Un fiscaliste hors-pair, doublé d’un flexible sécuritaire, pointilleux et aguerri, pour ne rien dire de son adolescence...
Enfin, les signaux et l’organisation labyrinthiques dans ses temples gigantesques où l’on perd ses pas, l’appétit et son latin, volvo Volvo.
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.