Monsieur M a écrit :
clarrissep a écrit :
vu l'esprit optus de certains, c'est ajouter un handicap supplémentaire
Donc, si on montre qu'il y a beaucoup de racistes en france, on devrait interdire l'adoption et la procréation chez les noirs, puisque, vu l'esprit o
btus de certains, cela créerait des handicaps pour l'enfant, et comme il ne faut penser qu'à lui.
Et d'ailleurs, puisque le bien être de l'enfant est plus important que tout, qu'il ne doit pas avoir à s'adapter, interdisons l'adoption et la procréation chez les classes les plus pauvres, parce qu'après tout, ce n'est pas un bon environnement pour l'enfant. Faisons des tranches : moins on est riches, moins on a le droit d'avoir d'enfant.
Hum...
De plus, on interdit pas les familles monoparentales en France, dont le nombre croit depuis 20 ans. Les pères de famille divorcés et qui n'ont pas la garde de leur(s) enfant(s) (9 hommes divorcés avec enfant sur 10...) voient très peu leurs enfants; la femme les élève seule. Ne devrait on pas interdire cela, puisque, d'après vous, c'est "nocif" ?
Je suis à 100% d'accord avec ton point de vue.
Il ne faut quand même pas oublier que nul ne part avec les mêmes chances. Si seuls ceux qui donnent des chances estimées optimales par la collectivité ont le droit d'avoir un enfant, on va vite se retrouver à la jouer façon Huxley...
Il ne faut pas dramatiser, les gens : chacun d'entre nous, même les plus normotypés du lot (parents unis, famille à revenus raisonnables, histoire banale) ont acquis un bagage et des cicatrices du fait même de la vie.
Prétendre vouloir optimiser celà en sélectionnant ceux pour lesquels le risque sera moindre est non seulement dangereux (comme le montre la caricature de Monsieur M), mais en plus parfaitement absurde.
Il ne faut pas oublier quand même qu'il ne s'agit pas d'autoriser massivement l'adoption pour tous les couples homosexuels. Il s'agit de réaliser un filtrage sans prendre en compte l'orientation sexuelle des parents et qui soient dons le même dans les cas de famille hétéors et dans les cas de familel homos. Les règles inhérentes à l'adoption
sont déjà en charge de vérifier que l'enfant sera confié à une famille saine, équilibrée, qui pourra subvenir à ses besoins matériels, affectifs et éducatifs.