Marxisme,communisme... LE topic

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jules_albert


pas très éloigné du constat de makhaïski, se trouve le livre de bruno rizzi sur la bureaucratisation du monde publié en 1939.

au-delà de l'analyse de l'urss, selon rizzi, fascisme, stalinisme et capitalisme libéral convergent dans un même « collectivisme bureaucratique », marqué par la planification, le dirigisme et l'émergence d'une classe de bureaucrates ou managers.

de nos jours, sous le prétexte de "sauver la planète" et profitant de l'écrasant conformisme autour de la question, la bureaucratie impose de nouvelles normes, contraintes et directives en vue de la gestion "raisonnée" du désastre, désormais officiel, de la société industrielle (cf. catastrophisme, administration du désastre et soumission durable).
Sans valeur marchande : https://debord-encore.blogspot(...).html

La peste citoyenne. La classe moyenne et ses angoisses : http://parolesdesjours.free.fr(...)e.pdf
Colonel Blues
Lao, arrête donc de spoiler LE topic de Jules Albert enfin !!!
Il ne peut même plus se répondre à lui-même, t'es chiant à la fin !!!
Le prochain qui m'écrit "un publique", "une visse" ou "il a tord" sera condamné à écrire ses futurs posts au porte-plume !

"Ce n’est pas d'un dimanche à la campagne dont nous avons besoin, mais d'une vie moins artificielle". (B. Charbonneau & J. Ellul)
MIA WALLACE
plus je lis jules albert et ses extraits de bouquins, plus je me dis que le seul vrai révolutionnaire de ce forum tellement engagé c'est lui
Il démystifie la fable de cette gauche, qui se veut si humaniste , progressiste et tolérante, adulée par ces esprits simples nourris au lavage de cerveau idéologique.
Salut G.COM, ça roule ?

SUPERBUS , STRAY CATS , BRMC

"regarde-le moi ce communiste, je t'enverrais tout ça à Moscou"
Lao
  • Lao
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  • Publié par
    Lao
    le 17 Janv 2020, 10:50
jules_albert a écrit :
......
de nos jours, sous le prétexte de "sauver la planète" et profitant de l'écrasant conformisme autour de la question, la bureaucratie impose de nouvelles normes, contraintes et directives en vue de la gestion "raisonnée" du désastre, désormais officiel, de la société industrielle (cf. catastrophisme, administration du désastre et soumission durable).


Colonel Blues a écrit :
Lao, arrête donc de spoiler LE topic de Jules Albert enfin !!!
Il ne peut même plus se répondre à lui-même, t'es chiant à la fin !!!

Sur le constat et une partie des causes, il m'arrive d'être d'accord avec ses écrits.

Marx réfléchissait avec la culture du XIXème; Les Situs avec leur culture d'intellectuels et d'artistes du XXème; Henri Laborit et ses successeurs avec les découvertes récentes de la biologie sur le comportement.
Mon point de vue, c'est qu'il n'y a pas de contradictions entre-eux, juste une meilleure connaissance des causes profondes.
"Tant qu’on n’aura pas diffusé très largement à travers les hommes de cette planète la façon dont fonctionne leur cerveau, la façon dont ils l’utilisent et tant que l’on n’aura pas dit que jusqu’ici que cela a toujours été pour dominer l’autre, il y a peu de chance qu’il y ait quoi que ce soit qui change. " Henri Laborit.
KongLeChinois
jules_albert a écrit :


pas très éloigné du constat de makhaïski, se trouve le livre de bruno rizzi sur la bureaucratisation du monde publié en 1939.

au-delà de l'analyse de l'urss, selon rizzi, fascisme, stalinisme et capitalisme libéral convergent dans un même « collectivisme bureaucratique », marqué par la planification, le dirigisme et l'émergence d'une classe de bureaucrates ou managers.

