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Football

Rappel du dernier message de la page précédente :
casseoreille
Je pressens chaque fois les matchs de l'Equipe de France, et j'essaye d'atténuer mes déceptions successives en me disant que peut-être le niveau des petites équipes s'est amélioré, et que les matchs sont devenus plus équilibrés, et donc plus durs à gagner!

Mais, je ne tire pas sur l'entraîneur, ce sont les joueurs qui sont les acteurs de leurs matchs et qui nous déçoivent trop souvent!

J'aurais bien aimé voir jouer Giroud, au moins une trentaine de minutes, juste le temps nécessaire pour nous sauver du ridicule!
Dodo13
bobofran a écrit :
Dodo13 a écrit :
Oui j'ai parlé trop vite, mais au début il a fait illusion...
Certains ont été écartés définitivement de l'EdF pour moins que ça !

Deschamps commence vraiment à me souler. Pourquoi ne pas faire la passation entre Lloris et Maignan maintenant ? Pourquoi rappeler régulièrement des joueurs qui ont maintes fois prouver qu'en EdF ils ne feraient jamais rien (Lemar, Martial) ? Pourquoi un jeu aussi verrouillé contre la Bosnie à Domicile ? Pourquoi on ne remplace jamais M'Bappé en cours de match (voire le faire rentrer à la mi-temps sur ce genre de match) ?

Veretout, à voir, mais j'avais des doutes qui n'ont pas été levés.


Ca ma fait mal mais je suis d'accord ! : )


Et t'es d'accord aussi que c'est Payet qui devrait avoir les clés du jeu en edf ???
"C'est pas une boîte de p'tit pois, Avi, comment tu veux que je l'ouvres?"
jules_albert


Neymar: Le contrat qui a rompu l'équilibre financier du monde du football

489 228 117 euros




EL MUNDO révèle l'accord que le Brésilien a signé avec le PSG en 2017, le deuxième le plus juteux de l'histoire du football. L'opération a coûté au club français 489 228 117 euros.

Article réservé aux abonnés: https://www.elmundo.es/deporte(...).html


Le deuxième contrat le plus juteux de l'histoire du football a été signé par le Paris Saint-Germain (PSG) et l'attaquant brésilien Neymar da Silva Santos, le 3 août 2017, à Barcelone. Cet accord prévoyait que le joueur toucherait un salaire brut annuel de 43 334 400 euros (incluant une prime automatique) pendant cinq saisons, plus une sixième prime de fidélité de 50 556 117 euros s'il restait dans le club. Une fois ajoutés les 222 millions d'euros avancés par le PSG pour payer la clause libératoire et recruter le joueur du Barça, l'opération Neymar aura demandé un investissement de 489 228 117 euros au grand club-État avec un capital qatari.

Le journal EL MUNDO a eu un accès exclusif à l'accord qui a fini par rompre l'équilibre financier du football mondial. En effet, l'irruption du Qatar, le propriétaire du PSG soutenu par le fonds souverain Qatar Investment Authority, a rendu possible une opération apparemment inconcevable. Et, au cours de la dernière saison, Neymar a renouvelé ce contrat avant son expiration. Mais, au-delà des ajustements fiscaux et des réductions de salaire collectives dues à la pandémie de Covid, les montants ont peu varié.

Le contrat de Neymar a été le prélude à la signature du contrat le plus mirobolant jamais signé dans l'histoire du sport, celui de l'Argentin Lionel Messi avec le Barça, trois mois plus tard. Cet autre accord s'élève à 555 237 619 euros, un chiffre révélé par EL MUNDO en janvier dernier. C'est également le tournant à partir duquel le nombre d'opérations dans le monde du football a explosé avec l'entrée en scène des «clubs-États», selon l'expression du président de la Ligue de football professionnel (LFP), Javier Tebas; à la tête de ces clubs-États se trouve le PSG sur lequel l'émir Tamim bin Hamad Al-Thani a misé pour donner une visibilité internationale à son pays.

Le contrat de Neymar est subdivisé en trois documents de 19 pages où les revenus, les obligations et les droits d'image du joueur sont fixés. Le salaire annuel brut établi est de 43 334 400 euros pour le joueur, avec l'inclusion d'une prime automatique.

185 MILLIONS D'EUROS NETS POUR SIX SAISONS
Pour apprécier l'importance de ce montant, il faut savoir qu'il représente plus du double du montant déboursé par le Real Madrid pour la dernière saison de Cristiano Ronaldo en Espagne. Dans le classement des salaires, Neymar se trouvait jusque-là derrière le Portugais ; il gagnait 17 millions nets lors de sa dernière saison au Barça. Après impôts, le joueur brésilien a touché 185 millions d'euros nets pour six saisons. Soit pas moins de 30 millions fixes garantis chaque année, quoi qu'il arrive. Seul son nouveau coéquipier et ami, Messi, peut se targuer d'avoir gagné plus que Neymar en jouant au football. L'attaquant argentin a en effet empoché le montant indépassable de 74 900 000 euros non imposables par saison, au cours de sa dernière étape au Barça. Soit plus de deux fois plus que le Brésilien.

