Masha a écrit :
2pattesnon a écrit :
... 4 pattes oui !
la levrette, c'est pas là
No doggy style allowed here.
Simplement une ferme d'animaux :
"The birds did not understand Snowball’s long words, but they accepted his explanation, and all the humbler animals set to work to learn the new maxim by heart. « FOUR LEGS GOOD, TWO LEGS BAD », was inscribed on the end wall of the barn, above the Seven Commandments and in bigger letters. When they had once got it by heart, the sheep developed a great liking for this maxim, and often as they lay in the field they would all start bleating « Four legs good, two legs bad! Four legs good, two legs bad ! », and keep it up for hours on end, never growing tired of it."
Ce que le traducteur français avait choisi de rendre ainsi :
"Les oiseaux restèrent cois devant les mots compliqués de Boule de Neige, mais ils approuvèrent sa conclusion, et tous les moindres animaux de la ferme se mirent à apprendre par cœur la nouvelle maxime : «Quatre pattes, oui ! Deux pattes, non!», que l’on inscrivit sur le mur du fond de la grange, au-dessus des Sept Commandements et en plus gros caractères. Une fois qu’ils la surent sans se tromper, les moutons s’en éprirent, et c’est souvent que, couchés dans les champs, ils bêlaient en chœur : « Quatre pattes, oui ! Deux pattes, non ! ». Et ainsi des heures durant, sans se lasser jamais."
(George Orwell, La Ferme des Animaux, Chapitre III)
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.