Citations: celles que vous préférez, on en parle.

Rappel du dernier message de la page précédente :
jules_albert
la gauche, qui est issue de la même matrice que la droite (c'est-à-dire de la "raison marchande", de son "progrès" à travers le développement technologique et sa science exclusivement orientée vers la domination de la nature) et qui, au fond, partage avec la droite les mêmes valeurs usurpatrices et destructrices qui ont fait de la planète un endroit invivable, a toujours vu dans le travail une valeur positive, hautement respectable (elle a toujours trouvé détestable le "ne travaillez jamais" de debord, mais trouvait aimable le "arbeit macht frei" des nazis).

je dédie donc ces citations à la gauche mensongère et criminelle, celle qui tout au long de l'histoire a combattu les tentatives pour en finir avec le développement capitaliste.


"Il semble donc bien que nous soyons au bout de cette aventure technicienne qui s'est engagée dans un mouvement de résistance de plus en plus forcené et catastrophique au dynamisme vivant naturel. Cette aventure a vu paraître dans l'histoire deux fléaux implacables : le travail et la destruction du monde vivant." - La folle histoire du monde


"Quant à reprocher à notre civilisation, comme on l'entend encore parfois, de favoriser les illusions religieuses, il faut rappeler que la lutte contre cette folie particulière a été l'affaire capitale de la civilisation marchande dès le moment historique où elle a réellement triomphé en Europe. L'athéisme est coexistant à la pensée marchande et ses progrès ont coïncidé avec ceux de la marchandisation du monde." - Sans valeur marchande, ch. IV


"L'Europe a donc suivi sa pente, entraînant le monde entier dans son histoire singulière, et s'éloignant toujours davantage de cette façon de vivre, et de vivre ensemble, qu'elle avait pu observer en Amérique, dans les îles du Pacifique et dans d'immenses contrées où l'on ignorait tout de ses voies. Les peuples de ces territoires ont été anéantis et leurs quelques survivants sont occasionnellement exhibés dans des espèces de "réserves", de zoos humains, de parcs ethnologiques. Le reste du monde a suivi l'Europe dans son aventure technicienne, dans son genre de folie, dans sa manière d'organisation sociale." - La folle histoire du monde


"Une opération systématique de dénigrement a donc été réalisée. On n'a pas craint de montrer les anciens peuples d'Amérique comme des "sauvages", ceux d'Europe comme des "barbares", toute la culture orientale comme "idolâtre" et la civilisation médiévale comme "obscurantiste".
A l'exception des civilisations marchandes de la Grèce antique et de la Rome impériale, aucune autre n'avait jamais eu le moindre esprit avant les temps lumineux de la nouvelle expansion commerciale et des penseurs qui s'y étaient formés." - Sans valeur marchande


"Cette idolâtrie du progrès est, aujourd'hui encore, tellement répandue et contraignante qu'il est presque impossible de montrer quelque inquiétude ou quelque dégoût pour les plus récents produits de notre civilisation moderne sans se voir soupçonné, comme d'un crime ou d'une folie, "d'antiprogressisme ou d'"anarcho-primitivisme" ; et s'entendre menacer d'un retour à l'"état sauvage" que la littérature, même scientifique, a toujours su représenter sous un aspect franchement bestial ou grotesquement idéalisé par la miévrerie de la cruelle Europe." - La folle histoire du monde


"Quant aux projets égalitaristes eux-mêmes et à l'idéologie socialiste, ils sont tout aussi intimement liés aux sociétés marchandes, quoique leur forme ait été différente selon le développement de ces sociétés. On en trouve ainsi la formulation exemplaire chez Aristophane (communautés des biens, élevage collectif des enfants, papillonnage sexuel) et chez son contemporain Platon (éducation des enfants par l'Etat, communauté de vie, de femmes et d'enfants). On n'en remarque, en revanche, aucune trace pendant plusieurs siècles d'Europe féodale. Et il faut attendre le renouveau des activités commerciales, qui aboutira bientôt à la fondation des premières communes bourgeoises, pour que l'idée d'une fin socialiste de l'histoire refasse surface dans les hérésies chrétiennes (abolition de la propriété privée, abolition du mariage et communauté des femmes, dénonciation de l'idéologie religieuse dominante) chez les hussistes, les Frères du libre-esprit ou les anabaptistes.

A partir de la Renaissance marchande, l'égalité universelle dans la consommation des biens et des femmes, ainsi que dans le travail, s'est affirmée comme projet historique, chez Thomas More, par exemple, puis au cours des révolutions anglaise et française. Au XIXe siècle ce projet a été réellement celui de toute une société, des banquiers philanthropes aux typographes socialistes. Il est apparu comme l'aboutissement heureux du "progrès" industriel, comme l'inéluctable fin de l'histoire, où la satisfaction des besoins les plus élémentaires permettrait à tous, luxe suprême, de cultiver l'amour des sciences, des arts et de la saine raison.

