Quand la santé vous ampute de la guitare témoignage vécu

Rappel du dernier message de la page précédente :
flomarceau
D'autant plus que les médecins ne prennent pas de pincettes desfois...

A 15 ans, quand on a détecté mon foutu kyste grave mal placé dans mon cerveau (et qui me provoque des crises assez spectaculaires quand il se dilate sous l'effet de la chaleur), le médecin qui me suivait s'est mis en tête de m'énumérer toutes les chances que j'avais de sortir de la salle d'op avec des "capacités" en moins...

Je le revois encore derrière son bureau en ronce de noyer en train de me faire "50% de chance d'être sourd, 40% d'être aveugle..." etc etc.

Et il a pas compris pourquoi j'ai fait une crise de panique dans son bureau.

Enfin en attendant, ma décision est prise, on ne m'opérera que quand ca sera la dernière chance .
"she said I'll throw myself away..."
Doc Loco
flomarceau a écrit :
D'autant plus que les médecins ne prennent pas de pincettes desfois...

A 15 ans, quand on a détecté mon foutu kyste grave mal placé dans mon cerveau (et qui me provoque des crises assez spectaculaires quand il se dilate sous l'effet de la chaleur), le médecin qui me suivait s'est mis en tête de m'énumérer toutes les chances que j'avais de sortir de la salle d'op avec des "capacités" en moins...

Je le revois encore derrière son bureau en ronce de noyer en train de me faire "50% de chance d'être sourd, 40% d'être aveugle..." etc etc.

Et il a pas compris pourquoi j'ai fait une crise de panique dans son bureau.

Enfin en attendant, ma décision est prise, on ne m'opérera que quand ca sera la dernière chance .


Ce médecin a bien fait son job: il est tenu par la loi de t'informer précisément des risques exacts de l'intervention chirurgicale proposée. C'est dans le cas contraire ("vous en faites pas, tout va bien se passer, faite-moi confiance" ... ) qu'il aurait été en tort.
In rod we truss.

"Quelle opulence" - themidnighter

"It's sink or swim - shut up!"
Bouriquet
flomarceau a écrit :
D'autant plus que les médecins ne prennent pas de pincettes desfois...

A 15 ans, quand on a détecté mon foutu kyste grave mal placé dans mon cerveau (et qui me provoque des crises assez spectaculaires quand il se dilate sous l'effet de la chaleur), le médecin qui me suivait s'est mis en tête de m'énumérer toutes les chances que j'avais de sortir de la salle d'op avec des "capacités" en moins...

Je le revois encore derrière son bureau en ronce de noyer en train de me faire "50% de chance d'être sourd, 40% d'être aveugle..." etc etc.

Et il a pas compris pourquoi j'ai fait une crise de panique dans son bureau.

Enfin en attendant, ma décision est prise, on ne m'opérera que quand ca sera la dernière chance .


putain t'as un truc grave quand même.
Dès fois jme plains à cause de mon begaiement, mais là c'est pas du même niveau
MXR 151 Double Shot à vendre

Peavey Wolfgang à vendre
Doc Loco a écrit :
flomarceau a écrit :
D'autant plus que les médecins ne prennent pas de pincettes desfois...

A 15 ans, quand on a détecté mon foutu kyste grave mal placé dans mon cerveau (et qui me provoque des crises assez spectaculaires quand il se dilate sous l'effet de la chaleur), le médecin qui me suivait s'est mis en tête de m'énumérer toutes les chances que j'avais de sortir de la salle d'op avec des "capacités" en moins...

Je le revois encore derrière son bureau en ronce de noyer en train de me faire "50% de chance d'être sourd, 40% d'être aveugle..." etc etc.

Et il a pas compris pourquoi j'ai fait une crise de panique dans son bureau.

Enfin en attendant, ma décision est prise, on ne m'opérera que quand ca sera la dernière chance .


Ce médecin a bien fait son job: il est tenu par la loi de t'informer précisément des risques exacts de l'intervention chirurgicale proposée. C'est dans le cas contraire ("vous en faites pas, tout va bien se passer, faite-moi confiance" ... ) qu'il aurait été en tort.


