ART TOPIC

Rappel du dernier message de la page précédente :
Redstein
Montage, ou bien c'est vraiment lui qui a fait ça ?

Ça a sa place dans un musée d'art moderne, en tout cas.
'Human beings. You always manage to find the boring alternative, don't you?'


http://fermons-les-abattoirs.org

- Quand Redstein montre l'abattoir, l'imbécile regarde Redstein - (©Masha)
jules_albert
"Les querelles sur l'art contemporain sont sans objet. En réalité, il n'existe rien de tel. Dans un roman de science-fiction du milieu du XXe siècle, étaient exposées dans les musées les œuvres des publicitaires et "créatifs" du passé... Nous en sommes là, à cette nuance près que les publicitaires se faisant "artistes" (créatifs), les artistes se sont faits publicitaires (d'eux-mêmes et de leur monde). Ce qui porte le nom d'art contemporain est un composé de publicité, de finance spéculative et de bureaucratie culturelle." (jaime semprun, andromaque, je pense à vous !)



sur le financement par la cia de l'expressionnisme abstrait pendant la guerre froide :

https://fr.wikipedia.org/wiki/(...)iques



En 1995, d'anciens fonctionnaires américains confirment les rumeurs qui circulent depuis plusieurs années selon lesquelles les artistes de ce mouvement ont été financés par l'administration des États-Unis via l'un de ses services secrets, la CIA, en vue d'en faire une arme idéologique pour le bloc occidental dans le contexte de la guerre froide.

Cette volonté de la part des dirigeants américains de présenter l'abstraction new-yorkaise comme la réelle avant-garde artistique et la nouvelle référence culturelle s'est concrétisée par un très vaste programme mis en place avec d'importants moyens financiers par la CIA. Est né de cette manière « un système inédit de consécration de l'art » et de fabrication de la valeur financière des œuvres en réseau, qui impliquait fondations, musées, universités, mécènes et associations diverses. Des galeristes tels que Leo Castelli et les liens qu'il entretenait avec la direction du Museum of Modern Art ont joué un rôle essentiel dans ce dispositif. Analysant cette période, l'historienne britannique Frances Stonor Saunders avance que l'expressionnisme abstrait n'aurait pas été reconnu et célébré comme il l'a été sans l'aide de la CIA.

Reconnaissance que Serge Guilbaut présente comme l'aboutissement de la politique culturelle menée par les États-Unis, le pop art remplaçant toute proposition esthétique par une adhésion à la société de consommation et réduisant l'art au design. La jonction entre l'expressionnisme abstrait et le pop art donne naissance à la fin du XXe siècle à l'« art contemporain », une production entièrement soumise aux lois du marché et animée par des « créateurs » désormais dépourvus de tout savoir-faire et indépendants de toute tradition esthétique.


frances stonor saunders, qui mène la danse ? la cia et la guerre froide culturelle.






1983-2013 années noires de la peinture : une mise à mort bureaucratique ?


Les artistes contemporains les plus médiatiques sont capables de tout sauf de peindre, de sculpter ou de graver. A en croire la terminologie officielle, ils "installent", "conceptualisent" et "subvertissent" ; allant jusqu'à "détourner" tous les objets du quotidien, déchets compris. De cet ensemble disparate, l'on ne retiendrait qu'un effet de mode, qu'un caprice du goût assez anodin, s'il n'obéissait à une véritable "révolution culturelle" soigneusement institutionnalisée : visant à éradiquer les arts plastiques traditionnels au motif qu'ils seraient dépassés et donc voués à disparaître. Aussi n'est-ce pas un hasard si les réalisations contemporaines qui "revisitent" les oeuvres majeures du patrimoine culturel en effacent systématiquement la facture d'origine.
De quoi remettre en cause la thèse du déclin historique au profit du scénario rigoureusement inverse : c'est bien d'un complot planifié en haut lieu, aux puissantes motivations mercantiles, que meurent la peinture, la sculpture et la gravure. Tout aurait commencé voici trente ans... Trois artistes ont uni leurs efforts pour explorer le progrès d'un insidieux travail d'endoctrinement aux répercussions sans précédent sur la théorie et le marché de l'art.
Sans valeur marchande : https://debord-encore.blogspot(...).html

