Rock'n Folk a débarqué dans ma vie alors que j'avais 10 ans. Je piquais les numéro à mon frère, et chaque fois la prose des chroniqueurs me fascinait par son aspect ésotérique et incompréhensible.
Mais très vite ce mag a commencé à baisser dans mon estime.
Je n'aime pas leur obsession sénile pour les vieilleries ou les nouvelles vielleries, je n'aime pas leur obsession pour les fringues vintage, je n'aime pas leurs erreurs hilarante ( Rock'n Folk, l'inventeur de la "Fender Flying V" ), je n'aime pas leur maquette aussi claire et chaleureuse qu'une porte de goulag, je n'aime pas leur élitisme, leur cooptation et leur copinage, leur parisianisme, Je n'aime pas Eudeline - même si ce mec est, comme me répliquerait Monsieur M(anoeuvre?) une mine d'information, si j'ai besoin d'un dico j'ai Internet - je n'aime pas Rock 'N Folk, à l'exception de quelques rares articles.
Dernière chose : ok, Rock'n Folk est un poil au -dessus des autres publications ...mais en France, c'est pas dur.
Pleasüre man au service de la Günther Army :D