Zorzi a écrit :
rapideyemove a écrit :
Et en deux pontets, on peut toujours jeter son dévolu sur l’excellent Mastery Bridge, (malgré son prix) dont j’avais rappelé l’existence à cinq ou six pages d’ici...
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Il y a de quoi pétrifier l'orthodoxie millénaire, fouler au pied le génie de nos ancêtres avec ces pontets extravagants issus de la recherche spatiale et pourquoi pas jouer juste pendant qu'on y est !
Tu l’as dit, Zo...
Dommage pour le tarif du Mastery Bridge (plus de deux cents euros aujourd’hui, il me semble).
L’engin a mis un fichu coup de baume d’ambroisie à une de mes Teles (une luthier aux bois de haute volée mais pourvue d’un six pontets Schaller -je ne me rappelle plus- qui endormait le son, les attaques, etc...etc..., et dont les vis de réglage des pontets, trop hautes et agressives, me martyrisaient la main droite).
Un tour de magie, si j’osais le mot.
Une restauration, au moins.
Comme j’avais déjà deux Tele en trois pontets compensés laiton, je me suis octroyé un caprice minuscule avec le Mastery Bridge pour la troisième
.
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.