La peste citoyenne. La classe moyenne et ses angoisses : http://parolesdesjours.free.fr(...)e.pdf
jules_albert
félicien rops, street corner, four in the morning, 1881


carl vilhelm holsøe, intérieur avec jeune fille lisant, vers 1900


emil filla, lecteur de dostoïevski, 1907


dean cornwell, priest spanish city, 1921


eugène delacroix, le vampire, 1825


antoine wiertz, la lectrice de romans, 1853


alexander mark rossi, livres interdits, 1897


george elgar hicks, woman's mission. comfort of old age, 1863


berthe morisot, la lecture, 1873


victor-gabriel gilbert, la halle aux poissons, 1881


elizabeth thompson, scotland forever!, 1881


john singer sargent, street in venice, 1882


georges seurat, casseurs de pierre, le raincy, vers 1882


g. seurat, arc-en-ciel (étude), 1883


g. seurat, baigneurs à asnières, 1884


max klinger, l'ambassade, 1882


louise breslau, les amies, 1881
Sans valeur marchande : https://debord-encore.blogspot(...).html

La peste citoyenne. La classe moyenne et ses angoisses : http://parolesdesjours.free.fr(...)e.pdf
jules_albert
henry lamb, mort d'une paysanne, 1911.


hans andersen brendekilde, udslidt, 1889.


victor-gabriel gilbert (1847-1933), pris dans la tempête.


georges seurat, casseur de pierre à la brouette, 1883.


johan tirén (1853-1911), après la tempête de neige.


charles de groux, le moulin à café, 1857.


nikolay kasatkin, pauvres ramassant du charbon aux alentours d'une mine abandonnée, 1894.




léon frédéric, les âges de l'ouvrier (triptyque), 1895-97.


raoul dufy, fin de journée au havre, 1901.


jozef israëls, les mangeurs de pommes de terre, 1902.


francesc sardà, le dîner de l'ouvrier, 1911.


carlo pittara, l'aratura dei campi, 1870.


a government inspector visiting a factory, illustrated london news, 1881.


travail des enfants, profit, 1917.



gustave courbet, les demoiselles de village, 1852.


jules breton, la bénédiction des blés en artois (détail), 1857


léon augustin lhermitte, 1883


achille tominetti (1848-1917) aratura a miazzina.


william balfour-ker, from the depths, 1906.
Sans valeur marchande : https://debord-encore.blogspot(...).html

La peste citoyenne. La classe moyenne et ses angoisses : http://parolesdesjours.free.fr(...)e.pdf
Pierre-Andre
Très chouette la dernière !
De nos jours, ce genre d'image évoque les gilets jaunes, ou alors c'est juste moi?
Lao
  • Lao
  • Vintage Top utilisateur
  • MP
  • #443
  • Publié par
    Lao
    le 27 Mar 19, 16:43
Aristide Bruant peut être
Citation:
.................
Mais notre règne arrivera
Quand votre règne finira :
Mais notre règne arrivera
Quand votre règne finira :
Nous tisserons le linceul du vieux monde,
Car on entend déjà la révolte qui gronde

C'est nous les canuts
Nous n'irons plus nus
"Tant qu’on n’aura pas diffusé très largement à travers les hommes de cette planète la façon dont fonctionne leur cerveau, la façon dont ils l’utilisent et tant que l’on n’aura pas dit que jusqu’ici que cela a toujours été pour dominer l’autre, il y a peu de chance qu’il y ait quoi que ce soit qui change. " Henri Laborit.
jules_albert
oui, peut-être, je ne sais pas trop. il y a une charge sociale, c'est certain.

voici un petit texte de sacha guitry où il évoque un bar aux folies bergère :




Si l'on pouvait choisir...