Je pense pas que celà soit si "évident"
Un médecin devrait être apte à déceler la psychologie du patient, et donc de cerner s'il est pret ou non à entendre les faits. C'est sur que si tu le demandes, il doit te le dire, mais, moi, comme dit plus tôt dans ce topic, on m'a souvent annoncé des complications que je n'étais pas encore prêt à écouter, mais bon, ça relève plus de la psychologie qu'autre chose...
Tout est relatif.
flomarceau
Doc Loco a écrit :
flomarceau a écrit :
D'autant plus que les médecins ne prennent pas de pincettes desfois...

A 15 ans, quand on a détecté mon foutu kyste grave mal placé dans mon cerveau (et qui me provoque des crises assez spectaculaires quand il se dilate sous l'effet de la chaleur), le médecin qui me suivait s'est mis en tête de m'énumérer toutes les chances que j'avais de sortir de la salle d'op avec des "capacités" en moins...

Je le revois encore derrière son bureau en ronce de noyer en train de me faire "50% de chance d'être sourd, 40% d'être aveugle..." etc etc.

Et il a pas compris pourquoi j'ai fait une crise de panique dans son bureau.

Enfin en attendant, ma décision est prise, on ne m'opérera que quand ca sera la dernière chance .


Ce médecin a bien fait son job: il est tenu par la loi de t'informer précisément des risques exacts de l'intervention chirurgicale proposée. C'est dans le cas contraire ("vous en faites pas, tout va bien se passer, faite-moi confiance" ... ) qu'il aurait été en tort.


Ya la façon de le faire, là j'avais l'impression d'être un bout de barbaque...
"she said I'll throw myself away..."
flomarceau
Bouriquet a écrit :
flomarceau a écrit :
D'autant plus que les médecins ne prennent pas de pincettes desfois...

A 15 ans, quand on a détecté mon foutu kyste grave mal placé dans mon cerveau (et qui me provoque des crises assez spectaculaires quand il se dilate sous l'effet de la chaleur), le médecin qui me suivait s'est mis en tête de m'énumérer toutes les chances que j'avais de sortir de la salle d'op avec des "capacités" en moins...

Je le revois encore derrière son bureau en ronce de noyer en train de me faire "50% de chance d'être sourd, 40% d'être aveugle..." etc etc.

Et il a pas compris pourquoi j'ai fait une crise de panique dans son bureau.

Enfin en attendant, ma décision est prise, on ne m'opérera que quand ca sera la dernière chance .


putain t'as un truc grave quand même.
Dès fois jme plains à cause de mon begaiement, mais là c'est pas du même niveau


Bof t'inquiète, je fais ce qu'il faut. Le seul truc, c'est que le seul truc qui peut calmer les crises n'est pas encore légal en France... (et qui ne soit pas un médicament qui nécessite d'augmenter les doses pour faire encore effet au fur et à mesure des crises...)
"she said I'll throw myself away..."
flomarceau a écrit :
Ya la façon de le faire, là j'avais l'impression d'être un bout de barbaque...

Voilà, c'est de ça dont je voulais parler, tu perçois chez certain médecin le fait que tu sois un simple numéro sur une fiche interminable, ou alors un sujet d'étude pour des internes
flomarceau
aurelien-lewin a écrit :
flomarceau a écrit :
Ya la façon de le faire, là j'avais l'impression d'être un bout de barbaque...

Voilà, c'est de ça dont je voulais parler, tu perçois chez certain médecin le fait que tu sois un simple numéro sur une fiche interminable, ou alors un sujet d'étude pour des internes


Ah wé, sujet d'étude, j'ai fait ca aussi, mais ca m'a moins marqué. Juste ce qui m'a gavé c'est à Necker, t'as 35 internes ou médecins qui rentrent, qui te regardent de partout, qui te parlent pas, qui parlent entre eux dans leur langue s'ils sont étrangers, qui t'adresse à peine un regard (les femmes généralement, mais pas les mecs) et qui se cassent sans t'avoir rien expliqué...

