shelby a écrit :
blez a écrit :
concernant la vpc, il y a sans doute autre chose que juste le volume de vente; probablement un calcul de trésorerie en fonction des différences entre date de paiement et conditions de règlement accordées,
Ce n'est pas ça qui va te permettre de négocier et donc de proposer des prix bas. Ca c'est ce que tu fais de ton argent et comment tu optimises cette trésorerie (cf la grande distribution comme tu le dis si justement).
mais ce qui est intéressant dans ce cas, et c'est comme ça que j'ai compris le problème de notre ami, c'est comment minimiser au maximum le prix d'achat d'un bien de façon à ce que le profit réalisé lors de sa vente soit le plus important possible.
Dans ce cas ça voudrait dire que si tu pratique la facturation à l'envoi (ce qui se pratique sur pas mal de site) tu n'as aucune latitude de négocier tes prix? Je doute que ce soit le cas.
J'ai vu à ce titre un exemple sur je ne sais plus quel monstre Français de la VPC qui pratique la facturation à l'envoi. Ils rognent donc largement sur les jours pendant lesquels ils pourraient faire fructifier le montant des commandes. Et pourtant leurs prix restent parmis les plus bas du marché !!
Attention, je ne veux pas orienter la conversation vers la VPC mais c'est pour illustrer mon propos.
Alors certes, les commissions et autres avantages entrent en ligne de compte lors des négociations, mais quand même, le paramètre primordial, selon moi, c'est bel et bien le volume.
Et quand je prenais l'exemple de Thomann je ne voulais pas du tout orienter le sujet vers la VPC. C'était juste pour illustrer le fait qu'avec du volume, on a des prix moins cher.
Après il est clair, comme je l'ai dit dans mon premier post sur le sujet, que la VPC et la vente en boutique ne répondent aux mêmes cahiers des charges.
eh bien tu peux en effet considérer que la gestion de la tresorerie est secondaire, ce que ne font pas l'ensemble des gestionnaires de la grande distrib