psm1962 a écrit :
Et y'en a qui s'en font pour une petite rayure !
Ah !
Pancho and Lefty, un des très beaux titres du late great Townes Van Zandt.
Une autre version exemplaire par Willie N. et la voix de sépulcre de Johnny Cash, si ma mémoire ne me joue pas encore un tour ; mais si, rappelez-vous, Johnny C. et la première chanson de
Nashville Skyline de Dylan, mais si, «
Girl from the North Country » .
A chaque fois, j'attends que la voix de Johnny C. déboule, lointaine, tremblante, comme un courant d'air sur les Bad Lands et la Great Divide.
Comme quoi les guitares cabossées nous ramènent aussi, avec leurs fantômes, à l'essentiel : la musique et ses hommages, du bout des lèvres, des mains serrées, offertes.
Log your life in a brand new smile, please, and lengthen it too, Willie Hugh...
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.