Le contrat de plusieurs millions d'euros de Neymar établissait tout d'abord que le club français avait payé au Barça la plus grande clause libératoire jamais payée par un club, laquelle semblait, à l'époque, totalement inabordable : 222 millions d'euros.

Il s'agissait du prix que le club catalan avait fixé pour libérer le joueur jusqu'au 30 juin 2018 ; après cette date, ce montant devait passer à 250 millions. La somme de 94 millions que le Real Madrid a avancée pour la signature de Cristiano Ronaldo peut également servir de référence. La Juventus a racheté le joueur portugais il y a trois ans pour 112 millions d'euros. Le recrutement de l'attaquant brésilien Philippe Coutinho par le Barça (pour 160 millions d'euros) est justement une conséquence de la vente de Neymar. C'est aussi le cas de l'offre récente du Real Madrid pour Kylian Mbappé - 180 millions d'euros - même si elle n'a pas franchi la barre de l'opération Neymar.

En 2011, le club madrilène avait fait une offre pour le Brésilien. En signant un avant-contrat avec le joueur, daté du 5 juin de cette année-là, dans les bureaux de l'agent Wagner Ribeiro à Sao Paulo, le Real était prêt à débourser 95 millions d'euros. Le club espagnol lui aurait alors versé pendant cinq saisons cinq millions nets plus un million supplémentaire s'il figurait parmi les trois candidats au Ballon d'or, plus un autre s'il le remportait. Le club aurait fixé une clause libératoire de 200 millions. À cette époque, Neymar gagnait 33 000 euros bruts par semaine à Santos au Brésil ; l'offre du Real Madrid représentait cinq fois ses revenus.

Mais, dans l'accord de transfert, dûment fixé par le contrat auquel ce journal a eu accès, le PSG s'engage à assumer tout type d'éventualités qu'il s'agisse d'une réclamation du Barça ou d'un problème fiscal découlant de cette transaction. Cet accord a ainsi permis au club parisien de devenir propriétaire du joueur pour cinq saisons plus une optionnelle. Coût annuel moyen : 81,5 millions d'euros.

Après avoir signé le document, Neymar a ensuite déclaré : «Un athlète a besoin de défis». Il a assuré qu'il avait accepté la proposition du PSG «contre l'opinion» de son père et agent, car le club français lui avait «présenté un plan audacieux» pour lequel il se sentait «préparé». «Dans mon cur, je sens que le moment est venu pour moi de partir», a-t-il déclaré.

Le document signé entre le club propriété du Qatar et le joueur brésilien prévoit que Neymar bénéficiera des avantages fiscaux du statut d'impatrié : un avantage de 50 % en matière d'imposition vu que le joueur n'était pas domicilié fiscalement en France les cinq années précédant son transfert. Le PSG a ainsi pu atténuer considérablement l'opération en trouvant un accord avec le joueur sur les montants nets, en assumant les aléas fiscaux et en imposant son salaire à 30,77 %. Ce chiffre contraste avec les 50 % que les joueurs étrangers doivent payer en Espagne, les 45 % en Angleterre ou les 40 % en Allemagne.

Le contrat précise que la signature de Neymar avec le PSG s'est faite avec l'aide de deux agents du monde du sport, Laurent Gutsmuth, et le célèbre Israélien Pinhas Zahavi, l'un des principaux représentants du magnat Roman Abramovich à Chelsea. Les honoraires des deux agents, tout comme ceux du père du joueur, ont été réglés en dehors du contrat de l'attaquant brésilien ; ils ne figurent donc pas dans l'accord.

Une fois ces questions résolues, le document se penche sur l'essentiel, à savoir le salaire de l'international brésilien. Ainsi, entre 2017 et 2022, le PSG s'est engagé à verser à Neymar un montant fixe de 3 069 520 euros avant impôts chaque mois, ce qui, après impôts, donne 2 125 000 euros nets. En d'autres termes, Neymar était assuré de recevoir 43 334 400 euros par an. D'autre part, le PSG s'est engagé par écrit à ce que, quoi qu'il arrive, le joueur ne reçoive jamais moins de 30 millions nets par an.

De plus, le PSG s'engage à verser une prime supplémentaire, incluse dans le montant ci-dessus et s'élevant à 541 680 euros bruts par mois (6 500 160 euros par an) si le joueur remplit un certain nombre de conditions symboliques. Le contrat lui-même spécifie que, en toutes circonstances, ce revenu ne tombera jamais en dessous de 375 000 euros nets (4,5 millions d'euros par saison).

L'accord prévoit en outre un renouvellement automatique à la fin de la durée du contrat et pour une saison supplémentaire jusqu'au 30 juin 2023. Toutefois, cette possibilité est laissée à la discrétion du joueur, qui se réserve le droit d'exercer ce droit. « Pour éviter toute ambiguïté, le joueur pourra signer ou non l'avenant au contrat », stipule le document qui présente ladite année supplémentaire comme une récompense pour la fidélité du joueur au club français.