Dans les civilisations non marchandes, au contraire, la simple égalité abstraite des hommes entre eux n'a jamais eu aucun sens. Ces civilisations leur reconnaissaient plutôt une parfaite identité d'essence et, à ce titre, une même dignité originelle." - Sans valeur marchande, p. 50
Sans valeur marchande : https://debord-encore.blogspot(...).html

La peste citoyenne. La classe moyenne et ses angoisses : http://parolesdesjours.free.fr(...)e.pdf
Biosmog
lp57 a écrit :
Je viens de voir que tu as éditer ton message ...
Sinon appelle ça comme tu veux, ça n'en reste pas moins abject.


Tu parles du message juste précédent? J'ai édité car je parlais d'abord de jeunes filles de 15-16 ans. Je mélangeais Gabriel Matzneff qui faisait l'éloge des jeunes fille pubères (que Jaccard a d'ailleurs défendu assez mollement). Et l'éloge des jeunes femmes de 20 ans, quand on a la soixantaine bien tassée, ce que fais Jaccard. C'est quand même très différent. Et s'intéresser aux enfants de 8-12 ans, c'est encore autre chose, ce que ni l'un ni l'autre ne fait ni ne défend, il me semble: c'est pour ça que je demandais des sources. Notre époque mélange tout dans une indignation complètement conne: là on est sûr de ne rien comprendre et de ne jamais résoudre les problèmes réels. Je ne défends pas du tout le fait d'avoir des femmes plus jeunes, même de quelques années: je trouve glauque, et je parle d'expérience: mes parents avaient une grosse différence d'âge: c'est triste pour tout le monde. Mais cela n'a absolument rien à voir avec le trouble psychiatrique grave qui consiste à être attiré par des enfants pré-pubères. Là ce sont des malades qu'il faut soigner et empêcher de nuire. C'est ça la pédophilie, pas autre chose.
Vous battez pas, je vous aime tous
Sola
"...et être bourré à midi, c'est pas la juste récompense de ses efforts du matin ?"
Le bonheur rangé dans une armoire
Kandide
Citation:
Nous vivons dans un monde où les Etats sont mus par des intérêts égoïstes. Il est par conséquent très difficile de trouver le sens de l’intérêt commun. C’est ça le problème clé : on n’a pas encore trouvé le sens de notre communauté humaine de destin.

Edgar Morin
Lao
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    Lao
    le 15 Jul 20, 12:12
Roger Zelazny, Robert Sheckley (Apportez moi la tête du prince charmant) a écrit :

