20th Century Boy a écrit :
ça se discute. S'ouvrir c'est aussi se disperser.
Mais c'est vrai que c'est le discours en vogue actuellement.
comme disait un dessinateur belge "je suis trop occuper à creuser mon sillon pour aller faire des trous partout."
chix4free a écrit :
discours très en vogue en effet et qui surfe lui-même sur les modes du moment. Par exemple, qu'est-ce qu'on peut me faire chier en ce moment (et la célébration, à juste titre compte tenu de son immense talent, du centenaire de Django, n'a rien arrangé) avec la guitare manouche qui, pour parler vulgairement, m'en touche une sans faire bouger l'autre... curieusement, quand tu mentionnes que 2011 est l'année du centenaire de Robert Johnson, y a plus beaucoup de musiciens ou d'amateurs de musique du 29 février pour confirmer et appeler à une médiatisation de la chose...
Enfin si faut écouter la médiatisation... Moi aussi je me secoue un peu de jazz manouche (que c'est joli mais bon...), après faut laisser pisser...
Lutinvolant a écrit :
J'aime le snobisme ! Le snobisme c'est une bulle de champagne qui hésite en le rot et le pet...
chix4free a écrit :
La demande de mariage à Cunégonde était du même calibre ? Parce que là je dis chapeau !
Arrête ! C'est secret... Tout le monde va venir après...
Pour la phrase, j'ai honte mais c'est pas de moi mais de l'impayable Serge Gainsbourg, dont les aphorismes sont toujours très bons.
Un qui pourrait convenir à beaucoup de musiciens qui prônaient la pureté stylistique avant de connaitre le succès :
"J'ai retourné ma veste quand je me suis aperçu qu'elle était doublée de vison..."
Le Lutin "pas de succès mais au moins pas de compromis..."
P.S :
"qui, pour parler vulgairement, m'en touche une sans faire bouger l'autre" était une expression corezienne chère à notre ancien président...