de nos jours, sous le prétexte de "sauver la planète" et profitant de l'écrasant conformisme autour de la question, la bureaucratie impose de nouvelles normes, contraintes et directives en vue de la gestion "raisonnée" du désastre, désormais officiel, de la société industrielle (cf. catastrophisme, administration du désastre et soumission durable).


exact

C'est pour cela que la Chine à pris un chemin tout autre:

En 1962, Deng Xiaoping indique : « Peu importe qu'un chat soit noir ou blanc, s'il attrape la souris, c'est un bon chat », par cette formule il préconise de prendre les mesures économiques performantes sans tenir compte de l’idéologie marxiste

et en 1997 dans le Rapport du Comité central présenté le 27 septembre 1997 au XVè Congrès du Parti communiste chinois:

http://french.china.org.cn/arc(...)5.htm

"Portons haut levé le grand étendard de la théorie de Deng Xiaoping pour l'avancement tous azimuts de la cause de l'édification du socialisme à la chinoise au XXIè siècle ", le camarade Jiang Zemin a énoncé le rôle historique de la théorie de Deng Xiaoping en Chine contemporaine.

Plus de « collectivisme bureaucratique » sous couvert de democratie mais une dictature éclairée

LA DICTATURE ECLAIREE SERAIT-ELLE PLUS DEMOCRATIQUE QUE LA DEMOCRATIE ?

http://irem.univ-reunion.fr/IM(...)4.pdf


Cherche pas c'est "plaisir d'offrir, joie de recevoir"
jules_albert
MIA WALLACE a écrit :
plus je lis jules albert et ses extraits de bouquins, plus je me dis que le seul vrai révolutionnaire de ce forum tellement engagé c'est lui
Il démystifie la fable de cette gauche, qui se veut si humaniste , progressiste et tolérante, adulée par ces esprits simples nourris au lavage de cerveau idéologique.



Lao a écrit :
jules_albert a écrit :
......
de nos jours, sous le prétexte de "sauver la planète" et profitant de l'écrasant conformisme autour de la question, la bureaucratie impose de nouvelles normes, contraintes et directives en vue de la gestion "raisonnée" du désastre, désormais officiel, de la société industrielle (cf. catastrophisme, administration du désastre et soumission durable).


Colonel Blues a écrit :
Lao, arrête donc de spoiler LE topic de Jules Albert enfin !!!
Il ne peut même plus se répondre à lui-même, t'es chiant à la fin !!!

Sur le constat et une partie des causes, il m'arrive d'être d'accord avec ses écrits.

Marx réfléchissait avec la culture du XIXème; Les Situs avec leur culture d'intellectuels et d'artistes du XXème; Henri Laborit et ses successeurs avec les découvertes récentes de la biologie sur le comportement.
Mon point de vue, c'est qu'il n'y a pas de contradictions entre-eux, juste une meilleure connaissance des causes profondes.

Sans valeur marchande : https://debord-encore.blogspot(...).html

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jules_albert
KongLeChinois a écrit :
jules_albert a écrit :


pas très éloigné du constat de makhaïski, se trouve le livre de bruno rizzi sur la bureaucratisation du monde publié en 1939.

au-delà de l'analyse de l'urss, selon rizzi, fascisme, stalinisme et capitalisme libéral convergent dans un même « collectivisme bureaucratique », marqué par la planification, le dirigisme et l'émergence d'une classe de bureaucrates ou managers.

de nos jours, sous le prétexte de "sauver la planète" et profitant de l'écrasant conformisme autour de la question, la bureaucratie impose de nouvelles normes, contraintes et directives en vue de la gestion "raisonnée" du désastre, désormais officiel, de la société industrielle (cf. catastrophisme, administration du désastre et soumission durable).


exact

C'est pour cela que la Chine à pris un chemin tout autre:

En 1962, Deng Xiaoping indique : « Peu importe qu'un chat soit noir ou blanc, s'il attrape la souris, c'est un bon chat », par cette formule il préconise de prendre les mesures économiques performantes sans tenir compte de l’idéologie marxiste

et en 1997 dans le Rapport du Comité central présenté le 27 septembre 1997 au XVè Congrès du Parti communiste chinois:

http://french.china.org.cn/arc(...)5.htm

"Portons haut levé le grand étendard de la théorie de Deng Xiaoping pour l'avancement tous azimuts de la cause de l'édification du socialisme à la chinoise au XXIè siècle ", le camarade Jiang Zemin a énoncé le rôle historique de la théorie de Deng Xiaoping en Chine contemporaine.

