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Les faits d'actualité.

Rappel du dernier message de la page précédente :
Doc Loco
manulonch a écrit :
Anthony aussi.


Félicie ... aussi.
In rod we truss.

"Quelle opulence" - themidnighter

"It's sink or swim - shut up!"
Invité
Pas d'accord rapideyemove !!

Bataille était pas inquiet (ou alors au sens de Kojève... à la limite )... mais angoissé

- c'est dingue ce soir, entre ça et les esquimaux en jet privé, tout le monde cherche la baston
Redstein
Blow Up a écrit :
Redstein a écrit :

Blow Up, je constate avec grand regret que tu as adopté la notion islamo-facho d'« islamophobie »


Non, arrêtez de mettre les gens dans des cases et de voir tout en binaire. On peut être critique a propos de l'islam (et des religions) mais aussi critiquer les islamophobes qui utilisent la religion comme écran de fumée et pour stigmatiser des boucs émissaires.
Onfray, il est gratiné sur le sujet, "l’islam qui place des coins dans le vieux marbre d’une Europe en déclin" ou "la chute de l'Occident sous les coups de la brutalité chinoise ou d'une oumma mondiale" pour reprendre certains de ses termes. C'est pourtant assez clair.

Ne venez pas me parler de pensée radicale et inhabituelle, il ne fait que recycler des poncifs conservateurs pour dénoncer une supposée décadence occidentale. Ses bouquins où il dézingue des vaches sacrées sur leurs biographies plus que sur leurs idées en sont de bonnes illustrations, ses cours c'est du verbiage manichéen a charge contre la pensée d'après guerre (avec les têtes de turcs habituelles des réacs : Sartre, Foucault, Deleuze, le structuralisme, la sociologie etc... ) On est en plein dans l'effondrement de l'esprit critique justifier par l'abandon des idéaux progressistes.

Et je ne parle même pas de la duplicité et des contradictions idéologiques du personnage : nietzschéen de gauche mais anti-moderne, anarchiste et libéral, anticonformisme subventionné, pro-palestinien qui soutient la droite israélienne, gauchiste et gaulliste etc...
Bref du grand n'importe quoi opportuniste, on pourrait résumer la pensée d'Onfray par une phrase bien connue de backstage : "j'ai pas lu mais c'est de la merde, faites comme moi"



Rien de binaire dans ce que je raconte : le problème d'Onfray est précisément que pas mal de gens veulent à toute force l'assigner à la case « droite » puisqu'il déborde la case « gauche ». Après, on peut le critiquer tant qu'on veut (franchement, il ferait mieux de se faire oublier - il a trop traîné avec FOG), la question n'est pas vraiment là pour moi, du moins vu ce que tu retiens de mon post.

Du coup, je le dis et le répète, l'islamophobie, ça n'existe pas.

Admettre cette notion inventée par des islamistes pour faire taire toute critique de leur religion, c'est faire rentrer par une porte qui n'est pas si petite le bon vieux délit de blasphème
'Human beings. You always manage to find the boring alternative, don't you?'


http://fermons-les-abattoirs.org

- Quand Redstein montre l'abattoir, l'imbécile regarde Redstein - (©Masha)
rapideyemove
quantat a écrit :
Pas d'accord rapideyemove !!

Bataille était pas inquiet (ou alors au sens de Kojève... à la limite )... mais angoissé

- c'est dingue ce soir, entre ça et les esquimaux en jet privé, tout le monde cherche la baston


Inquiet, c'est à dire sans repos, sans trêve, toujours en quête.

Oui, bien sûr, dans ce sens et celui–ci seulement.

Au sens, encore, où Fernando Pessoa l'entendait quand il intitula son œuvre–maîtresse Le Livre de l'intranquillité.

Ou selon celui que Kierkegaard sut donner à l'analyse de la liberté comme « vertige du possible» dans Le Concept de l'angoisse, justement.

