john_laprudence a écrit :
fxdfxd a écrit :
john_laprudence a écrit :
"
S'ils avaient à choisir entre un accord avec des mesures draconiennes, 70% ont répondu qu'il préféreraient cet accord à un défaut suivi d'un Grexit (24%)."
Ils sont 70 % à vouloir "souffrir" longtemps
et seulement 24 % à vouloir ne pas rembourser, être enfin libres et arrêter de "souffrir"
Leurs voeux seront exaucés
oui, ce sont les limites de la démocratie, qui se heurte aux limites de l'éducation.
Et malheureusement avec un budget pour l'éducation en baisse constante ... moi j'ai passé un bac (S option math, y'a presque 20ans), on ne nous a quasiment rien enseigné sur l'économie, alors que c'est quand meme un enjeu majeur !
-fx
Il y en avait un bon en économie :
Après avoir envisagé une carrière de pianiste, il suit toutes ses études supérieures en mathématiques et en économie en Angleterre, poussé par son père à quitter le pays2. Il intègre l'université de l'Essex où il obtient en 1981 un bachelor en économathématiques, avant de partir pour l'université de Birmingham où il obtient une MSc en mathématiques statistiques l'année suivante, et de revenir à l'université d'Essex et d'y obtenir en 1987 un doctorat en économie. Avant d'obtenir son doctorat il avait déjà commencé à enseigner l'économie et l'économétrie à l'université de l'Essex et à l'université d'East Anglia en tant qu'assistant
En 1988, il passe 6 mois en tant que fellow au département d'économie appliquée et au Trinity College de l'université de Cambridge.
Après la réélection de Margaret Thatcher comme Premier ministre en 1988, il quitte le Royaume-Uni et émigre en Australie où il devient, de 1989 à 2002, lecturer puis senior lecturer (professeur associé) en théorie économique à l'université de Sydney. Durant cette période il sera aussi, pendant un an, senior lecturer en économie politique à l'université de Glasgow, puis fellow de la chaire Hoover d'éthique économique et sociale de l'université catholique de Louvain (Belgique).
En 2000, il revient enseigner en Grèce en tant que professeur associé de théorie économique à l'université d'Athènes, il y restera jusqu'en 20064. En 2002, il crée le programme doctoral économique de l'université d'Athènes (UADPhilEcon), qu'il dirige jusqu'en 2008.
Auteur de nombreux ouvrages universitaires sur la théorie économique et la théorie des jeux, Giánis Varoufákis écrit un ouvrage grand public après le krach de 2008, dans lequel il décrypte le mécanisme par lequel les États-Unis auraient assis leur hégémonie économique sur le monde, et comment la financiarisation de l'économie aurait conduit au Krach de 2008, qui marque, selon lui, la fin d'un monde : The Global Minotaur (Zed Books, Londres, 2011, 2013). Cet ouvrage résumant la pensée de Giánis Varoufákis a été traduit dans de nombreuses langues, notamment en français : Le Minotaure planétaire : l'ogre américain, la désunion européenne et le chaos mondial, publié aux éditions du Cercle (2014 et 2015).
À la traduction en français de sa Modeste proposition pour résoudre la crise de la zone euro (Les Petits Matins, février 2014), il reçoit le soutien de l'ancien Premier ministre Michel Rocard, qui préfacera ce petit ouvrage.
Mais c'est con ils l'ont pas gardé
C'est amusant de constater que dans ton copié-collé de sa page wikipedia, tu as zappé sa carrière de conseiller de Papandreou.