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La Stratocaster...on y revient finalement...

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El Phaco
Une Strat avec un bridge gras typé P90, ou même un double, ça peut également assurer dans des registres poilus.
"Information is not knowledge. Knowledge is not wisdom. Wisdom is not truth. Truth is not beauty. Beauty is not love. Love is not music. Music is the best..."
Frank Zappa

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Gzii
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Oui, même déjà avec le simple on peut un peu y aller (mais faut retenir ses miaulements aigus)
Biosmog
C'est pas une question de fréquence, puisqu'à ce titre, une tele n'a pas un son plus grave qu'une strat. C'est une question de tenue et de projection dynamique. Enfin ce sont mes expériences, j'ai les deux guitares, j'arrive à distinguer leurs qualités respectives pour des usages différents et c'est ce que je fais en pratique : ma tele remplace une guitare à humbucker, parfois, mais pas ma strat (pourtant j'ai essayé, c'est pas impossible, mais c'est moins facile). Et évidemment je parle de strat Fender standard, SSS, stock... Phaco, tu associes souvent ta guitare à une strat, mais selon ce que j'ai compris, elle n'en a pas beaucoup de caractéristiques.
Vous battez pas, je vous aime tous
El Phaco
La seule vraie différence, c'est la fixation du manche qui est semi traversant. Sinon, corps en frêne des marais, manche érable, trois simples (dont un bridge du même type que les Haussel Big Mag), vibrato deux points, on reste bien dans le monde des Strats.
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C 'est l'impression que j'ai en jouant, le son du simple aigu peut être plus tranchant à l'attaque, moins gras, en ça peut donner un son très agressif mais il faut retenir les harmoniques car elles peuvent être plutôt stridentes (ainsi que les sons d'attaques ou de frottements qu'il faut plus maîtriser).
En tout cas pour ne pas m'emmerder en répétition je joue Metallica-Unforgiven III sur une strat SSS (tone réduit vers les 5).
Y'a pas le gras et la compression d'un humbucker mais ça passe. Je pourrais même la garder en concert en fait, les gens s'en fichent si on ne fait pas le son exact.
Biosmog
El Phaco a écrit :
La seule vraie différence, c'est la fixation du manche qui est semi traversant. Sinon, corps en frêne des marais, manche érable, trois simples (dont un bridge du même type que les Haussel Big Mag), vibrato deux points, on reste bien dans le monde des Strats.


Fixation du manche, micro, vibrato: ce sont des éléments qui peuvent changer pas mal de choses et surtout dans le sens de mon propos (son qui est plus ou moins articulé, plus ou moins épais) Là, je parle de différences assez fines car on est dans la même famille de guitare, de toute façon. Sur enregistrement, micro grave, je n'arrive parfois plus à dire si c'est ma tele ou ma strat. Mais dès que je la joue à gros volume, en groupe, les différences sautent aux oreilles et aux mains (la forme a aussi son rôle).
Une strat ça sautille, ça groove, ça s'insinue. Une tele, ça s'impose, ca applatit tel le marteau, ça trace. Quand bien même, les yeux fermés, au niveau fréquentiel, on est dans la même famille de guitare, elles ont un truc qui fait que l'une convient plus au r'n'b et l'autre plus au r'n'r, tendantiellement. C'est difficile à mettre en mots.
Vous battez pas, je vous aime tous
Melvana
Concernant la strat qui joue sur les terrain des les paul, dans mon superlead, si j'enclenche la TS9 avec les réglages adéquat, j'obtient un son bien rondouillard digne d'une les paul, j'avais fait des essai en enregistrant à tour de rôle la strat+ts9 et la R9 et impossible de dire qui était quoi, c'est une piste à explorer pour ceux qui veulent "burner" leurs strat. (NB: en baissant un peu le volume de la strat on a aussi le clean d'une les paul)
j0k3335
david2marseille a écrit :
Je croyais que le Pao Ferro était restreint lui aussi !!!


oui, moi aussi MAIS ce n'est pas le cas

par contre, l'ébène est dans la liste

(http://www.wood-database.com/wood-articles/restricted-and-endangered-wood-species/

à n'y rien comprendre ...