Il est une question que vous vous êtes sans doute souvent posée - ou bien que vous avez posée à d'autres - ou bien que d'autres encore ont pu vous adresser.
Elle m'a été posée souvent.
- Si tu pouvais choisir au Louvre un tableau quel qu'il soit... oui, si on te l'offrait... lequel choisirais-tu ?
Le premier nom qui vous vient à l'esprit doit être toujours, je crois, la Joconde - mais, tout de suite, on doit y renoncer, je pense parce qu'on ne doit pas trouver ce choix très personnel - alors on se rabat, si j'ose dire, sur la Belle Ferronnière, l'Olympia de Manet ou le Moulin de la Galette de Renoir.

Je sais l'absurdité de telles suppositions - mais cependant, allons plus loin : admettons un instant que la chose soit possible, que l'un de ces chefs-d'œuvre soit apporté chez vous.
Il n'y resterait pas longtemps.

Quelle que soit la qualité des tableaux que vous possédez, l'écrasante beauté de la Belle Ferronnière et du Moulin de la Galette aurait bien vite fait de vous rendre la vie impossible - et, avant huit jours, vous vous rendriez compte qu'un homme n'a pas le droit de posséder pour lui seul de tels chefs-d'œuvre. Vous n'auriez rien fait de mal et pourtant vous passeriez à vos propres yeux pour un voleur.

D'ailleurs, je vous en parle en connaissance de cause. Il y a de cela quarante ans, tout à fait au début de cette vive amitié qui nous avait liés, les frères Bernheim et moi, j'avais eu l'occasion de voir et d'admirer chez eux, à leur maison de commerce, ce merveilleux tableau de Manet intitulé : le Bar des Folies-Bergère - tableau célèbre s'il en fût. Je m'étais mis à genoux devant lui, d'autant qu'il se trouvait au sol - et je m'étais extasié comme il se doit devant cette splendeur.

Quelle ne fut pas ma surprise, rentrant chez moi deux heures plus tard, de trouver le tableau accroché au mur dans mon bureau.
C'est un tableau d'une mesure inaccoutumée. Il a peut-être bien deux mètres de longueur et un mètre cinquante de hauteur. Il est d'ailleurs si grand et si précieux que l'on a cru devoir encastrer dans son cadre un niveau d'eau et un thermomètre, pour qu'il ne soit jamais de travers - et pour qu'il n'ait jamais ni trop chaud ni trop froid ! Et il était là, chez moi !

Je n'en croyais pas mes yeux, vous le pensez bien, et, vite, je téléphonai à mes amis pour leur demander ce que cela signifiait.
Ils me répondirent :
- Nous avons vu à quel point vous raffoliez de ce tableau et nous vous le prêtons pendant une quinzaine de jours.
Je vous laisse penser ce que furent pour moi ces deux semaines ! Je ne sortais plus - c'est bien simple - je ne sortais plus que pour aller jouer le soir !

Les quinze jours étant écoulés, ils vinrent dîner chez moi, et il fut convenu que, le lendemain matin, ils le feraient reprendre.
- A moins, me dit l'un deux...
- A moins ?
- A moins que vous ne désiriez l'acquérir.
- L'acquérir !
Et ils me dirent un prix, hélas ! pour moi inabordable - et cependant très au-dessous de la valeur du tableau.
Et le Bar de Manet, le lendemain vers onze heures, disparut à jamais de chez moi.
L'ai-je regretté ?
Eh bien ! franchement, non : c'était trop beau pour un seul homme.
Et puis, c'était invraisemblable - à telle enseigne que bien des gens qui entraient chez moi me disaient : "Ah ! vous avez une copie du Bar de Manet !"