Reniflant donc comme un renard, Azzie suivit la senteur fugace qui le mena tout droit au sac en peau de lémurien posé par terre aux pieds de Rognir.
— Ça ne te dérange pas que je regarde ce qu’il y a là-dedans ? demanda Azzie.
Cela dérangeait beaucoup Rognir, mais comme les nains ne sont pas de force contre les démons en combat égal, il jugea préférable de se tenir coi.
— Fais comme chez toi, marmonna-t-il.
Azzie vida le sac par terre. Il écarta du pied les rubis que Rognir avait extraits en Birmanie, négligea les émeraudes de Colombie, repoussa les diamants d’Afrique du Sud avec leurs futures connotations sinistres et ramassa un petit morceau de pierre rosée, en forme de cylindre.
— On dirait bien de la félixite, ça, déclara-t-il. Ça t’ennuierait que je te l’emprunte un moment ?
Rognir haussa les épaules avec résignation – il n’avait pas le choix.
— D’ac. Mais elle s’appelle reviens.
— Ne t’inquiète pas. (Azzie tourna les talons pour s’en aller mais il se ravisa et regarda de plus près les pierres précieuses sous ses pieds.) Ecoute voir, Rognir, tu m’as l’air d’un brave bougre, pour un nain. Qu’est-ce que tu dirais de conclure un marché avec moi ?
— Quel genre de marché ?
— Eh bien, j’ai certaines entreprises en cours, je ne peux pas trop en parler pour le moment, mais c’est en rapport avec l’imminent Millénium et avec toutes ces fêtes. J’ai besoin de la félixite et de tes joyaux parce que, sans argent, un démon ne peut rien faire ! Si j'obtiens le soutien que j’espère des Hautes Puissances du Mal, je pourrai te rembourser dix fois.
— Mais j’avais l’intention d’apporter tout ça chez moi et de l’ajouter à mon tas, protesta Rognir.
Il s’accroupit et se mit à ramasser ses pierres précieuses.
— Tu dois avoir un tas joliment haut, hein ?
— Ben quoi, il n’y a pas à en avoir honte ! s’exclama Rognir, avec la satisfaction d’un gnome dont le tas pourrait rivaliser avec les meilleurs.
— Alors, pourquoi ne me laisserais-tu pas ces pierres ? Puisque ton tas chez toi est déjà bien grand ?
— Ça ne veut pas dire qu’il ne peut pas l’être davantage.
— Bien sûr. Mais si tu les ajoutes maintenant à ton tas, ton argent ne te rapportera rien. Tandis qu’en l’investissant tu le multiplieras par dix. Fais travailler ton argent.
— De l’argent qui travaille pour moi ? Quelle idée bizarre ! Je ne savais pas que l’argent pouvait travailler.
— C’est une idée pour l’avenir et elle est très raisonnable. Il n’y a pas de raison que l’argent ne travaille pas. Tout le monde travaille.
— En effet. Mais quelle assurance ai-je que tu tiendras ta promesse ? Tout ce que j’ai, c’est ta parole et si ta parole vaut des clopinettes, je n’aurai plus rien, alors que si je refuse ton offre, j’aurai encore mes belles pierres précieuses.
— Je peux te rendre cette offre irrésistible, insista Azzie. Au lieu de suivre toute la procédure bancaire, je vais te payer ton bénéfice d’avance.
— Mon bénéfice ? Mais je viens de l’investir !
— Je comprends bien. Par conséquent, pour te rassurer, je vais te donner les intérêts que tu aurais gagnés en un an avec ton investissement.
— Qu’est-ce que je dois faire ?
— Tu n’as qu’à ouvrir les mains.
— Bon, d’accord, dit Rognir qui, comme tous les gnomes, était incapable de résister à l’appât du gain.
— Voilà, dit Azzie après lui avoir mis dans les mains deux des plus petits diamants, un rubis présentant un léger défaut et trois émeraudes parfaites. Rognir les accepta et les considéra d’un air indécis.
— Mais ce sont les miennes !
— Bien sûr. C’est ton bénéfice.
— Mais elles étaient à moi d’abord !
— Je sais. Mais tu me les as prêtées.
— Ah oui ? Je ne m’en souviens pas.
— Tu te souviens d’avoir accepté le bénéfice, tout de même, quand je te l’ai offert ?
— Naturellement ! Qui refuse un bénéfice ?
— Et tu as eu parfaitement raison. Mais ton bénéfice était basé sur le prêt des pierres que tu m’as consenti pour que j’en tire un bénéfice pour toi. Maintenant tu en as récupéré plusieurs. Mais je te les dois toujours, ainsi que le reste, qui représente le capital. Dans un an, tu récupéreras tout. Et tu as déjà touché les intérêts, le bénéfice.
— Je ne suis pas sûr de bien comprendre, bégaya Rognir.
— Fais-moi confiance. Tu as réalisé un bon investissement. C’est un plaisir de conclure des affaires avec toi.
— Non, attends ! Azzie rafla tout le reste des pierres, sans oublier le morceau de félixite, et disparut dans le monde de la surface. Les démons, il va sans dire, sont capables de disparaître, ce qui leur donne un remarquable sens du théâtral.

Lao
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    Lao
    le 06 Aug 20, 14:56
Aujourd'hui on est jeudi mais je laisse à votre sagacité cette réflexion d'un historien pour la journée de demain.

