Du nouveau pour les Hives, le nouvel album "The Black & White Album" vient de sortir aujourd'hui, l'ayant telechargé pour voir ce que ça vaut, je vous en fait ici la chronique, et l'industrie du disque va en prendre un coup..
J'en suis sincèrement désolé mes chers confrères, mais il n'y aura finalement pas de chronique digne de ce nomn nous a menti sur le retour des Hives, car on nous a mentis, on nous a roulés dans la farine, mis en bouteille, bernés, trahis, spoliés, arnaqués...
En effet, le dernier album de notre préféré et regretté combo Suedois est "Tyrannosaurus Hives".
Un malheureux et tragique accident d'avion nous aurait hélas privé de ce tant attendu cinquième album.
Des requins de studios, immitateurs, usurpateurs, que sais-je, les auraient remplacés, mercenaires à la solde de la maison de disque, pour nous servir une bouillie infâme electro/pseudo pop hérétique dans laquelle se seraient glissés quelques titres potables pour donner le change.
Les salauds, qui croyaient ils tromper ?
Je suis cruellement déçu, après Black Rebel Motorcycle Club, les White Stripes, qui ne m'ont guère convaincu, les Kings of Leon, les Babyshambles, voici les Hives, un de nos derniers remparts jusqu'ici toujours debout qui s'écroule soudainement sous nos yeux.
Dans ma douleur, j'ai d'abord crû à une farce, à un fake, à n'importe quoi, mais il faut faire face à la réalité mes amis : les Hives ne sont plus.
Leurs âmes s'en sont allées, mes frères s'envolant vers les voûtes celestes, prions pour qu'on leur accorde la divine Misericorde, prions pour leur Salut.
Requiem aeternam dona eiiiiiis, Domineeeee
"Pour les gros et les petits torses, quatre-vingt-quatorze..."