( d'ailleurs n'était-ce la raison du problème de Gibson et son obligation de produire dans la hâte des touches en Richlite en remplacement de son ébène confisqué ??? )
Musician: Someone who puts $50,000 worth of gear into a $5,000 car to drive 100 miles to a $50 gig.
L'intelligence artificielle ne fait pas le poids face à la stupidité naturelle !
Nous sommes composés de 65% d'eau et de ... 35% de questions ...
... le moment est venu, quand l'heure est arrivée ...
j0k3335 a écrit :
david2marseille a écrit :
Je croyais que le Pao Ferro était restreint lui aussi !!!


oui, moi aussi MAIS ce n'est pas le cas

par contre, l'ébène est dans la liste

(http://www.wood-database.com/wood-articles/restricted-and-endangered-wood-species/

à n'y rien comprendre ...

( d'ailleurs n'était-ce la raison du problème de Gibson et son obligation de produire dans la hâte des touches en Richlite en remplacement de son ébène confisqué ??? )



C'est certainement ça, Gibson anticipait les nouvelles réglementations qu'ils voyaient venir.
Ceci dit, le richlite fait bien le travail, j'ai joué une Gibson avec cette touche, ça va super bien, pas de soucis.
Larry Carton
jojolapinggg a écrit :

Ceci dit, le richlite fait bien le travail, j'ai joué une Gibson avec cette touche, ça va super bien, pas de soucis.


Ça ressemble à l'ebène comme les touches des Hagstrom pour ce qui est des sensations de jeu ?
Une bonne paire de PAF pour ta gratte et une bonne paire de baffles pour ta tête...

The baltringue connection
Pour user les yeux du tracker, je propose un joli texte de mon ami Armando, qui peut nous ramener au sujet, lisez attentivement.


