Ce site est anonymisé, on ne sait pas qui le gère.
C'est quelque chose qui poste aussi sur Indy média.
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Outre le nom et le logo (une cocarde tricolore) de ce groupuscule, qui auraient dû mettre la puce à l’oreille de gens prétendant connaître l’extrême droite et lutter contre elle, un rapide coup d’oeil à la liste des interviewés suffit pour se rendre compte de son orientation :
- L’ex-humoriste Dieudonné (qu’on ne présente plus) [12] ;
- Le haut fonctionnaire François Asselineau, chef de l’Union populaire républicaine (UPR), parti souverainiste dont les militants se définissent eux-mêmes comme des « nationaux » et des « patriotes » [13] ;
- Le souverainiste Nicolas Dupont-Aignan [14] ;
- Charles Simon, cadre du Bloc identitaire [15] ;
- L’ineffable Jean Bricmont, intellectuel belge connu et reconnu pour son soutien indéfectible aux négationnistes et aux dictatures de Kadhafi et d’Assad (sous couvert d’antisionisme, d’anti-impérialisme et de défense de la liberté d’expression) [16] ;
- Jacob Cohen, ami du précédent dont les écrits et déclarations sont relayés par toute la fachosphère (Cercle des Volontaires, Egalité et Réconciliation, Olivia Zemor et Europalestine) et qui est décrit par le site antifasciste Opération Poulpe comme un « mythomane se prétendant ancien franc-maçon et dévoileur du grand complot des sayanim (en gros l’ensemble des Juifs de la diaspora presque tous agents du sionisme sauf Jacob Cohen et quelques autres) » [17] ;
- Encore parmi les amis de Jean Bricmont, le « journaliste » belge Michel Collon [18] , interdit de conférence à la Bourse du Travail il y a quelques mois pour son soutien aux dictateurs arabes [19] ;
- Et enfin, toujours de la même bande, Pierre Piccinin, qui soutenait le régime de Bachar Al-Assad jusqu’à ce qu’il ne se fasse torturer par ses milices [20] ;
- Piero San Giorgio, le survivaliste préféré d’Alain Soral [21] ;
- L’avocat Jacques Vergès, qui a défendu le nazi Klaus barbie, le négationniste Roger Garaudy, des dirigeants khmers rouges et qui est connu pour son soutien aux dictateurs des pays du Sud et notamment africains [22] ;
- Le « philosophe » médiatique et ultrasioniste Alain Finkielkraut, connu pour ses prises de position réactionnaires, anti-jeunes (surtout s’ils sont issus des classes populaires) et islamophobes et qui est présenté par le Cercle des Volontaires comme étant « de gauche » [23] ;
- Le complotiste souverainiste Etienne Chouard [24] ;
- Stéphane Guyot, leader du Parti du Vote blanc qui est en lien avec les néo-fascistes de La Dissidence [25] ;
- Le sarkozyste « social-libéral » Nicolas d’Héré, porte-parole du micro-parti associé à l’UMP « Gauche moderne » et invité à « débattre » face à François Asselineau au Café de Flore (lieu rebelle par excellence) [26] ;
- Divers responsables du mouvement « Pas en notre Nom », dont Le Cercle des Volontaires est membre, et qui s’est illustré par sa participation récurrente à tous les événements (manifestations, débats) de soutien à Bachar Al-Assad de ces derniers mois [27] ;
- Des Ivoiriens pro-Gabgbo et des réseaux panafricains comme le CRI panafricain, qui tous soutiennent les dictateurs africains supposés « anti-impérialistes » (dont Kadhafi) [28] ;
- etc.
On y trouve également un article sur la Syrie du barbouzard antisémite russo-israélo-suédois Israël Shamir [29], traduction du site rouge-brun américain Counterpunch dont il est un habitué [30].