Toutes choses dont témoignent de manière obvie La Somme athéologique et L'expérience intérieure de Georges Bataille, par exemple.
Afin de ne pas se borner à citer toujours une certaine «approbation de la vie jusque dans la mort ».
Et, par prétérition, faire silence sur Le Bleu du Ciel et cette scène d'amour au–dessus de la ville de Trèves, précisément, enfin si je me souviens bien ; Trèves, la ville natale de Marx, par ailleurs.
Oui–da, sans trêve.

À ceci, je dois ajouter que ma remarque sur Bataille n'était qu'une tangente ou une approximation, je veux dire une valeur approchée, pour saisir l'essentiel et en rendre compte : à savoir, la médiocrité du bref Onfray et de ses voies de délestage qui le renvoient sans cesse au seul cercle de lui–même, comme à son propre gibier.
Quelques postillons sur l'étain du comptoir, une vie quiète, tranquille, et un coup de torchon pour faire disparaître jusqu'à la plus petite trace humide d'idée.
«Une vie coye», selon une expression du XVII°siècle. Lors, nous ne sommes plus très loin de la nature–morte.
D'où l'apologue retors de la grande sœur Hannah.
Laquelle n'était pas qu'un film de Woody Allen...

Quant à chercher la baston et ses noises noisy, là je n'y suis pas, mais alors pas du tout.
Et ne m'y dirigerai pas davantage...
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.
Y a-t-il une limite à la connerie de ce gouvernement?

Entre une centaine de migrants transportés 5 par 5 dans un jet privé à travers la France et escortés par 10 pafs alors que de toute facon ils reviennent au point de départ par eux même:
http://www.lepoint.fr/societe/(...)3.php


Et les manouches qui font rebelote après avoir compris qu'ils pouvaient faire plier le gouvernement comme ils voulaient cet été:

http://www.lemonde.fr/societe/(...).html

http://www.ledauphine.com/iser(...)oupee



Il serait temps d'exiger que les hauts fonctionnaires de ce pédalo passent des tests de QI...
ZePot
REM ou la bouillie de culture
Biosmog
Ça change de l'ambiance café du commerce.
Vous battez pas, je vous aime tous
Redstein a écrit :
Bertrand69 a écrit :
Il serait pas dans la continuité des Zemmour et Finkielkraut ?


Non. Il a cédé aux sirènes de la notoriété, mais c'est plus compliqué que ça. Ce qu'il y a de sûr, c'est qu'il ferait bien de cesser de courir les plateaux télé - et de tweeter. Et faut reconnaître que cette interview dans Éléments n'est pas du plus bel effet.

Ce qui a énervé une certaine gauche aveuglément pro-européenne, c'est l'idée qu'il a reprise d'union des souverainistes - les électeurs, pas les partis. Il est certainement assez réac sur certains points (pas malin de sa part non plus d'avoir parlé au premier degré de « théorie du genre »), et on conçoit que certains le traitent de « décliniste » (encore que je ne vois pas comment ils concilient ça avec ses vues sur le transhumanisme), mais de là à le trouver d'extrême-droite...

Blow Up, je constate avec grand regret que tu as adopté la notion islamo-facho d'« islamophobie »



Voila ...
rapideyemove a écrit :
quantat a écrit :
Pas d'accord rapideyemove !!

Bataille était pas inquiet (ou alors au sens de Kojève... à la limite )... mais angoissé

- c'est dingue ce soir, entre ça et les esquimaux en jet privé, tout le monde cherche la baston


Inquiet, c'est à dire sans repos, sans trêve, toujours en quête.

Oui, bien sûr, dans ce sens et celui–ci seulement.

Au sens, encore, où Fernando Pessoa l'entendait quand il intitula son œuvre–maîtresse Le Livre de l'intranquillité.

Ou selon celui que Kierkegaard sut donner à l'analyse de la liberté comme « vertige du possible» dans Le Concept de l'angoisse, justement.