L’aphorisme vaut la fable. Il l’intègre. Il la narre. Il l’écrit. Il en indique l’accomplissement et le dictionnaire. Il assume le texte de Léonard. Il en offre la saga. Pourquoi, au contraire, tant d’acharnement à mettre Léonard sous le signe du naturel et du national, voies fondamentales de la province? Pourquoi tant de pathétisme à faire entrer la science, la technique, l’art, l’invention, l’expérience, la pensée, le dessin dans le domaine naturaliste? Le naturaliste voit tout naturel. En retranchant la nature de la parole. Et en postulant le polythéisme. Et le nationaliste voit tout national. En balayant l’infini et la différence.
Naturalistes et nationalistes sont les trompettes, qui nient la renaissance de la parole et son industrie. Indice de l’“accident” que la nature. L’accident: la parole dans son acte, et la propriété intellectuelle. Le naturalisme de la mémoire sélective et de la mémoire élective a son autre face dans le nationalisme de la mémoire collective populaire, avec tout son racisme. De la généalogie du retranchement de l’Autre et de la filiation sociale et politique à la spatialisation, bureaucratique, du faire, de la cité et du plaisir.
Il ne nous est pas arrivé, dans les milliers et milliers de pages autour de Léonard, de buter sur la constatation, qui, au contraire, ne nous abandonne aucun instant en lisant son texte: Léonard n’est pas du tout naturaliste. Une fois redécouvert, par la publication partielle de ses écrits, dans une époque de naturalisme triomphant, il parut que l’attribution du naturalisme à Léonard était chose faite. Et ce lacet n’a plus été ôté.
Léonard, à aucun titre, n’est naturaliste. Ni comme scientifique, ni comme artiste, ni comme poète. Ni comme écrivain. La nature demeure — entière — dans la parole. Déjà comme mythe et comme renaissance. Nature de Léonard. Nomination. Signe. Dans sa tripartition. Signe. Ou nombre. Renaissance de la parole, et son industrie. Artifice de Léonard. Nature innaturelle autant qu’insurnaturelle.
Voilà la caverne (Ar, 155 r). Où réside l’abondance des formes variées et étranges que l’artificieuse nature a faites. Entre les rochers ombreux. Mes reins pliés en arc. Et ferme la main lasse sur mon genou. À l’entrée. Les ténèbres. L’ombre. Dans son inconciliable. La couleur. Dans son insupportable. Et la lumière. Dans son incompatible. De la droite je me fis ténèbres aux baissés et clos cils. En m’inclinant souvent par ici et par là. Pourquoi? Pour voir si, là-dedans, je discernerais quelque chose. Quoi? Cela m’était empêché par la grande obscurité qui, là-dedans, était. La couleur, l’obscurité. C’est ainsi que je reste longtemps. Mais deux choses s’insurgent en moi. Lesquelles? Peur et désir. Peur de la menaçante et obscure spélonque. Et désir? Désir de voir s’il y avait, là-dedans, quelque chose miraculeuse.
C’est là l’expérience. De parole. Artifice de la parole. Artifice de la caverne. Le miracle: ce qui arrive dans la parole. Ce qui advient. Et ce qui devient. Ce qui se narre et s’écrit. Inédit. Inaudible. Incroyable. La miracolosa cosa. La chose miraculeuse. La chose artificielle. Et Léonard note, enregistre, raconte l’innaturel et l’inimaginable. Sang, chair et os des plantes, des fleurs, de la table? Il suit tantôt l’oxymoron tantôt la catachrèse. De l’enfer, tiré par l’ironie, au mythe, à la renaissance, à l’artifice par catachrèse, par abus.
L’émulation avec la nature est l’émulation en matière d’artifice. Selon l’idiome. En procédant par intégration. Leonardus Vincius pictor. Nature de l’artifice. Et la bottega profite. Artifice de la bottega. Société artificielle. La mémoire passe dans l’artifice. Mémoire artificielle. Lorsque le temps ne saurait être ni épargné ni médiatisé. Où réside l’extrême artifice? “Qu’il est plus difficile d’entendre des œuvres de nature que le livre d’un poète!”. Entendre la miracolosa cosa. Au sommet de l’ingegno. “Ta peinture aussi paraîtra une chose naturelle vue dans un grand miroir”. Elle paraîtra. Le naturel de la peinture devient la pointe de l’artificiel. Et le miroir? Vanité. “Le miroir se glorifie fort en tenant en soi mirée la reine; part-elle, le miroir reste vil” (Ft, III, 44 v). La reine, la peinture. Encore la fable. Encore le temps dans sa fabrique.