Plus de « collectivisme bureaucratique » sous couvert de democratie mais une dictature éclairée

LA DICTATURE ECLAIREE SERAIT-ELLE PLUS DEMOCRATIQUE QUE LA DEMOCRATIE ?

http://irem.univ-reunion.fr/IM(...)4.pdf




un bon livre de karl wittfogel sur la nature asiatique des dictatures staliniennes et maoïstes (l'auteur perdit toutes ses illusions sur le communisme à la suite de l'alliance entre hitler et staline).
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jules_albert

edward carpenter, vers une vie simple

https://www.lechappee.org/coll(...)imple


Publié en 1887, ce livre est un réquisitoire contre l’idéal qui prédomine alors en Angleterre : s’enrichir en fournissant le moins d’efforts possible. Toute une population rêve en effet de parvenir à l’état de consommateur passif qui vit aux crochets des autres.

À l’économie politique bourgeoise qui détruit la fraternité, Carpenter oppose un tout autre idéal : que chacun se dépouille du superflu et se retrousse les manches pour répondre à ses besoins, tout en partageant et en s’entraidant avec ses prochains. S’appuyant à la manière d’un Henry David Thoreau sur sa propre expérience de retour à la terre, sur sa sensibilité à la nature et sur les principes de la simplicité volontaire qu’il expose ici, l’écrivain-maraîcher plaide pour un socialisme anti-industriel. Soit une production à petite échelle fondée sur le travail des paysans et des artisans, qui maîtrisent leurs moyens de subsistance.

Non seulement une telle société décentralisée serait plus juste et égalitaire, mais elle permettrait aussi une plus grande liberté et un épanouissement des individus. Car l’homme n’est pas fait pour s’enfermer dans des villes fumantes, mais pour vivre au grand air et travailler avec ses mains. Voici l’une des leçons de ce magnifique traité de philosophie pratique.




sheila rowbotham, edward carpenter: a life of liberty and love


The gay socialist writer Edward Carpenter had an extraordinary impact on the cultural and political landscape of the late nineteenth and early twentieth centuries. A mystic advocate of, among other causes, free love, recycling, nudism, women’s suffrage and prison reform, his work anticipated the sexual revolution of the 1960s. Sheila Rowbotham’s highly acclaimed biography situates Carpenter’s life and thought in relation to the social, aesthetic and intellectual movements of his day, and explores his friendships with figures such as Walt Whitman, E.M. Forster, Isadora Duncan and Emma Goldman. Edward Carpenter is a compelling portrait of a man described by contemporaries as a ‘weather-vane’ for his times.

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jules_albert
jules_albert a écrit :

un bon livre de karl wittfogel sur la nature asiatique des dictatures staliniennes et maoïstes (l'auteur perdit toutes ses illusions sur le communisme à la suite de l'alliance entre hitler et staline).



puisqu'il est question de dictatures, pourquoi ne pas évoquer aussi le totalitarisme industriel actuel, qui a peut-être, sait-on jamais, quelques liens de parenté avec les totalitarismes nazi et communiste ?

