Nicoco1 a écrit :
Je la prends
Sans la voir, l'écouter ?
C'est vrai que Nancy—les Pyrénées, c'est pas la porte à côté.
Tu as quelqu'un dans le coin, qui est susceptible de se déplacer et qui connaît deux trois choses malines sur les guitares, leurs petits miracles comme leurs petites cachotteries ?
« Chi va piano, va sano e va lontano »
«Wir leben unter finsteren Himmeln, und –es gibt wenig Menschen. Darum gibt es wohl auch so wenig Gedichte. Die Hoffnungen, die ich noch habe, sind nicht groß. Ich versuche, mir das mir Verbliebene zu erhalten. »
Paul Celan, 18 mai 1960, Lettre à Hans Bender.