L’éloge de la philosophie botanique de Linné Natura non facit saltus (la nature ne fait pas de sauts) trouve une version chez Meister Eckhart: Die Nature übertritet niht (la nature ne transgresse rien). Entre-temps, l’onde de Lucrèce. Et Léonard note que la nature de la parole se détache sur son principe, sa légèreté, sa liberté. En effet, sous quel mode la nature est-elle maîtresse? Sous le mode de l’expérience. Et la nature idéale? La nature morte. Idéaliser la nature pour une mortification de l’art et de l’invention? Mentalité. La nature immentale introduit à l’anatomie de la semblance. La mentalité naturelle? La nécromancie. La nécrophilie.
“La nature est pleine d’infinies raisons qui ne furent jamais en expérience” (I, 18 r). Aucun corps gnostique. Aucune connaissance de l’infini dans l’acte de parole. Aucune connaissance de la raison de l’Autre. Nature de l’infini. Et nature de la raison. Raisons innaturelles. Ici, la nature: l’autre nom du pléonasme et de l’absence de lieu de la raison. Les raisons se résument-elles dans la cause finale? Motifs. Prétextes pour faire. Une raison autre que la raison du faire. L’expérience n’est jamais passée. Et les raisons ne furent jamais dans l’expérience jusqu’à maintenant. Mais dans l’expérience elles entrent. À l’expérience elles appartiennent. Chaque fois. À chaque tour.
La nature comme telle n’existe pas. La nature: comment les choses naissent dans la parole, comment elles se font. D’où elles viennent. Et où elles vont. L’état naissant des choses. La nature produit-elle l’artifice? Et la peinture émule l’artifice par l’artifice. Pourquoi la mépriser? (A, 100 r)? Une subtile invention, laquelle, par philosophique et ingénieuse spéculation, considère toutes les qualités des formes: air et sites, plantes, animaux, herbes et fleurs, qu’ombre et lumière ceignent. Le sot méprise la peinture.
“Admirable chose” (Md, I, 152 v) que l’œuvre de nature. Ses effets. Ses causes. Ar, 156 v: “La nature étant avide et prenant plaisir à créer et à faire des vies et des formes continues, parce qu’elle connaît que celles-ci sont un accroissement de sa terrestre matière, est empressée et plus prompte avec son créer que le temps avec son consumer”. Plaisir de l’invention et de l’art. Plaisir de l’artifice. Des plaisirs qui se font et s’écrivent. Plaisir: l’abord à la qualité. Aucun discours zoologique. “Où la nature finit de produire ses espèces, là l’homme commence, par les choses naturelles, à faire, avec l’aide de la nature elle-même, des espèces infinies” (W, 72 v). Ce qui “se montre être chose divine”. Plaisir de la nature: “Les plumes naissent sur les oiseaux, et muent chaque année; les poils naissent sur les animaux, et muent chaque année, sauf quelques parties, tels les poils des barbes des lions et des chattes et d’animaux semblables; les herbes naissent sur les prés et les feuilles sur les arbres, et chaque année elles se renouvellent en grande partie” (Lei, 34 r). La révolution des choses vers leur qualité advient sans circularité.
Léonard marque l’ouverture du moderne et son écriture, le moderne et ce par quoi le moderne peut s’instaurer. Il marque le mode de l’ouverture, d’où procèdent le mode de l’objet et le mode du temps, et le mode de la renaissance autant que le mode de l’industrie. Renaissance. Acception non historiciste. Renaissance de la parole. D’où le glossaire. Son autre face: l’industrie de la parole. Industrie qui s’écrit. D’où le dictionnaire. Les deux faces de l’annonciation. Écologie innaturaliste. Sans la litanie gnostique du respect de la nature idéale et de l’origine, au nom duquel tout est jugé impur et pourri et obscurément maternel.
“Tous les animaux languissent en remplissant l’air de lamentations, les silves s’écroulent, les montagnes ouvertes, pour ravir les métaux engendrés; mais est-ce que je saurais dire une chose plus scélérate que ceux qui élèvent au ciel les louanges de ceux qui avec le plus d’ardeur ont nui à la patrie et à l’espèce humaine?” (CA, 1060 v). La note politique suit la fable écologique. Il y en a qui louent ceux qui détruisent l’espèce et sa terre. Le thème du déluge profite à la narration. Et à l’écriture.