Toutes choses dont témoignent de manière obvie La Somme athéologique et L'expérience intérieure de Georges Bataille, par exemple.
Afin de ne pas se borner à citer toujours une certaine «approbation de la vie jusque dans la mort ».
Et, par prétérition, faire silence sur Le Bleu du Ciel et cette scène d'amour au–dessus de la ville de Trèves, précisément, enfin si je me souviens bien ; Trèves, la ville natale de Marx, par ailleurs.
Oui–da, sans trêve.

À ceci, je dois ajouter que ma remarque sur Bataille n'était qu'une tangente ou une approximation, je veux dire une valeur approchée, pour saisir l'essentiel et en rendre compte : à savoir, la médiocrité du bref Onfray et de ses voies de délestage qui le renvoient sans cesse au seul cercle de lui–même, comme à son propre gibier.
Quelques postillons sur l'étain du comptoir, une vie quiète, tranquille, et un coup de torchon pour faire disparaître jusqu'à la plus petite trace humide d'idée.
«Une vie coye», selon une expression du XVII°siècle. Lors, nous ne sommes plus très loin de la nature–morte.
D'où l'apologue retors de la grande sœur Hannah.
Laquelle n'était pas qu'un film de Woody Allen...

Quant à chercher la baston et ses noises noisy, là je n'y suis pas, mais alors pas du tout.
Et ne m'y dirigerai pas davantage...



ZePot a écrit :
REM ou la bouillie de culture



La bouillie est toujours nourriture pour un affamé dans ton genre 'même si le terme est bien trop élogieux, jeune et gentil bouillon de culture tu es
chopino
Redstein a écrit :
Blow Up a écrit :
Redstein a écrit :

Blow Up, je constate avec grand regret que tu as adopté la notion islamo-facho d'« islamophobie »


Non, arrêtez de mettre les gens dans des cases et de voir tout en binaire. On peut être critique a propos de l'islam (et des religions) mais aussi critiquer les islamophobes qui utilisent la religion comme écran de fumée et pour stigmatiser des boucs émissaires.
Onfray, il est gratiné sur le sujet, "l’islam qui place des coins dans le vieux marbre d’une Europe en déclin" ou "la chute de l'Occident sous les coups de la brutalité chinoise ou d'une oumma mondiale" pour reprendre certains de ses termes. C'est pourtant assez clair.

Ne venez pas me parler de pensée radicale et inhabituelle, il ne fait que recycler des poncifs conservateurs pour dénoncer une supposée décadence occidentale. Ses bouquins où il dézingue des vaches sacrées sur leurs biographies plus que sur leurs idées en sont de bonnes illustrations, ses cours c'est du verbiage manichéen a charge contre la pensée d'après guerre (avec les têtes de turcs habituelles des réacs : Sartre, Foucault, Deleuze, le structuralisme, la sociologie etc... ) On est en plein dans l'effondrement de l'esprit critique justifier par l'abandon des idéaux progressistes.

Et je ne parle même pas de la duplicité et des contradictions idéologiques du personnage : nietzschéen de gauche mais anti-moderne, anarchiste et libéral, anticonformisme subventionné, pro-palestinien qui soutient la droite israélienne, gauchiste et gaulliste etc...
Bref du grand n'importe quoi opportuniste, on pourrait résumer la pensée d'Onfray par une phrase bien connue de backstage : "j'ai pas lu mais c'est de la merde, faites comme moi"



Rien de binaire dans ce que je raconte : le problème d'Onfray est précisément que pas mal de gens veulent à toute force l'assigner à la case « droite » puisqu'il déborde la case « gauche ». Après, on peut le critiquer tant qu'on veut (franchement, il ferait mieux de se faire oublier - il a trop traîné avec FOG), la question n'est pas vraiment là pour moi, du moins vu ce que tu retiens de mon post.

Du coup, je le dis et le répète, l'islamophobie, ça n'existe pas.

Admettre cette notion inventée par des islamistes pour faire taire toute critique de leur religion, c'est faire rentrer par une porte qui n'est pas si petite le bon vieux délit de blasphème




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