https://www.lechappee.org/coll(...)triel

Le « Progrès » ? Bernard Charbonneau le représente sous la forme d’un bulldozer qui transforme les paysages en terrains vagues et nivelle tout sur son passage. Au cours du xxe siècle, la croissance a entraîné l’exode rural, l’annihilation des sociétés traditionnelles, le triomphe de l’agrochimie. Le marché quadrille désormais la planète alors que l’accélération des transports et l’essor des télécommunications compriment les distances. Cette civilisation des machines est aussi celle de la dépersonnalisation : la banlieue s’étend, les modes de vie s’uniformisent, la culture de masse formate les esprits. L’État enfle, l’organisation se fait de plus en plus contraignante, les consommateurs passifs sont pris en charge jusque dans leurs loisirs. Et chacun est sommé de s’adapter au changement incessant. Standardisation, concentration, pollution... le développement exponentiel de la science, de la technique, de l’économie est ici analysé comme un phénomène social total.

Face au totalitarisme industriel, l’écologie que défend Bernard Charbonneau est révolutionnaire, à la fois libertaire et conservatrice. Elle articule préservation de la nature et conquête de la liberté, et affirme la nécessité de décroître, de penser les limites et l’équilibre contre la quête destructrice de toute-puissance.
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Blow Up
KongLeChinois a écrit :


C'est pour cela que la Chine à pris un chemin tout autre:



C'est plutôt le contraire, d'un coté le contrôle d'une bureaucratie d'Etat ultra-intrusive avec le crédit social, un outil dont Staline et la Stasi auraient rêvé et de l'autre un capitalisme commercial débridé (sans jeu de mots).
En gros, ils ont réussi à réunir le pire des deux mondes.
"Macron est de gauche" BluesBarbu le 20/02/2021
jules_albert

dommage que personne n'ait rien à dire sur edward carpenter, personnage vraiment remarquable. si le socialisme a un avenir c'est uniquement dans la direction qu'il avait indiquée (d'ailleurs similaire à la direction indiquée plus tard par charbonneau).

passons au cas de l'écrivain valery tarsis.

dans les échelons de la hiérarchie, chacun veut être considéré comme le représentant du tout et voir s’étendre à soi-même le culte de l’état.
la position incertaine du fonctionnaire qui peut être éliminé de l’appareil à tout moment, son manque de pouvoir face à la hiérarchie sont compensés par une forte soif de prestige.

cette tendance à la compensation est décrite dans le roman de valery tarsis, the bluebottle (1962). un écrivain est affecté de façon forcée au ministère du logement et son supérieur lui explique sa position comme suit :

Citation:
Vous êtes la forme inférieure de l’existence. Vous devez recueillir les documents habituels des postulants. Rosalia Grib, l’inspectrice est votre supérieure. Vous êtes tous les deux contrôlés à votre tour par le conseiller juridique. Vous êtes tous contrôlés par moi et mes deux assistants. Je suis moi-même contrôlé, disait-il en comptant avec les doigts, par l’inspecteur de district (un), l’inspecteur du comité de district du Parti (deux), le suppléant du soviet du district, Ivan Soloviey (trois), le président lui-même (quatre) et enfin de nombreux fonctionnaires de l’administration du logement à Moscou, du soviet de la ville de Moscou, de la commission d’Etat de contrôle et d’une commission du soviet suprême... et ainsi de suite, sans fin.



à la suite de la publication de ce roman satirique, valery tarsis fut interné pendant huit mois en "hôpital psychiatrique" (en réalité un instrument de torture contre les dissidents).
tarsis publia un récit terrifiant de son internement intitulé salle 7.

le cas valery tarsis montre à quel point la critique de la bureaucratie était un thème sensible : critiquer la bureaucratie c'était attaquer l'essence même du régime.