Sans compromis avec l’époque, le texte de Léonard. Les jugements autour de l’époque se font préjugés autour du texte, de sa renaissance, de sa structure. Profession rare que celle de Léonard. Plutôt, profession unique. Profession que personne ne professe. Itinéraire singulier et tortueux. Pas d’encyclopédisme universaliste. Et pas de spécialisme disciplinaire. La solennité paraliturgique donne une intonation de fable inassumable au précepte: “Lis-moi, lecteur, si tu te délectes de moi, parce que je suis renée au monde de rarissimes fois; parce que la patience d’une telle profession se trouve chez peu de gens qui veulent recomposer des choses semblables à nouveau. Et venez, ô hommes, voir les miracles que, par ces études, on découvre dans la nature” (Md, I, 6 r). Les miracles: où les choses arrivent et s’écrivent et se qualifient. Avec Léonard, nous les constatons. Au lieu de les découvrir.
La nature devient, parfois, animal fantastique amphibologique. Clou, cylindre, marteau. Les voici. “La nature paraît, ici, en beaucoup ou de beaucoup d’animaux avoir été plutôt cruelle marâtre que mère, et de quelques-uns non pas marâtre, mais pieuse mère” (Ft, III, 20 v). Est-elle mère, elle est encore marâtre. Première approche. Infernale. Satyrique. Ironique. Parce que relevant de l’oxymoron. Nature: ni mère ni marâtre.
La terre elle-même devient, parfois, animal fantastique amphibologique. Fantasme qui ne gouverne ni ne se laisse gouverner. Et surface. Sans animisme. Sans la métaphore de l’organisme. Sans dramatisation. Du deux comme ciel de la parole à l’itinéraire triadique, entre le labyrinthe, voie de l’équivoque et de l’un fonctionnel, et le paradis, voie du malentendu. Sans purgatoire. Le texte de Léonard ignore le purgatoire.
Dans le paragone des arts et des inventions, la nature en devient aussi ellipse, par la syntaxe, hyperbole, par la phrase, et parabole, par le pragma. Paragone: parangon, comparaison. Des modes de la force, du ghiribizzo, de la spirale, de la révolution des choses vers leur qualité. Ghiribizzo: caprice, extravagance, bizarrerie, chose ingénieuse, surprenante, miraculeuse, pastiche intellectuel, dessin, trace.
La nature imite-t-elle l’art? L’art imite-t-il la nature? Quelle imitation provoque l’extrême artifice? Quel objet dans son intervention? Où? Léonard trace des réalités virtuelles et nouvelles de la semblance et du langage. Entre le gérondif et l’anacoluthe. Entre la vie et l’événement, effet pragmatique. Et selon l’idiome. Les peintres qui suivent un modèle pictural déterminent la décadence de l’art. Celui, seul, court l’audace de commencer et le risque de débuter, qui ne se tient à aucun modèle à imiter ou à respecter. Les trompettes choisissent le naturel contre l’artificiel. Ils agitent une morale naturaliste. Imitation. Identification. Propriété du semblant, objet de la parole. Imitation. Autre nom de la solitude. Inimitable l’objet. Obstacle à l’imitable. Semblant, simulacre. Imprenable. Intouchable. Invisible. Imitation. Provocation de la structure de la semblance. Objet induit par la structure. De l’inimitable et du rien à imiter, à l’inimaginable. Le long de l’intervention de l’anatomie de la semblance. Anatomie qualifiante. Par la voie de son écriture. L’idée de la couleur du semblant opère, en effet, pour que la structure s’écrive. La “similitude de vie” réside ici: dans la révolution de la semblance vers le chiffre. Chiffre de la semblance et du langage. Ingegnosa natura (nature ingenieuse) (E, 52 v): Les gouvernails, créés dans les humérus qu’ont les ailes des oiseaux, pour le pliement; des plumes menues et très dures, qui, faisant couvercle l’une pour l’autre, s’arment et se fortifient entre elles avec merveilleuse puissance; l’os petit et très dense, le mouvement et le site de cet os, dans le mode du gros doigt dans la main de l’homme; les mouvements infinis. Mais voici l’imitation: “Nous dirons la même chose du gouvernail placé derrière le mouvement du navire, emprunté aux queues des oiseaux, dont l’expérience nous apprend avec quelle plus grande facilité ce petit gouvernail se plie, lors des très rapides mouvements du grand navire, que le tout de ce même navire ne se plie”.
rhino
Un bois noble, c'est un bois à particule?
El Phaco
Ben oui : palissandre de Rio, ébène de Macassar, acajou de Cuba...
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Frank Zappa

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