Svietkinala a écrit :
Blackened362 a écrit :
Non !! ma méthode est différent des autres :
- Dévisser le boque corde
- Déviser au minimum, sans les elever, les visses du floyd, permettant d'accorder
- accorder les cordes normalement
- femer le bloque corde du sillet
- réccorder pour plus de préscision avec les visses du floyd.
Le floyd est alors régler au niveau du parrallèlisme comme il faut.
C'est valable ou c'est n'importe quoi alors?
Ben c'est n'importe quoi.
D'une part si tu devisse au minimum les vis du floyd, lorsque tu va resserer le bloque corde, tu ne pourras tourner les vis que dans un sens. il faut donc les placer au milieu, histoire d'etre sur de pouvoir les serrer ou les desserer en fonction de la tension de la corde.
Ensuite le "accorder les cordes normalement" me faire un peu sourire, etant donné que (si le floyd est de bonne qualité) à chaque fois que tu vas accorder une corde ca change la tension sur les 5 autres. Il faut donc les reaccorder plusieurs fois à la suite (en anticipant les changement de tension, on peut gagner du temps).
Et enfin effectivement, si le manche à beaucoup travaillé, il faut re-regler la tension des ressorts au dos de la guitare. Et là c'est une autre paire de manche (et encore on à pas abordé le changement de cordes avec des tirans différents :lol
Bref un floyd c'est vraiment quelque chose qui demande de la patience et pas mal de precision. Combien de fois j'ai vus des gamins prendre des guitares avec floyd pour le style, et etre degouté des qu'ils voulaient s'accorder comme Borland ou Malakian
"En fait on peut se demander si le mot 'télévision' est celui qui correspond à cette circulation extraordinaire, nouvelle, libre des images et des sons que l'on peut imaginer pour l'avenir. Tout ce que vous voyez arriver par le canal de ce câble, implique une participation active de chacun. Au fond, on ne trouve pas de mot. J'attend que des professionnels de la langue trouvent un mot nouveau qui définira très bien cette possibilité extraordinaire de circulation des informations."
Jean D'Arcy, 1969