Holydrag a écrit :
Tout simplement croire a autre chose que la croyance qu'on refute mais a partir du moment ou aucune des solution n'est universellement vraie tout ce qu'on peut penser ne sont que des CROYANCES.
Tu essai de jouer sur les mots et tu ne cherche pas a comprendre le sens de ce que je veut dire. Tu fais toujours preuve d'une superbe ouverture d'esprit, preuve en est ta petite remarque sur la scientologie dont tu ne semble toujours avoir rien compris...
non, j'utilise les mots avec leur sens commun. ne pas adhérer à l'objet d'une croyance revient à entretenir une non croyance en cet objet; pas de croyance, pas de non-croyance; si tu admets cette idée, alors je n'ai aucun problème à citer mes propres "croyances":
- je ne crois pas à l'immortalité de l'âme
- je ne crois pas à la réincarnation
- je ne crois pas au vaudou
- je ne crois pas aux esprits
- je ne crois pas aux miracles
- je ne crois pas à la destinée
- je ne crois pas à l'enfer
- je ne crois pas au paradis
...
tu remarqueras que je ne cite absolument rien d'inédit, je n'invente rien, je ne fais qu'objecter des concepts qui par construction ne peuvent être appréhendés en terme de "vrai" ou "faux" mais simplement d'acceptation, de refus ou d'indécision.
peut-on prouver la mortalité de l'esprit ? aucun sens...
peut-on prouver l'immortalité de l'esprit ? pas plus de sens.
en quoi affirmer qu'il existe
peut-être ou non quelque chose est-il une marque d'ouverture d'esprit ? en quoi le choix de douter -qui est parfaitement respectable- est-il plus lucide ou avisé que celui d'adhérer à un concept ou de ne pas y adhérer ?
NB: ma remarque sur la scientologie est tout sauf fortuite; vois-y si tu veux de la méchanceté, de la mesquinerie ou de l'étroitesse d'esprit, cela ne regarde que toi.
(+1 !)