fxdfxd a écrit :
Citation:
puisque la France est impliqué d'environ 60 milliards d'euros que le contribuable Français devras payer ( 4000 euro environ par foyer fiscal).
Faux !
Faux !
Citation:
leur sur-administration
Faux !
Citation:
leur incompétence à faire payer l'impot
Faux !
Citation:
les maintenir dans l'euros ne fera qu'augmenter le desastre
Je t'accorde une demi bonne reponse tout de meme
Sans changement dans la gouvernance européenne, effectivement TOUS les pays de la zone euro ont intérêt a abandonner l'euro !
Dommage, c'était une bonne idée, on aurait pu en faire de bonnes choses !
Tu vois, typiquement, un mec comme toi, qui se base juste sur du blabla et des "on dit", n'arrivera jamais a prendre une décision correcte dans sa vie. C'est triste de ne faire aucun effort intellectuel pour essayer de comprendre le monde qui t'entoure !
-fx
« Pour la France, la facture s’élèverait ainsi à un peu plus de 68 milliards d’euros », explique Philippe Waechter, économiste en chef chez Natixis Asset Management. L’Allemagne récupérerait quant à elle un fardeau supérieur à 85 milliards d’euros. L’Italie serait à peine mieux logée que la France, l’Espagne récupérerait 10% des sommes en jeu et ainsi de suite pour tous les autres pays de l’Union monétaire.
D’autres ajoutent aussi la contribution du FMI, soit 33 milliards d’euros. Autant dire que, dans une Europe encore convalescente, la pilule serait impossible à faire passer. En France, par exemple, l’ardoise grecque représenterait entre 3 000 et 4 000 euros par foyer fiscal.
Dans les salles de marchés, on se livre à un calcul tout simple pour estimer la contribution de chaque pays et on aboutit aux mêmes ordres de grandeur. Sur les 320 milliards d’euros de dette de la Grèce, la France récupérerait au bas mot 20% de ce montant, soit plus de 64 milliards d’euros. Mais pour Philippe Waechter chez Natixis Asset Management, il est pratiquement impossible d’évaluer le coût réel d’un tel naufrage, « c’est la crédibilité de l’ensemble de la zone euro qui est en jeu ».
Aujourd’hui, ce n’est plus la Grèce qui a un problème… c’est nous. Simplement, personne n’en a véritablement conscience.