Si t'es tout seul dans ta chambre, tu te sens extrèmement seul d'un seul coup une fois que tout le monde est parti, t'as l'impression de rien être, juste un truc rigolo, un phénomène de foire (encore en plus si on te répète que tu n'es pas un sujet prioritaire parce que c'est très rare comme maladie...).
"she said I'll throw myself away..."
Doc Loco
aurelien-lewin a écrit :
Doc Loco a écrit :
flomarceau a écrit :
D'autant plus que les médecins ne prennent pas de pincettes desfois...

A 15 ans, quand on a détecté mon foutu kyste grave mal placé dans mon cerveau (et qui me provoque des crises assez spectaculaires quand il se dilate sous l'effet de la chaleur), le médecin qui me suivait s'est mis en tête de m'énumérer toutes les chances que j'avais de sortir de la salle d'op avec des "capacités" en moins...

Je le revois encore derrière son bureau en ronce de noyer en train de me faire "50% de chance d'être sourd, 40% d'être aveugle..." etc etc.

Et il a pas compris pourquoi j'ai fait une crise de panique dans son bureau.

Enfin en attendant, ma décision est prise, on ne m'opérera que quand ca sera la dernière chance .


Ce médecin a bien fait son job: il est tenu par la loi de t'informer précisément des risques exacts de l'intervention chirurgicale proposée. C'est dans le cas contraire ("vous en faites pas, tout va bien se passer, faite-moi confiance" ... ) qu'il aurait été en tort.


Je pense pas que celà soit si "évident"
Un médecin devrait être apte à déceler la psychologie du patient, et donc de cerner s'il est pret ou non à entendre les faits. C'est sur que si tu le demandes, il doit te le dire, mais, moi, comme dit plus tôt dans ce topic, on m'a souvent annoncé des complications que je n'étais pas encore prêt à écouter, mais bon, ça relève plus de la psychologie qu'autre chose...
Tout est relatif.


Que le patient soit apte ou non à entendre ce qu'on a a lui dire, ce doit être dit. C'est la loi, et le médecin qui ne le fait pas s'expose aux poursuites judiciaires en cas de problème!

Il y'a la manière évidemment, mais les chirurgiens sont assez rarement de grands communicateurs, ce sont des gens plus habiles avec leurs mains et leur tête qu'avec leur langue, et ce sont rarement de grands diplomates : quand tu passes une bonne partie de ta vie dans les tripes de ton voisin, tu as tendance à faire dans l'efficacité sans nécessairement faire dans la dentelles. Bien sûr il y'a des chirurgiens prévenants, qui prendront un max de temps pour t'expliquer en quoi consiste l'opération et quels sont ses risques, mais la plupart préfèrent travailler que bavasser.

Et si j'avais le choix, je préfère un chirurgien qui ne met pas de gants pour m'annoncer les risques d'une opération mais qui m'informe correctement et complètement, que celui qui me réconforte (c'est BEAUCOUP plus facile de dire "tout va bien se passer" que de dire " je vous opère mais vous risquez ceci") mais me laisse dans l'ignorance.
In rod we truss.

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RootsRadicals
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aurelien-lewin a écrit :
Doc Loco a écrit :
flomarceau a écrit :
D'autant plus que les médecins ne prennent pas de pincettes desfois...

A 15 ans, quand on a détecté mon foutu kyste grave mal placé dans mon cerveau (et qui me provoque des crises assez spectaculaires quand il se dilate sous l'effet de la chaleur), le médecin qui me suivait s'est mis en tête de m'énumérer toutes les chances que j'avais de sortir de la salle d'op avec des "capacités" en moins...

Je le revois encore derrière son bureau en ronce de noyer en train de me faire "50% de chance d'être sourd, 40% d'être aveugle..." etc etc.

Et il a pas compris pourquoi j'ai fait une crise de panique dans son bureau.

Enfin en attendant, ma décision est prise, on ne m'opérera que quand ca sera la dernière chance .


Ce médecin a bien fait son job: il est tenu par la loi de t'informer précisément des risques exacts de l'intervention chirurgicale proposée. C'est dans le cas contraire ("vous en faites pas, tout va bien se passer, faite-moi confiance" ... ) qu'il aurait été en tort.