Il y a un fond commun au nazisme, comme culture et comme pratique, et au management, ou à l’horreur libérale comme on dit, que nous connaissons et vivons aujourd’hui. Ce fond commun, c’est le darwinisme social, cela me semble assez clair…
"Tant qu’on n’aura pas diffusé très largement à travers les hommes de cette planète la façon dont fonctionne leur cerveau, la façon dont ils l’utilisent et tant que l’on n’aura pas dit que jusqu’ici que cela a toujours été pour dominer l’autre, il y a peu de chance qu’il y ait quoi que ce soit qui change. " Henri Laborit.
Zoob
Biosmog a écrit :
Mais ce serait bien que ce type (le gars derrière son clavier) se mette enfin à un pseudo sincère. Parce que les jeux de déguisements mal faits, c'est lassant.
"Et c'est tout, terminé !"
Lao
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    Lao
    le 10 Aug 20, 11:11
Je suis bientôt devenu obsédé par les théories sur la violence et la domination dans les relations humaines. J’ai été stupéfait de constater que ce terrain de recherche était quasiment vierge. Il existait nombre de données expliquant avec précision les mécanismes de domination hiérarchiques dans une famille de lions, toute une littérature sur l’ordre de préséance chez quantité d’espèces d’oiseaux, les primatologues recueillaient de plus en plus d’informations sur le rôle de la domination et de l’agression dans les groupes sociaux de nos plus proches cousins, mais on ne savait presque rien sur les mécanismes de la violence humaine dans le cadre de la domination et de l’ordre social.
"Tant qu’on n’aura pas diffusé très largement à travers les hommes de cette planète la façon dont fonctionne leur cerveau, la façon dont ils l’utilisent et tant que l’on n’aura pas dit que jusqu’ici que cela a toujours été pour dominer l’autre, il y a peu de chance qu’il y ait quoi que ce soit qui change. " Henri Laborit.
Kandide
Lao a écrit :
Je suis bientôt devenu obsédé par les théories sur la violence et la domination dans les relations humaines. J’ai été stupéfait de constater que ce terrain de recherche était quasiment vierge. Il existait nombre de données expliquant avec précision les mécanismes de domination hiérarchiques dans une famille de lions, toute une littérature sur l’ordre de préséance chez quantité d’espèces d’oiseaux, les primatologues recueillaient de plus en plus d’informations sur le rôle de la domination et de l’agression dans les groupes sociaux de nos plus proches cousins, mais on ne savait presque rien sur les mécanismes de la violence humaine dans le cadre de la domination et de l’ordre social.
Zoob
Kandide a écrit :
Lao a écrit :
Je suis bientôt devenu obsédé par les théories sur la violence et la domination dans les relations humaines. J’ai été stupéfait de constater que ce terrain de recherche était quasiment vierge. Il existait nombre de données expliquant avec précision les mécanismes de domination hiérarchiques dans une famille de lions, toute une littérature sur l’ordre de préséance chez quantité d’espèces d’oiseaux, les primatologues recueillaient de plus en plus d’informations sur le rôle de la domination et de l’agression dans les groupes sociaux de nos plus proches cousins, mais on ne savait presque rien sur les mécanismes de la violence humaine dans le cadre de la domination et de l’ordre social.
exactement ce que j'ai voulu dire à mon psy
"Et c'est tout, terminé !"
balou
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[quote="Lao"]
Je suis bientôt devenu obsédé par les théories sur la violence et la domination dans les relations humaines. J’ai été stupéfait de constater que ce terrain de recherche était quasiment vierge.


Le mec obsédé par des théories qui n'existent pas...
Modérateur en grève. Vous pouvez déconner plein pot, je ne bougerai pas le petit doigt.
balou
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En fait, à moins que ce Dan Simmons ait vécu entre la préhistoire et le moyen-âge, il n'a pas dû chercher plus loin que sa collection d'extraits du Reader Digest...
Modérateur en grève. Vous pouvez déconner plein pot, je ne bougerai pas le petit doigt.
Lao
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  • #1722
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    Lao
    le 11 Aug 20, 18:54
Bon il faut comprendre que c'est un des personnages du roman qui parle - un psychiatre. J'ai aussi été étonné que ce terrain "soit vierge". Je lui aurait bien conseillé de lire des ouvrages de d'Henri Laborit.
"Tant qu’on n’aura pas diffusé très largement à travers les hommes de cette planète la façon dont fonctionne leur cerveau, la façon dont ils l’utilisent et tant que l’on n’aura pas dit que jusqu’ici que cela a toujours été pour dominer l’autre, il y a peu de chance qu’il y ait quoi que ce soit qui change. " Henri Laborit.
Kandide
Lao a écrit :
Bon il faut comprendre que c'est un des personnages du roman qui parle - un psychiatre. J'ai aussi été étonné que ce terrain "soit vierge". Je lui aurait bien conseillé de lire des ouvrages de d'Henri Laborit.
Lao
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  • #1724
  • Publié par
    Lao
    le 18 Aug 20, 15:53
La liberté économique, c'est la liberté pour le commerçant de s'enrichir sans limitation, et c'est la liberté pour le pauvre de mourir de faim.
"Tant qu’on n’aura pas diffusé très largement à travers les hommes de cette planète la façon dont fonctionne leur cerveau, la façon dont ils l’utilisent et tant que l’on n’aura pas dit que jusqu’ici que cela a toujours été pour dominer l’autre, il y a peu de chance qu’il y ait quoi que ce soit qui change. " Henri Laborit.
Lao
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  • #1725
  • Publié par
    Lao
    le 19 Aug 20, 19:52
Pierre Rabhi a écrit :
L'initiation à la modération est source de joie, car elle rend plus accessible la satisfaction, abolissant la frustration que produit le toujours-plus, entretenue en permanence par une publicité au talent pernicieux, dont tous les enfants devraient être protégés.
"Tant qu’on n’aura pas diffusé très largement à travers les hommes de cette planète la façon dont fonctionne leur cerveau, la façon dont ils l’utilisent et tant que l’on n’aura pas dit que jusqu’ici que cela a toujours été pour dominer l’autre, il y a peu de chance qu’il y ait quoi que ce soit qui change. " Henri Laborit.

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