Question intéressante, et je vais y répondre pour la partie technique.
Pour un amplificateur à transistors, la qualité sera déterminante, selon que l’on utilise des transistors discrets ou de circuits intégrés.
La deuxième technologie et a évité, malgré ce que l’on pourra vous dire, cela sera toujours inférieur, et élément détermine, le choix, le jour où cela tombe en panne et que le CI n’est plus disponible, et qu’il n’existe pas de correspondance, les carottes sont cuites et l’amplificateur et bon pour être cannibalisé pour la pièce.
Un modèle entièrement à semi-conducteur, offre une meilleure qualité sonore, et une facilité de dépannage, on arrive toujours à trouver un compromis, et l’étage final en transistors FET Mos et ce qui donne les meilleurs résultats.
Une alimentation suffisamment puissante, avec un filtra calculé pour la puissance, sans exagération, des dissipateurs suffisamment grands pour maintenir les transistors de puissance à une température correcte même à pleine puissance.
Seulement c’est plus cher à construire, sauf pour un amateur, dans le cas de kit par exemple, en utilisant des astuces pour une optimisation maximale, qui laissera les modèles commerciaux sur place.
Pour les montages à tubes, selon la puissance, il faut une alimentation suffisamment puissante qui ne s’écroule pas dans les pointes et à pleine puissance.
Le transformateur de sortie devra faire 1,5 ou 2 fois la puissance voulue, pour une puissance de 40W il faudra un transformateur de sortie capable d’encaisser des puissances de 60W mini, la bande passante devra être élevée, pour pouvoir passer toutes les harmoniques, un très bon transformateur passe de 10 HZ à 100 KHZ.
On peut optimiser le montage pour un fonctionnement donnant des résultats sans compromis avec les tubes qui équipera l’amplificateur. Même si cela dérange certains, qui tenteront de vous convaincre que seuls les tubes duchnoque sont meilleur que les du chemin.
Il existe des critères de fabrication, et si ceux-ci sont respectés, le reste et une question de réglage.
Pour les tubes de puissance certains modèles peut priser des amateurs ou de l’industrie, du fait de leur utilisation destinée à l'HF offre un avantage d’être de construction plus solide, les stocks sont encore conséquents, et les fabrications des anciennes générations faciles à trouver.
Il y a la 807 sorte de super 6L6 qui a était énormément utilisé dans les émetteurs jusqu'à 28 MHZ, avec un push-pull, cela sortait 100W HF sans problème, la majeur partie des équipement radio des chalutier était équipé de ces tubes, quand il travaillait en onde moyenne, les forains on également utilisait ce tube, en double ou triple push-pull dans leur équipement sonorisation.
En audio de qualité on sort 200W avec 4 807 sans problème et avec une qualité sonore qui n’a rien à envier au 6L6 El34 ou Kt88, pour la puissance au-dessus, on trouve la 6146, tout aussi bonne, en triode la 811, mais la HT et l’impédance du transformateur sont plus importante, mais cela sort des W, et des vrais pas des W gonfler artificiellement comme l’annonce certaine revue sur des amplificateurs commerciaux. Ce type de tube était surtout utilisé dans les équipements audio professionnels du fait de la sortie d’anode sur le sommet du globe, HF oblige.
On trouve des clips isolant en stéatite qui évite les liaisons dangereuses.
Mais que ce soit un amplificateur à semi-conducteur ou à tubes, il faut le mettre au point et contrôler lé % de distorsion d’intermodulation.
Ce type de mesure ne pardonne pas, si le montage et mauvais, cela se verra tout de suite, ce qui permet une mise au point sans compromis et une restitution sonore de haute qualité.
Les meilleurs résultats seront obtenus que s’ils sont associés à un ou plusieurs HP de qualité, il n’y a pas de miracle, si l’ensemble et de qualité, ce qui ne veut pas dire onéreux, la reproduction sonore agréable à entendre sera au rendez-vous !