Zorzi a écrit :
Une reprise de
Ne me quitte pas de Brel par
Buika, une transposition en flamenco moderne ou la dramatisation ne passe plus par les paroles (dont on ne comprend quasi rien) mais par une autre musicalité dans un arrangement réussi, presque un autre continent. Etonnant.
Tout à fait étonnant, c’est le mot.
Belle production, aussi, soignée et plutôt sobre.
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.