Je pense pas que celà soit si "évident"
Un médecin devrait être apte à déceler la psychologie du patient, et donc de cerner s'il est pret ou non à entendre les faits. C'est sur que si tu le demandes, il doit te le dire, mais, moi, comme dit plus tôt dans ce topic, on m'a souvent annoncé des complications que je n'étais pas encore prêt à écouter, mais bon, ça relève plus de la psychologie qu'autre chose...
Tout est relatif.


Que le patient soit apte ou non à entendre ce qu'on a a lui dire, ce doit être dit. C'est la loi, et le médecin qui ne le fait pas s'expose aux poursuites judiciaires en cas de problème!

Il y'a la manière évidemment, mais les chirurgiens sont assez rarement de grands communicateurs, ce sont des gens plus habiles avec leurs mains et leur tête qu'avec leur langue, et ce sont rarement de grands diplomates : quand tu passes une bonne partie de ta vie dans les tripes de ton voisin, tu as tendance à faire dans l'efficacité sans nécessairement faire dans la dentelles. Bien sûr il y'a des chirurgiens prévenants, qui prendront un max de temps pour t'expliquer en quoi consiste l'opération et quels sont ses risques, mais la plupart préfèrent travailler que bavasser.

Et si j'avais le choix, je préfère un chirurgien qui ne met pas de gants pour m'annoncer les risques d'une opération mais qui m'informe correctement et complètement, que celui qui me réconforte (c'est BEAUCOUP plus facile de dire "tout va bien se passer" que de dire " je vous opère mais vous risquez ceci") mais me laisse dans l'ignorance.



Mais la loi est elle la meme en Belgique et en France ?
" When I got the Music, I got a place to Go "
"For music we can live forever"
Tim Armstrong
Doc Loco
RootsRadicals a écrit :
Doc Loco a écrit :
aurelien-lewin a écrit :
Doc Loco a écrit :
flomarceau a écrit :
D'autant plus que les médecins ne prennent pas de pincettes desfois...

A 15 ans, quand on a détecté mon foutu kyste grave mal placé dans mon cerveau (et qui me provoque des crises assez spectaculaires quand il se dilate sous l'effet de la chaleur), le médecin qui me suivait s'est mis en tête de m'énumérer toutes les chances que j'avais de sortir de la salle d'op avec des "capacités" en moins...

Je le revois encore derrière son bureau en ronce de noyer en train de me faire "50% de chance d'être sourd, 40% d'être aveugle..." etc etc.

Et il a pas compris pourquoi j'ai fait une crise de panique dans son bureau.

Enfin en attendant, ma décision est prise, on ne m'opérera que quand ca sera la dernière chance .


Ce médecin a bien fait son job: il est tenu par la loi de t'informer précisément des risques exacts de l'intervention chirurgicale proposée. C'est dans le cas contraire ("vous en faites pas, tout va bien se passer, faite-moi confiance" ... ) qu'il aurait été en tort.


Je pense pas que celà soit si "évident"
Un médecin devrait être apte à déceler la psychologie du patient, et donc de cerner s'il est pret ou non à entendre les faits. C'est sur que si tu le demandes, il doit te le dire, mais, moi, comme dit plus tôt dans ce topic, on m'a souvent annoncé des complications que je n'étais pas encore prêt à écouter, mais bon, ça relève plus de la psychologie qu'autre chose...
Tout est relatif.


Que le patient soit apte ou non à entendre ce qu'on a a lui dire, ce doit être dit. C'est la loi, et le médecin qui ne le fait pas s'expose aux poursuites judiciaires en cas de problème!

Il y'a la manière évidemment, mais les chirurgiens sont assez rarement de grands communicateurs, ce sont des gens plus habiles avec leurs mains et leur tête qu'avec leur langue, et ce sont rarement de grands diplomates : quand tu passes une bonne partie de ta vie dans les tripes de ton voisin, tu as tendance à faire dans l'efficacité sans nécessairement faire dans la dentelles. Bien sûr il y'a des chirurgiens prévenants, qui prendront un max de temps pour t'expliquer en quoi consiste l'opération et quels sont ses risques, mais la plupart préfèrent travailler que bavasser.

