .


C'est salace...
megatiep
hercule01
rapideyemove a écrit :
Iboost a écrit :
rapideyemove a écrit :


Un des deux (et peut-être des trois) débiles vous salue, cher grand homme, et vous trouve, somme toute, bien léger pour les simples d'esprit que nous sommes, moi et Crowjane, au moins.

À la suite de cette sanction divine qui vient de nous tomber sur le museau, je devrais être en détresse, réduit au dernier désarroi.

Je devrais.

Oui, mais contre toute attente, je pouffe, me gausse, et m'esclaffe car je vous trouve vous, avec votre procédé, à plusieurs semaines de distance (voir pages 3 et 4), tout à fait délicieux (mais si, mais si, je vous assure), et sais gré au forum d'avoir eu l'occasion de nous révéler ainsi un prince de l'esprit et un titan de l'humour.

Mais les Dieux sont éprouvants pour les simples d'esprit.

Je vous laisse donc à votre silence et à votre invisibilité, aussi grande que l'est celle de votre pauvre guitare qui tarde à quitter vos mains jalouses.
La pauvre, c'est le mot.

Vous nous pardonnerez l'offense de n'être pas allés, à l'époque (enfin, cinq semaines, soit une éternité), plus loin en affaire avec Votre Sainteté à propos de cette Tele CAR quel qu'en fût le désir.
Et il était bien réel.

Ah, je me suis diverti, à vous tourner ainsi en mots mon absence de doléance, sans préfixe.

Bon, ce n'est pas la fanfare, non plus, mais le week-end commence plutôt pas mal.


Vous vous rendez compte à quel point votre manière d'écrire, faussement littéraire, est parfaitement ridicule ?


Après la débilité, le ridicule .

Je ne me tue pas.
Et j'aime l'horreur d'être ridicule, jusqu'à la suffisance, puisqu'il s'agit bien de cela, de rire, et d'en rire, si Mallarmé pouvait encore me parodier,
et moi me taire,
m'être tu.

Bref, ta perspicacité m'aura encore mis à jour, trahi.

Au plus vrai, j'aime tes jugements, petit Scarabée , même si nous sommes loin de Shaolin, sur cette sente étroite du bout du monde.

Comment pourrais–je être Faux si je suis Parfait ?

Ah, mazette, ces adverbes, et ma tête, à l'envers !


Cela nous change du participe passé avec unr que l'on croise aux quatre coins du forum et de la plume onomatopéique smsesque.
J'adore!

Mais où te cachais-tu rapideyemove?
Clip de mon groupe Triptyque
https://youtu.be/ztcqWq84pXA

Twitter:@triptyque11
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