Christmas carol que je me tiens au chaud, depuis un peu plus de deux ans.
Et qui s’est répandu depuis lors, pour le meilleur ou le pire, comme on dit à l’accoutumée.
Pour comprendre un peu mieux ce que faisait la petite Kaylee Rodgers, avec ses dix ans et ses jeunes collègues à la Killard House School de Donaghadee, à cette époque, en décembre 2016, il faudrait du discours et du discours, et un peu d’ennui, ou d’école.
Plus la patience pour ça.
Ni l’ingénuité.
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.