Bon, les jeunots et les prépubères, il est temps que tonton Newsquier vous affranchissent pour que vous tentiez un jour de perpétuer l'espèce humaine (mais en vaut-elle le coup ?).
1er principe : Quand on a le choix entre plusieurs belettes, il faut toujours draguer la plus belle car c'est plus facile. En effet, les jolies filles sont habituées à se faire draguer (eh oui, tous les mecs ne sont pas des manches comme vous...) et trouvent parfaitement naturel que vous tentiez votre chance. Pire, elles seraient vexées si vous ne le faisiez pas.
Au contraire, séduire un boudin est bien plus difficile car, lorsque vous faites du gringue à un thon, il est persuadé que vous vous foutez de sa tronche. Ce qui, soit dit en passant, n'est pas toujours faux. Par contre, ne perdez pas de vue que les boudins possèdent de nombreux avantages : personne n'essaye de vous les piquer et, généralement, elles compensent leur manque d'attrait physique par un savoir faire souvent supérieur sur le plan sexuel (ou alors, elle deviennent des vraies petits cordons bleus, mais ça on s'en fout...).
2e principe : c'est en forgeant que l'on devient forgeron. Donc, au boulot, sautez sur tout ce qui bouge, draguez un max de gonzesses, même si vous vous y prenez comme un neuneu, y'en aura toujours une qui finira par dire oui. Statistiquement, c'est obligatoire. Donc, 100 fois sur le métier...
3e principe : pour savoir si une fille sera "bonne sous l'homme", rien de tel que de l'emmener dîner dans un bon resto (oubliez MacDo). Là, observez bien comment elle se comporte à table, si elle mange de tout, et avec appétit, si elle prend plaisir, si elle est gastronome. Eh oui, c'est un fait presque scientifique : une femme qui se tient bien à table se tiendra bien au lit. Et si en fin de repas elle ne veut pas de café car "ça l'empêche de dormir", passez à autre chose et n'oubliez pas qu'il y a plus de femmes que d'hommes sur Terre.
La semaine prochaine, on abordera le déliquat problème de la rupture, moment parfois pénible mais absolument nécessaire pour retrouver sa liberté et continuer son apprentissage de séducteur.
Allez, merci qui ? Merci Tonton Newsquier
J'ai connu l'époque des motos dangereuses et du sexe sans risque…