twistingcrow a écrit :
(...)
Cette
réplique unique a été
créée de A jusqu'à Z par un luthier dont je tairai le nom car il préfère que cela en soit ainsi.
(...)
Elle
est inspirée de la dual pickup Esquire présentée au Namm Show en 1950 en reprend les principales caractéristiques avec
quelques specs maison qui la rendent un poil plus funky.
(...)
Réplique parfaite du manche de la Fender dual pickup esquire de 1950.
(...)
Situation claire et nette au vu des mots que j’ai surlignés dans l’annonce de T. Crow.
Aucune supercherie, ni duperie.
L’acte de contrefaçon n’est en aucun cas constitué.
Puisqu'il s’agit aussi de défendre son honneur, sur l’ampli que je joue, mon fétiche dont je suis entiché, et qu’a fabriqué Twistingcrow (un Tweed 5F4 que j’ai acheté en deuxième main) figure une étiquette métal en façade, réplique de l’originale de Fullerton «Super Amp».
L’empire du faux est-il achevé pour autant et triomphant, sûr de ses impostures ?
En aucun cas : à l’intérieur l’ampli est clairement signé et daté par Fred.
Je ne l’ai pas contacté à ce sujet ; je peux simplement supposer qu’il en est de même avec cette guitare que ce luthier a faite, luthier qui souhaite pour l’instant rester dans l’ombre et ce quelles qu’en soient les raisons.
Cette dernière précision est tout aussi clairement affichée par l’annonce.
Oui, tout le reste n’a donc aucune importance.
Encore si c’était de la littérature...
Mais non, procédure, chicane, effet de manches sans audience et de mauvaise tribune.
Alors, de grâce, qu’on nous épargne les copier–coller infinissables du Dalloz version Jalabert ou Julalbert, je ne sais plus très bien, pour mettre en scène l’autorité auto-proclamée mais qui ignore sa parodie de la mauvaise foi.
Quoi qu’il en soit mon message précédent visait le brave du 31, donc de Toulouse et de ses environs là où Fred réside ; lequel brave s’est inscrit aujourd’hui pour ne laisser qu’un seul message (qui possède de ce fait tous les signes du règlement de comptes, éventuellement de la part d’un multinick du forum) ; message qui, j’en ai bientôt fini monsieur le Président, est une insulte sans motif, ce qui est grave, et sans style, ce qui l’est davantage encore.
Enfin, je le redis devant la Cour, très belle et saine guitare.
Ite missa est.
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.