rapideyemove a écrit :
fitipaldixxx a écrit :
Dans
cet océan de misère intellectuelle, nous sommes
les seuls à être un tout petit peu cultivé.
Alors là, je m'incline (presque).
À terre, j'admire l'effort.
Je note l'humour au passage, des degrés.
"
How Dark was the ground, how Cold was the night"
Mais il y fait trop chaud. Bizarrement.
Allez, encore un effort, si tu veux toucher le grandiose, la synesthésie, l'enthousiasme (dans son sens étymologique), que dis–je, l'apogée, voire la périgée.
En même temps, là, faut reconnaître que c'est déjà plutôt pas mal dosé !
Moi, je cours à mon hypogée, funèbre, «l
e dos courbé, les mains croisées, triste, et le jour pour moi sera comme la nuit...»
Dommage pour A.E. Van Vogt, énorme écrivain. :pleurs:
Lui sans lequel, par exemple, Philip K.Dick (
Ubik...etc...etc), Kurt Vonnegut Jr (Abattoir 5) et Robert Silverberg (
Les Monades urbaines,
L'Homme dans le labyrinthe) n'auraient sans doute pas été ceux qu'ils sont devenus.
Et la liste auraient dû être notablement plus longue.
Quoiqu'il faille bien reconnaître que AEVV n'avait pas compris grand chose à Aristote, principalement à la
Métaphysique, secondairement à l'
Organon.
Bof, ce n'est pas si important, après tout.
À ces titres, je m'abrège.