Livres sur le Punk, ses racines, ses groupes emblématiques

Voilà,

On a commencé une petite conversation sur le topic du Velvet Underground sur les bios de groupe Punk, Proto Punk, New Wave, Cold Wave.

Ce topic leur est dédiés.

Je trovue ces bouquins généralement passionnant même pour quelqu'un nétant pas fan de punk. En effet on y apprend une époque, un mode de vie, une rebellion, finalement c'est aussi d'économie et de crise dont on parle dans ces bouqins.

Voici ceux que j'ai lu et dont je peux parler :

Destroy, l'Histoire définitive du Punk par Alvin Gibbs
Punk!, Les Sex Pistols, Le Clash et l'explosion Punk par Blum
The Velvet Unerground Up-Tight par plein de monde lol (je suis en plein dedans).
Un petite bio de Police qui était à ses débuts apparenté au mouvement New Wave auquel on fait du coup fréquemment allusion.

Voilà j'attend vos avis, vos coups de coeurs etc ...

haha j'arrive

donc Please Kill Me, c'est la bible du punk qui part de ses racines, raconté sous forme d'interview de ses acteurs (Iggy, Reed, Patti Smith, Tom Verlaine, David Johansen...)

Et justement ca commence avec 50 bonnes pages sur le Velvet, puis ca enchaine sur la scene de Detroit, puis New York et Londres, c'est enorme! tu lis les 600 pages en 3 jours...

Bon ben je crois que se sera le prochain alors !!!

Plus je me plnge dans ce genre de bouquin plus je trouve qu'ils manquent de détails !!! Alors 600 pages me ferait plaisir.

Pour enr evenir à ma Bio du Velvet c'est un avantage, elle fait pas loin de 300 pages il me semble mais avec très très peu d'illustrations genre toutes les 5/6 pages.
Au final ça fait un bon volume de lecture mais c'est assez difficile a digérer niveau lecture. Plus de 50 pages d'affilé et je souffre de l'envie de relire ce que je viens de lire de peur d'avoir raté une anecdote ou un détail.

Greil Marcus, Lipstick Traces, finalement pas si terrifiant qu'on le fait croire, plutôt brouillon et pas toujours évident (grosses digressions). Mais vraiment intéressant.

Le gros avantage de Please Kill Me c'est que ce sont les acteurs qui parlent, c'est juste des témoignages : on a l'histoire du Punk dans les mains, brute, sans commentaires inadéquats.

Nick Cohn, Owapbaploupbap Owapbamboum, l'âge d'or du rock'n'roll. Tout simplement le truc par quoi commencer (edit : oui en fait on parle de punk... mais bref, indispensable quand même).

Iggy Pop, I Need More. La vie d'Iggy Pop quoi (pas besoin d'en dire plus...).

Patrick Eudeline, Gonzo. Beaucoup d'articles intéressants, certains beaucoup moins. Faut se servir.






lui

Edité chez Scali je parie ?

Sinon "Mort aux Ramones" de Dee Dee Ramone et Veronica Koffman (traduit par Virginie Despentes) est un bon bouquin sur la vie du bassiste, jusqu'en 97 si mes souvenirs sont bons.

:mdr:

Je fais des phrases de plus de deux mots... totalement pas rock'n'roll, alors tu comprends, je préfère même pas l'envoyer mon manuscrit que j'ai pas encore écrit.
Non non... Juste que je trouve qu'ils sont l'équivalent d'XO pour le sensationnel rock'n'roll.
Le genre de cosanguinité a faire des livres demeurés : Eudeline préface Busty, Busty préface Eudeline, Eudeline préface Eudeline et j'en passe, et Agnes Léglise qui dit du bien de tout ça, dans roquet faulque.
Je suis convaincu qu'il y a de bonnes références, mais la plupart des sorties tiennent plus de la gabegie marquetée que de l'œuvre désintéressée.

Pour les anglophages ou ceux qui arrivent à déchiffrer la langue de Beckham

Je recommande le bouquin de Lydon
On pourrait croire que le mec a fait comme ce que Keith Richards est en train de faire, une coquette somme pour raconter trois conneries, mais le bonhomme est franchement lucide dans son genre et très souvent poilant.





Allez et si j'osais ... bon j'ose

Rien que pour la première partie, ça vaut le coup.
On est pas dans le cliché du punk à perfecto, mais cette bio fleure bon -pour sa première partie- l'angleterre de la fin 70's.

