Up.
Corrigeage : attends coco, je t'écris les bons mots que je sais,
je veux écrire boite et il me met botte. Une autre (aileron) exemple typique,
j'avais bien tout fait : (ilecon) il me met aileron, ce qui ne veut rien dire
contextuellement, et encore moins humoristiquement, et de moins en moins
sur un langage de connivence.
Il me souligne humoristiquement en rouge...c'est un gros mot .
Il y a une règle dans la langue Française, c'est la possibilité du néologisme.
Ce qui en fait une langue vivante, à contrario du latin qui lui est presque finit,
car d'aucun se révèle créateur de mots an latin pour définir ce qui n'existait pas.
LA LANGUE DE VILLON !!!
Je mest >>> elle est belle celle-là non comme correction -- des liens à titre d'exemple, pêchés sur Wiki, la machine contributive là,
rien de commercial, et bien ça semble poser un problème...
Toute proportion gardée, comme YSL avec Champagne.
Alors oui, ça m'énerve 1984 me gonfle.
On va où là ?
Et je laisse toutes les corrections de merde pour signifier l'absurdité de ces corrections.
Un seul oubli majeur : l'intention et la liberté de l'auteur, donc de la personne.
C'est pas grave ?
Si.
Il aurait été intéressant de voir un Baudelaire, un Victor Hugo et autre Chateaubriand
se faire corriger leurs textes de la sorte.
Vers une débilologie ?
Rien à dire de particulier, ou alors...