A quelque temps de là, mes amis l'ont vendu trois millions à Mme Courtauld, qui représente en Angleterre la soie artificielle, et j'ai revu chez elle ce merveilleux chef-d'œuvre.
Mme Courtauld, d'ailleurs, ne possédait que des chefs-d'œuvre, et si ma mémoire est fidèle, elle avait payé chacun d'eux trois millions.
Elle avait les Soleils de Van Gogh - un des plus beaux paysages de Cézanne - La Parade de Seurat - La Loge de Renoir...
Eh bien ! chacun de ces tableaux, chacun de ces chefs-d'œuvres paraissait mal à l'aise, et Mme Courtauld elle-même semblait un peu gênée de les avoir acquis - car elle était une dame extrêmement sensible et fine...
Et je ne me trompe sans doute pas, puisque ces merveilleux tableaux, elle les a tous offerts de son vivant à l'un des musées nationaux de Londres.

Sacha Guitry, Des merveilles (volume Cinquante ans d'occupation, omnibus)
Sans valeur marchande : https://debord-encore.blogspot(...).html

La peste citoyenne. La classe moyenne et ses angoisses : http://parolesdesjours.free.fr(...)e.pdf
jules_albert
giuseppe cominetti, entre les barbelés, 1918.



charles lucien léandre, humanité contre barbarie, ca. 1914-18.



andré devambez, la pensée aux absents (triptyque), 1918.





arthur-edmond guillez (+marne, 1916), homme avec cigarette, ca. 1915.



auteur inconnu, sommes-nous les barbares ?, 1914-18.



alberto martini, les neutres et la guerre, danse macabre européenne, 1915.



romaine brooks, la vénus triste, 1917.



ludwig fahrenkrog, destin, 1917.



françois flameng, soldats allemands avec masques à gaz et cuirasses de guetteurs , 1917.



alfred-philippe roll, reims sous le bombardement (vision d'une cave), 1915.



william hatherel, le dernier message, 1915.



georges paul leroux, en les éparges. soldats enterrant leurs camarades au clair de lune, 1915.



alois kolb, valkyries, 1915.



paul rieth, illustration pour la revue jugend, 1915.



albert weisgerber (+somme, 1915), mère et fils, 1904.



georges scott, effet d'un obus dans la nuit ou la brèche, 1915.



franz marc (+verdun, 1916), réconciliation, 1912.



adriana bisi fabbri, manifestazione interventista, 1915.



albin egger-lienz, toter soldat aus der missa eroica, 1918.



louis raemaekers, à ta santé, civilisation !, 1916.



chaïm soutine, nature morte aux harengs, 1916.



karl thylmann (+verdun, 1916), aveuglé, 1916.



robert minor, le soldat parfait, 1916.



giacomo balla, canto patriottico. piazza siena, 1915.



mstislav dobuzhinsky, le baiser, 1916.



arpad schmidhammer, 1915.



adriaan korteweg, laocoonte, 1914.



walther bötticher (+somme, 1916) autoportrait, 1914.



christian rohlfs, le soldat, 1914.



john sloan, après la guerre une médaille et peut-être un emploi, 1914.



otto dix, tranchée, ca. 1918.
Sans valeur marchande : https://debord-encore.blogspot(...).html

La peste citoyenne. La classe moyenne et ses angoisses : http://parolesdesjours.free.fr(...)e.pdf
jules_albert
luca giordano, l'archange saint-michel jetant les anges rebelles dans l'abîme (détail), ca. 1663.

luca giordano, l'archange saint-michel jetant les anges rebelles dans l'abîme, ca. 1663.



cornelis saftleven, tentation de saint-antoine, 1629.



giovanni martinelli, la mort à la table du vieil avare, ca. 1637.



giuseppe maria mitelli, le monde est avant tout une cage aux fous, 1684.



jacob heinrich elbfas, vädersolstavlan (parhélie), 1636.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Parhélie



pietro paolini, allégorie des cinq sens, ca. 1630.



peter paul rubens, le miracle de saint just, 1633.



jacques callot, pendaison, 1633.







roelant savery, orpheus in the underworld, 1610-15.