Et si j'avais le choix, je préfère un chirurgien qui ne met pas de gants pour m'annoncer les risques d'une opération mais qui m'informe correctement et complètement, que celui qui me réconforte (c'est BEAUCOUP plus facile de dire "tout va bien se passer" que de dire " je vous opère mais vous risquez ceci") mais me laisse dans l'ignorance.



Mais la loi est elle la meme en Belgique et en France ?


Je l'espère pour les patients français - c'est bien le minimum que le patient soit averti des risques qu'il court.
In rod we truss.

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"It's sink or swim - shut up!"
Dans les artistes ayant un handicap il y a aussi le batteur de def leppard a ne pas oublier....
RoCKThECoCknEy
Nan il ne me semble pas...Je me rapelle, le mari de magrand mére, a l'époque (y a 30 ans quoi), allait acheter des médicaments contre le cancer en belgique, parce que l'ont ne pouvait pas en acheter en france...
J'ai décidé d'arreter Guitariste.com pour me consacrer a la guitare... A un de ces jours...
Doc Loco a écrit :
Que le patient soit apte ou non à entendre ce qu'on a a lui dire, ce doit être dit. C'est la loi, et le médecin qui ne le fait pas s'expose aux poursuites judiciaires en cas de problème!

Il y'a la manière évidemment, mais les chirurgiens sont assez rarement de grands communicateurs, ce sont des gens plus habiles avec leurs mains et leur tête qu'avec leur langue, et ce sont rarement de grands diplomates : quand tu passes une bonne partie de ta vie dans les tripes de ton voisin, tu as tendance à faire dans l'efficacité sans nécessairement faire dans la dentelles. Bien sûr il y'a des chirurgiens prévenants, qui prendront un max de temps pour t'expliquer en quoi consiste l'opération et quels sont ses risques, mais la plupart préfèrent travailler que bavasser.

Et si j'avais le choix, je préfère un chirurgien qui ne met pas de gants pour m'annoncer les risques d'une opération mais qui m'informe correctement et complètement, que celui qui me réconforte (c'est BEAUCOUP plus facile de dire "tout va bien se passer" que de dire " je vous opère mais vous risquez ceci") mais me laisse dans l'ignorance.


Oui parfaitement, je pense que dans le cas d'une opération chirurgicale, tout doit être dit, et puis c'est parfaitement normal de connaître les risques encourus.
Dans mon cas, celà ne relevait pas d'une opération, juste de faits avérés sur ma maladie. La nana me racontait les complications qui surviennent à coup-sûr vers la 40ène, comme perte partielle ou totale de la vue, paraplégie... le genre de truc qui choque à 7ans. Me le dire à l'âge de l'adolescence me parait plus convenable, mais passons.

D'un point de vue chirurgical, c'est clair que je voudrais connaître les risques d'une opération. Mais lorsque celle-ci s'avère obligatoire, et qu'aucune alternative se présente, c'est plus dur à encaisser...
RoCKThECoCknEy
Quand j'était enfant, je jouait de la trompette, mais j'ai du arreter a cause d'une maladie... et je ne peut toujours pas en refaire... c'est chiant.
A l'époque je ne jouait pas encore de gratte, mais je me suis fait opéré un paquet de fois (jusqu'a combien va le volume sur un fender? )...Bon maintenant sa va, je vais pas dramatiser non plus (bien que ma maladie soit mortelle, mais sa va j'ai eu de la chance d'étre né dans un pays avec une putain de medecine)...
Mais c'est vrai que j'ai des sueur froides a l'idée de perdre mes doigts...(et pas que pour la gratte)...mais je fait gaffe...
Pffff...
La vie est speed...
J'ai décidé d'arreter Guitariste.com pour me consacrer a la guitare... A un de ces jours...
RoCKThECoCknEy
Allez la vie continue quoi...
J'ai décidé d'arreter Guitariste.com pour me consacrer a la guitare... A un de ces jours...

En ce moment sur bla bla et guitare...