c'est ce qui explique l'interdiction des écrits de kafka dont l'abstraction rêveuse aurait dû endormir la vigilance des autorités, mais l'implacable logique qui jaillit d'un roman comme le château en disait beaucoup trop sur l'appareil de domination communiste.
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jules_albert

dwight macdonald, une tragédie sans héros

« Tout le monde a le droit d'être stupide, mais le camarade Macdonald abuse de ce privilège. » Ce jugement, prêté à Trotski, réjouissait Dwight Macdonald (1906-1982), qui le citait souvent. Voilà qui rend assez bien compte du caractère entier, et fréquemment emporté, comme de la vivacité et de la liberté d'esprit de ce polémiste new-yorkais qui n'est pas oublié aux États-Unis mais méritait d'être mieux connu en France. Rédacteur en chef de Partisan Review entre 1937 et 1943, avant de fonder sa propre revue Politics (1944-1949), devenu trotskiste sans avoir été stalinien, puis pacifiste et anarchiste, ami d'Orwell qu'il accueillera dans Politics, il fut, comme lui, inséparablement hostile au capitalisme et à la bureaucratie stalinienne. Singulier aussi par sa capacité à remettre en cause ses propres certitudes, réfractaire à l'esprit de parti et à tout dogmatisme, il fut l'un des premiers à discerner, après Auschwitz et Hiroshima, en quoi le fait que l'homme moderne soit dépassé par ses propres créations marquait le début d'une époque nouvelle. Souvent teintés d'humour, les textes réunis par nos soins couvrent une vingtaine d'années (1938 à 1957).

Si Dwight Macdonald n'est certes pas un théoricien, la proximité de ses analyses avec celles d'Hannah Arendt ou de Günther Anders saute aux yeux. Mais il demeurera jusqu'au bout un "essayist" - ce qu'au XIXe siècle on appelait un publiciste. Il excellait autant à ferrailler contre les gros mensonges et les petites lâchetés (comme dans les textes consacrés à Hemingway et à Eisenstein) qu'il savait se montrer acéré dans la dénonciation du mythe du progrès, de la science, de l'aliénation moderne ou de la banalisation de l'horreur dans les sociétés de masse ; sans jamais vouloir perdre de vue les possibilités de renversement, en quoi il se distinguera définitivement de ce qu'allaient devenir la plupart des « intellectuels new-yorkais » de son temps.


Citation:
"L'ordre social comme la guerre sont des processus impersonnels qui s'enclenchent automatiquement. Si quelques individus se rebellent contre le rôle qui leur est assigné, ils seront remplacés par d'autres, plus dociles, avec pour seul résultat d'être mis à l'écart sans qu'au fond rien ne change. Les marxistes affirment qu'il doit en être ainsi jusqu'à la révolution - qui n'a jamais paru aussi éloignée. Alors, que peut faire un homme aujourd'hui ? Comment peut-il échapper à sa condition au sein d'un système aussi terrifiant ? Tout simplement en refusant de jouer le jeu".

"Nous devons briser l'Etat avant qu'il ne nous brise. Celui qui veut préserver sa conscience - et sa peau par la même occasion - ferait bien de s'autoriser des "pensées dangereuses" comme le sabotage, la résistance, la révolte et la fraternité. La démarche intellectuelle qu'on nomme "esprit négatif" est un bon point de départ". Politics, 1945
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Lao
  • Lao
  • Vintage Top utilisateur
  • #1139
  • Publié par
    Lao
    le 13 Fév 2020, 14:18
Tu peux nous expliciter la population prise en compte ?

C'est curieux, dans la vie réelle autour de moi c'est strictement l'inverse (je parle de vraies pathologies, diagnostiquées et traitées).
"Tant qu’on n’aura pas diffusé très largement à travers les hommes de cette planète la façon dont fonctionne leur cerveau, la façon dont ils l’utilisent et tant que l’on n’aura pas dit que jusqu’ici que cela a toujours été pour dominer l’autre, il y a peu de chance qu’il y ait quoi que ce soit qui change. " Henri Laborit.
yun_clive
Etre sain d'esprit dans une société malade n'est pas forcément signe de bonne santé mentale...
Tout être humain peut se développer et même se transformer au cours de sa vie. Il en a le désir et les possibilités.

Gisèle de Failly

#KandideMonModèle

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