Sprint25 a écrit :
uobes a écrit :
Salut les bacchus user :-)
Ils sont voicé comment les micros bhh chez bacchus ? Plutôt vintage, moderne ? C'est pas un niveau de sortie trop élevé ?
Sur mes Bacchus c'est souvent de Mojotones les micros. Mais en général chez Bacchus c'est un peu entre les 2, plus pêchus que du vintage mais on est pas dans l'esprit du très moderne pour autant.
Pas facile à définir ce côté soyeux et nerveux à la fois des Mojotones
.
En tout cas, les seuls que je connaisse (ou que tu connais aussi très bien, et pour cause) sur une certaine T Master que j'ai en ce moment dans l'œil et les oreilles.
Ma seule Bacchus, mais quelle Bacchus...
.
Je possède également une Ruokangas dans la même configuration micros relativement peu courante pour une Tele (donc un P90, aussi, en neck) mais ce sont des Haussel, plus dynamiques, précision et ouverture, au mediator et aux doigts ; donc aussi des micros plus analytiques, détaillés et moins veloutés ou rêveurs que les Mojotones, notamment sur la position intermédiaire.
L'équilibre mediator / doigts en hybrid picking est assez différent mais également magnifique sur les deux : plus lumineux et complexe sur la Ruo, mais chaque petite erreur s'entend ; compacité sonore plus roots avec la Bacchus, et plus proche du twang traditionnel qui me reste dans l'oreille avec ma Tele 52 de luthier et ses SP Custom.
Bon, en même temps, j'ai une touche érable sur la Ruo, une ébène sur la Bacchus Aqua Timber et une palissandre Cocobolo sur la 52...
Oui, pas facile facile...
Donc bien d'accord sur l'ensemble et l'équilibre de ton avis, malgré mon expérience bien plus restreinte que la tienne au sujet des demoiselles de Matsumoto...
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.
