Fabienm a écrit :
BiZ a écrit :
Fabienm a écrit :
Bobba a écrit :
Moi c'est pire, je roule à 50 au compteur, donc 46km/h environs... De meme que je ne depasse quasiment jamais le 100 au compteur (donc 90) en region parisienne.
Pourquoi ? Je sais pas... Je vois pas l'interet d'aller plus vite. J'arriverais pas plus tot (dingue ça hein ?)
alors là c'est fort
quelle que soit la vitesse, tu arrives à la même heure => franchement, vas-y à pied, tu produiras moins de gaz à effet de serre
Modulo 1 minute, je comprends ce qu'il veut dire. T'as beau foncer, t'as toujours un mec qui te ralentira, un mini bouchon etc qui feront qu'au final, tu auras gagné 30s sur un trajet de 20 minutes. Super. Bobba considère que c'est pas vraiment ça gagner du temps, et il a bien raison, surtout quand on voit ce que suce une bagnole quand tu appuyes.
j'ai bien compris ce qu'il voulait dire (merci les discours de sécurité routière
), c'est juste complètement idiot. De même que tu ne peux prévoir les évènements sus-cités, de sorte qu'ils se répartiront probablement équitablement dans les situations de sur-vitesse comme dans celles de sous-vitesse (et donc qu'ils te ralentiront probablement de manière équivalente dans les 2 situations), tu ne peux affirmer qu'en roulant à 45 km/h tu arriveras au même endroit à la même heure (même modulo 1 minute) 20 minutes plus tard qu'une personne roulant à 50 km/h. En fait, en l'occurence tu mettras probablement 2 minutes de moins (et 5 minutes de moins à 60 km/h).
Ca c'est la théorie..
Maintenant revenons à la vie réelle... Je traverse une partie de la region parisienne toutes les semaines pour mes repet. (A10/A6/A86/A3)
le trajet, c'est 90% d'autoroute et le reste de ville.
Ben je peux affirmer que dans 100% de mes voyages, ma vitesse (donc 90 au lieu de 110) n'a aucune influence (ou negligeable) sur le temps total de trajet.
Donc j'ai laissé tombé l'idée de rouler PILE POIL aux limitations, je me cale à 90, et le resultat est strictement le meme. (environ 3/4 d'heure quand ça roule bien)
"En fait on peut se demander si le mot 'télévision' est celui qui correspond à cette circulation extraordinaire, nouvelle, libre des images et des sons que l'on peut imaginer pour l'avenir. Tout ce que vous voyez arriver par le canal de ce câble, implique une participation active de chacun. Au fond, on ne trouve pas de mot. J'attend que des professionnels de la langue trouvent un mot nouveau qui définira très bien cette possibilité extraordinaire de circulation des informations."
Jean D'Arcy, 1969