otto marseus van schrieck, morning glory, toad and insects, 1660.



leonaert bramer, exécution de saint jean baptiste, 1613.



jacob van swanenburg, la barque de charon, 1625.



joseph heintz le jeune, l'alchimiste, 1650.



salvator rosa, sabbath de sorcières, 1654.
Sans valeur marchande : https://debord-encore.blogspot(...).html

La peste citoyenne. La classe moyenne et ses angoisses : http://parolesdesjours.free.fr(...)e.pdf
jules_albert
johan barthold jongkind, notre-dame au clair de lune, 1864



frank myers boggs, 1898.



albert marquet, notre-dame en hiver, 1902.



albert lebourg, 1894.



albert lebourg



yoshijiro urushibara



francis picabia, 1906.



picabia, les quais, 1904.



maximilien luce, 1901


maximilien luce, 1900



georges redon, vers 1890



étienne moreau-nélaton, vers 1898




edward hopper, 1907.



luc-olivier merson, illustration pour notre-dame de paris de victor hugo, 1881.



charles meryon, 1854.



louis vivin, 1933



edward sharland, 1920.



henri rousseau, île de la cité, 1895




edward moran, 1878




henri matisse, 1902.




marc chagall, le monstre de notre-dame 1953.




eugene berman, esmeralda, 1943.




john taylor arms, 1929.




nicolas tarkhoff, 1902.




charles guilloux, 1904.




jean joveneau, 1910.




jean-baptiste oudry, l'incendie du petit pont et de l'hôtel-dieu, 1718




johan barthold jongkind,, 1864





anonyme, l'enfant prodigue chez les courtisanes, vers 1600

http://www.carnavalet.paris.fr(...)sanes




les frères limbourg, les très riches heures du duc de berry, la rencontre des trois rois mages, vers 1410.

http://www.ecoles.cfwb.be/arga(...)e.htm
Sans valeur marchande : https://debord-encore.blogspot(...).html

La peste citoyenne. La classe moyenne et ses angoisses : http://parolesdesjours.free.fr(...)e.pdf
jules_albert

Maurizio Lazzarato, Marcel Duchamp et le refus du travail, suivi de "Misère de la sociologie"

vidéo-inteview de maurizio lazzarato où est évoqué le lien entre la commune de paris et l'œuvre de duchamp : https://vimeo.com/265146031


Marcel Duchamp et le refus du travail : http://www.cip-idf.org/article(...)=7151


Dans l'abondante littérature consacrée à Duchamp, la thèse de Maurizio Lazzarato détonne : l'œuvre duchampienne ne s'oppose pas à l'institution artistique et ne se situe même pas à l'intérieur de l'art ; elle témoigne d'un refus pur et simple de faire de l'art et de se comporter en artiste. Ce refus possède de profondes conséquences. L'"anartiste" Duchamp vise les assignations sociales et l'accent trop souvent placé sur la production, dans le culte du génie comme dans l'apologie du travail en général. Il s'inscrit dans la continuité du mouvement ouvrier, qui fut aussi un non-mouvement : un arrêt de la production suspendant les rôles, les fonctions et les hiérarchies de la division du travail. L'action paresseuse duchampienne ouvre dès lors sur une autre éthique et une autre anthropologie de la modernité : en s'attaquant aux fondements du travail, elle cherche à opérer une transformation de la subjectivité, à inventer de nouvelles techniques d'existence et de nouvelles manières d'habiter le temps.

L'analyse sur Duchamp est suivie d'un texte intitulé "Misère de la sociologie" dans lequel Lazzarato critique la conception du travail de P.-M. Menger et les positions de Boltanski & Chiapello sur le nouvel esprit du capitalisme.
Sans valeur marchande : https://debord-encore.blogspot(...).html

La peste citoyenne. La classe moyenne et ses angoisses : http://parolesdesjours.free.fr(...)e.pdf

En ce moment sur backstage...