Jazzprac,
je trouve cela assez terrible ton attitude....
C'est assez condescendant et hautain comme ton, mais passons, c'est sûrement plus de la maladresse et de la naïveté qu'autre chose et je ne vais pas m'arrêter sur la forme ni tes surinterprétations erronées.
Donc, permets-moi, malgré le fait que je ne sois pas un initié du monde de l'Edition du 6è, de redonner mon avis car apparemment, j'ai dû mal m'expliquer. (Je ne peux retenir que cette option là car vu ta profession, il est impossible que tu survoles les messages et que tu ne prêtes pas attention au sens véritable des mots)
Pour des journalistes écrivant dans des magazines musicaux (ouf, j'espère être assez clair là et puis pas faire une généralisation, hein, non, non, il me semble même que c'est le contraire de faire une généralisation, hein mais bon, on va pas faire un débat de sémantique non plus), donc, en tant que faisant partie des journalistes "musicaux", leur style est plutôt agréable, possède un certain cachet et me semble assez particulier.
Je ne juge pas de leur qualité d'écrivain mais de journalistes, ce qui doit être précisé dans leur statut auprès de la ccijp, et dans ce cadre, je considère (c'est mon avis, il n'engage que moi, donc tu peux être contre mais ne me dis pas que j'ai tort, s'il te plait, tu n'en as aucune légitimité) que ce sont des journalistes qui "stylistiquement" ont un certain talent.
Tu parles de la pauvreté du vocabulaire de Despentes et des procédés stylistiques répétitifs, bon, je ne sais pas, je n'irai pas jusque là, mais bon, tout le monde ne peut pas être Hunter Thompson, Selby ou Burroughs, hein (et encore certaines de ses oeuvres ...)
Après qu'ils ne te plaisent pas, je suis désolé, je ne peux rien y faire.
Ps: merci pour le conseil de la fin, j'essaierai de faire attention la prochaine fois.
I'm Jesus Fuck on ecstasy