Cav a écrit :
Cacher de si belles tables derrière du noir et du gold...
T'avais pas du déchet pour ça?
Vrai, celle-là, j'ai failli la faire et puis j'ai pas osé.
De toute façon, les flammes ou les ondes se reverront bien un jour, elles se mettront à table, en certains points où la nature du jeu portera sa relique :
play licks, riffs and tunes, just play tunes, time after time, verse after verse, blow after blow, and wounds, wounds too.
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.