Et pour ajouter à la douce fantaisie de la Gloire matinale, voici les Electric Prunes qui disaient à peu près la même chose sur les plateaux TV pudibonds des US, en 1967 :
Hard on, l'acajou n'est pas qu'un bois dur d'ameublement, c'est surtout celui des bateaux et du rock 'n'roll...
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.