Travailler dans le monde de la guitare éléctrique : micros,.

T'inquiete pas, ta question est tout a fait légitime. C'est franchement pas évident l'orientation et on est franchement pas aidé par les "conseiller de l'orientation".

Si je peux me permettre, tu as ce qu'on appelle les "bilans des compétences" qui aprés tests et discussion avec un conseiller peuvent te donner quelques points de départs quant a ta future évolution. Renseigne toi .

+1 va voir une COP, en général elles sont très bien, bon moi j'ai pris 2 rdv avec une cop, mais ça a rien donné, mais ça vient de moi, elle faisait très bien son boulot, et tu as bien raison de t'y mettre maintenant, et met-toi-y à fond pour être tranquille, parce que moi, je suis en terminale, j'suis sensé rentrer mes voeux avant le 20 mars, et je suis toujours pour ainsi dire "au point mort", et tout ça parce que j'avais peur d'aborder sérieusement la question plus tôt... et crois moi à vivre c'est pas la joie...

Je ne parle pas des COP qui hormis les fillieres classique ne connaissent pas grand chose (de l'expérience que j'ai eu). Tu ne sais pas vers quoi te dirigé , il le saura encore moins pour toi.

L'orientation ca rigole pas, faut s'y prendre tres tot !

Bon ceci dit t'es pas en L , rien n'est encore perdus

Haha, oui j'ai d'autres idées, ne vous en faites pas.
Notamment l'école de médecine militaire de l'ESSA.

Ou musicien professionnel.

INSA Lyon. Curiosité satisfaite ? (honnêtement, je trouve ça débile de comparer son école comme on comparer la taille de sa bite... )

Le métier de conseiller en orientation est TRES difficile. Tout d'abord, ce genre de truc n'existait pas dans le passé. Le conseiller d'orientation, c'est une jolie invention du capitalisme et du pouvoir en place depuis des années pour pallier à un problème : Le chômage.

Car devant le nombre de chômeurs chez les jeunes, on s'est dit "les jeunes sont mal orientés". Quand tu visites un salon de l'entreprise, 9 patrons sur 10 s'en prennent à l'enseignement ! L'école forme mal les jeunes, inadaptés au monde du travail, etc... Ils oublient juste que le rôle d'une école n'est pas de former les ouvriers, mais de leur donner des connaissances.

Alors, le métier de conseiller d'orientation est très difficile. Ils doivent jongler entre le principe de plaisir et le principe de réalité. En gros, il doit mentir à 50% et le reste doit être la vérité.

La partie du mensonge, c'est de dire aux gosses qu'ils doivent faire le métier qu'ils aiment. C'est un mensonge car les emplois comme concepteurs de jeu video, producteur de films X, rock-star internationale, footballer professionnel ne courent pas les rues, et franchement je connais aucun ado dont le rêve est d'être cadre dans une société de management.

Pour donner un exemple, la gamine de 15 ans a qui la conseillère d'orientation demande quelles sont ses passions dans la vie et qui te répond "faire la fête avec mes amis", tu as la conseillère d'orientation qui lui conseille un Bac S puis des études en commerce en lui parlant de la "gestion des boîtes de nuit"... Moi ca me fait sourire.

D'un autre côté, si on disait la vérité aux gosses, ben les écoles seraient vides. Imagine qu'on dise à une classe d'ados de 16 ans "Tu vas te faire chier toute ta vie jusque 67 ans dans un métier qui t'emmerde 11 mois sur douze, tout celà pour te payer un mois de vacances au soleil une fois par an et une belle voiture avec jantes alu."



C'est encore un double langage, qui est tenu partout ! Il faut les deux, le diplôme et la compétence.

Tu sais, en France, on demande des diplômes aux techniciennes de surface ! Aujourd'hui, pour être "vendeur", il faut un diplôme. La raison est qu'il y a trop de demandeurs d'emploi et pas assez d'offres. Exiger un diplôme, c'est déjà faire une première sélection.

Tu peux être hyper compétent dans un domaine, si t'as pas le papier qui convient, tu ne seras jamais engagé. Ca marchait dans les années 70, plus maintenant.



Premièrement, faut qu'il étudies la physique, l'électronique et l'électro-magnétisme, donc se renseigner dans une école d'ingénieurs. Là, déjà tu auras des domaines de prédilection.

Ensuite, c'est pas en france que tu auras du boulot. Une fois formé, diplômé, rien ne t'empèche d'écrire à Seymour Duncan, EMG ou autre, le principal, c'est d'avoir un pied dans le milieu.

C'est une belle réponse danny

C'est vrai que le système éducatif est assez... merdique, il faut le dire.
Je pense qu'il serait préférable de bosser que quelques matières et en faire une spécialité plutôt que faire un bourrage de crâne continuel dans tous les domaines.

Pour ce qui est du "pas de boulot en France" c'est loooooin d'être un problème, l'anglais ça me dérange pas du tout, je me débrouille bien et je veux devenir bilingue de toute façon. Et travailler aux US ou au Canada, c'est génial quoi.

Je ne peux qu'approuver ce choix.

Là tu te trompes. C'est pas à une école de former un technicien en micros, l'école doit te donner des bases de connissances globales et pas te spécialiser.

En gros, c'est comme si moi en temps que photographe de concerts profesionnel, j'avais demandé à une école de me former pour ce domaine.

J'ai fait une école de photo, point final, et j'ai appris par moi-même.

Je parlais pas de ce genre de spécialisation mais plutôt de l'enseignement au lycée.

Le lycée a pour rôle de te donner des connaissances de base suffisantes pour la poursuite d'études supérieures spécilaisées.

Il serait plus intéressant de choisir soi-même les matières qu'on veut traiter le plus (c'est déjà le cas des filières, mais un truc un peu plus poussé).
J'ai un ami en STL (Sciences et Technologie de Laboratoire), il fait plus de sciences que moi en S alors que c'est une section générale... enfin c'est un peu bête je trouve.

En même temps quand on te bourre le mou comme ça depuis la maternelle