J'ai pas dû bien lire Lester Bangs... mais je vois en fait très (trop) peu le rapport... (et le fait qu'une sacrée bande de crétin m'ait affirmé la même chose que toi ne m'aide pas à être d'accord...).
Edit : "Ou des bouquins plus (on va dire plus littéraires) de ses contemporains comme Alain Pacadis". Hein quoi ?! Alain Pacadis, les articles chiants à mourir ? Encore il paraît que le bouquin (donc pas son recueil d'articles) est sympa, mais là, Nightclubbing est un mauvais investissement... (et je n'ai pas parlé de littérature punk, donc du reste des "oeuvres" de Eudeline, je laisse ce genre de conneries à Despentes qui se fera une joie de te citer Houellebecq...).

Y a un bouquin de John Savage, mais après avoir lu une dizaine de page et avoir feuilleté England's Dreaming (donc le bouquin), j'ai lâché : indigeste, avec un zèle particulier qui vous transforme une journée de défonce en 15 pages écrites-petit.






lui

T'as parlé littérature, rien à voir avec ce que je disais, notamment par rapport à "Patoche", dont il paraît que les autres bouquins sont à chier et que je ne m'aventurerais pas à lire. Despentes : cf le hors série R&F punk où la brave te décrit la littérature punk (un flot de connerie). Je lui (te) laisse la "littérature punk", je prends le Gonzo d'Eudeline, qui n'a rien à voir avec Lester Bangs, hormis le genre "littéraire" Gonzo en lui même : j'ai peur que ça fasse pas lourd.

PS : "manuel du punk en 10 leçons" ? Je crois décidément qu'on lit pas les mêmes livres... ou alors qu'on a pas les mêmes névroses...







lui

Pas besoin de Femme Actuelle pour voir que t'as un petit différent avec Patoche. S'il t'a piqué tes jouets tu m'en vois désolé, mais je me passerais du cynisme bidon à la "I'm a Survivor".





lui

Oh mais moi je l'adule pas, très loin de là. J'aime beaucoup certains côtés du personnage, comme j'en déteste d'autres : la préface du livre de Busty était un pur ramassis de conneries, son côté très théâtral quand il a un soupçon de public, et j'en passe. Seulement n'en reste que ce gars est un survivant (oui avec tout les mauvais côté que ça implique), qu'il a des choses intéressantes à dire (même s'il se sert de sa légitimité soudaine pour dire d'autres conneries), une vision des choses qui sort un peu des sentiers battus.

Le côté "I'm a Survivor", c'était pour ça :
"La on est très loin certe, de la bio racoleuse ou du manuel "le punk en dix leçons" calibré pour les djeun's en mal d'érudition qui kiffent la prose de Patoche"
et là pour le côté Patriarcal-je-me-sert-de-ma-légitimité t'étais pas mal non plus...






lui

Je vois pas pourquoi tu dis ça avec Costello on est dans la mouvance New Wave. Il était affilié au moucement sur ses premiers skeuds donc pas de soucis je suis preneur.

Pour les deux qui se querellent qur Eudelyne ésseyez de vous calmez pour qu'à que ça finisse mal. On est déjà qu'une petite communauté a écouter et épprécier cette zic sur le forum alors on va pas se tirer dans les pattes ?

je dois vous dire que pour ma part je n'aime pas trop le personnage d'eudelyne. Ya des tas de gens en France qui étaient autant voir plus immissé dans le mouvement que lui alors pourquoi cette renommée Punk ? Honètement je trouve pas cette suprématie très légitime. Et son coup des Naast (que je n'épprécie aps du tout au passage) n'a fait que rabaisser l'estime que j'avait pour lui. En revanche il est clair qu'il reste une grande source d'inspiration il a quand même bien vécu le mouvement et il est pas mal Survivor comme dit plus haut.

Lire ses bouqins ne me dérangerait pas de plus j'en aime assez le style mais le personnage en lui même j'ai du mal.

Disons qu'il a un côté ambigue. Il est le premier à se dire Bobo, et le premier à se dire Punk Survivant. Il est resté parce que, et c'est quand même important, il n'est pas mort, et surtout il a mythifié sa propre histoire : Asphalt Jungle c'est sympa, mais pas aussi énorme qu'il voudrait nous le faire croire.

Sinon j'ai jamais lu un de ses trucs à propos des Naast. Il a dit quoi ?





lui

Je crois pas qu'il ait écrit grand chose sur les Naast. En revanche dans l'émission punk truc chose, émission tout aussi jetable que les groupes qui y été cités, Eudeline avait dit tout le bien qu'il pensait de ces jeunes, et avait affirmé que Gustaave était un type "brillant", entre un hochement de tête de Burgalat, et un grattage d'oreille de Benoît Sabatier.