Je suis totalement d'accord, même pour les merdes de Prince...
Quant aux merdes artistiques, leurs étrons font légion depuis 1917 (au moins) depuis que la notion du Beau a atteint le niveau des urinoirs.
Le reste n'est qu'une discipline apprise des moutons soumis que nous devenons tous un peu plus chaque jour, abrutis de télé débile, de jeux vidéos sanglants, d'internet malbouffe, et de coca tiède. "Maya hi, maya ha..."
Allez, je reprends un valium... ou je me mets Pornograffitti à fond, ça ira mieux !