Compo_impro : intervalles_hauteur relative

bonsoir!

quand on improvise quelques notes:
vaut-il mieux penser en intervalles par rapport à la tonique ou par rapport à la note précédente?

l'intervalle par rapport à la note précédente est le plus abordable pour un auditeur

mais celui qui joue : quels intervalles doit-il PENSER? l'un, l'autre, les deux?




car chaque intervalle a sa propre couleur, si on considère :
gamme de do : l'intervalle fa-sol

1ère option : quarte -> quinte (deux couleurs d'intervalles (par rapport à la tonique do)
2ème option : on peut aussi dire que c'est une seconde majeure (sol est la seconde majeure de fa, une autre couleur en terme d'intervalle donc)
3ème option : combiner les deux : quarte -> (intervalle/mouvement de seconde)->quinte
il y a dans ce cas les trois intervalles à percevoir en deux notes

je pense que la 1ère option est la meilleure (plus de cohérence dans le discours musical, la perception de la seconde serait optionnelle selon moi???

Salut !

Je crois que tu abordes ça d'une façon beaucoup trop rationnelle...

C'est bien sûr comment tu le sens... Ou sinon, si tu as contexte bien précis (par exemple l'harmonie tonale classique, ou la musique indienne etc. ou toute forme musicale construite sur des règles données).

Sans oublier que la musique va être perçue différemment selon l'époque et la géographie.

salut!

merci pour ces vidéos je regarderai çà plus tard mon lit m'appelle ^^

c'est vrai c'est tiré par les cheveux mais bon, cette question m'est venue d'un coup, et pas possible de m'en défaire durant la soirée ^^

peut-être certains auront tout de même un avis là-dessus

personnellement, je pense que l'on ne peut penser une note par rapport à la précédente que sur des intervalles faibles et consécutifs mais que le plus important est de penser à la structure tonale.
par exemple si on prend la phrase
do re mi sol la do

sur do re mi, on ressent bien la montée par ton. par contre sur le sol on ressent surtout la 5te. pour le la on ressent un ton au dessus du sol, et pour le do, l'octave.

par contre, c'est pas au moment ou l'on improvise que l'on se pose ses questions. c'est dans des phases de travail.
quand on improvise, on a pas le temps de reflechir. il faut que ce qu'on a assimilé ressorte d'une manière quasiment instinctive.

+ 1

tiens... tu es d'accord avec moi.
une fois n'est pas coutume.