Le club parisien a accepté de verser au joueur la somme brute de 50 556 117 euros pour la sixième saison - salaire et primes compris ; soit 35 millions d'euros par an, ce qui représente une hausse de salaire considérable pour l'attaquant.

Le PSG indique clairement qu'il « définit la rémunération nette » comme le montant versé au joueur moins « les cotisations sociales, tous les impôts sur le revenu dus en France sur la rémunération versée par le PSG ». « C'est-à-dire l'impôt sur le revenu, la CSG-CRDS et les contributions additionnelles, la contribution exceptionnelle sur les hauts et très hauts revenus et tous les changements juridiques à introduire, y compris l'introduction de tout autre impôt ou contribution de toute nature sur les rémunérations ». C'est-à-dire « toutes les contributions exceptionnelles ou tout autre impôt de même nature basé sur la rémunération ».

De cette manière, le PSG met le joueur à l'abri de tout aléa fiscal et lui garantit des émoluments fixes et invariables. Ainsi, le PSG s'engage à « prendre en charge tous les aléas fiscaux » qui pourraient survenir afin que le salaire net convenu ne soit pas affecté. Mais aussi les « frais d'avocats que le club » désignera pour toute procédure judiciaire qui pourrait se présenter ainsi que les « frais de justice associés ».

De cette façon, le PSG protège le joueur contre d'hypothétiques hausses d'impôts, « le club prenant en charge les impôts supplémentaires avant leur date d'échéance ainsi que les éventuelles majorations, pénalités ou intérêts de retard ». Le PSG verserait donc une « rémunération supplémentaire » au joueur pour pallier cette hausse d'impôts, qui devrait bien sûr lui être remboursée si le club faisait appel et gagnait le procès contre le fisc français.

Une fois les conditions générales du contrat établies, le PSG lui impose, entre autres exigences de l'accord, « de satisfaire pleinement ses obligations fiscales françaises, qu'il s'agisse des aspects liés à ses déclarations fiscales et au paiement des impôts de toute nature, que ceux-ci soient ou non liés à la rémunération versée par le club ». Et le club le met en garde contre les éventuelles fraudes fiscales qu'il pourrait commettre, ce qu'il ne tolérerait à aucun moment, souligne-t-il.

DROITS D'IMAGE
Dans les trois documents formant l'épine dorsale du contrat de Neymar, une partie importante est concernée à l'exploitation des droits d'image du joueur, comme dans le cas de Lionel Messi.

Contrairement à l'accord de Messi avec le Barça, l'exploitation de l'image de l'attaquant brésilien liée au PSG, est cédée intégralement au club parisien. « Le joueur concède expressément et sans limitation au club le droit exclusif d'utiliser, reproduire, représenter, adapter et exploiter, sur tout support et par tout moyen, son image associée (au PSG) dans tous les pays du monde ». Le club français peut utiliser les supports comme bon lui semble. Qu'il s'agisse de « supports audio, vidéo, téléphoniques, affiches, pancartes, textiles d'intérieur ou articles de plage ».

En mai dernier, le PSG a annoncé officiellement que le contrat de Neymar, aujourd'hui âgé de 29 ans, était renouvelé jusqu'en 2025. Il a donc prorogé son contrat de plusieurs millions d'euros pour deux ans supplémentaires et aux conditions fixées au cours de la dernière signature, selon les informations obtenues par ce journal. Ces conditions sont d'ailleurs fort similaires à celles qui unissent le PSG et Lionel Messi pour deux saisons, un contrat qui fait du joueur argentin le joueur le mieux payé au monde aux côtés de Neymar.

Il y a deux ans à peine, le FC Barcelone a essayé de réengager Neymar, le joueur brésilien ayant été réclamé par Messi et d'autres poids lourds du vestiaire. Comme l'a révélé EL MUNDO, le père du joueur avait offert sans surprise ses services à l'ancien président Josep Maria Bartomeu, quelques mois plus tôt ; il avait évoqué le désir de Neymar de retourner en Espagne, suite à son manque de conformité avec le projet sportif du PSG. Le club catalan avait mis le pied à l'étrier et tenté de lancer l'opération, en analysant le contrat publié par EL MUNDO, ainsi que les exigences du père : 10 % du salaire net de son fils, 5 % du brut ou 10 % du prix du transfert.

L'État qatari a alors fixé un prix inaccessible pour son meilleur joueur, 300 millions d'euros, bloquant ainsi toute possibilité de transfert. Peu après, le club français a travaillé au renouvellement du contrat du joueur brésilien, selon le même schéma qu'il a maintenant déployé pour protéger Kylian Mbappé de l'offre millionnaire du Real Madrid. Pour garantir sa continuité, le club français cherche désormais à obtenir pour Mbappé des chiffres proches de ceux du contrat de Neymar.

Esteban Urreiztieta
4 septembre 2021










Sans valeur marchande : https://debord-encore.blogspot(...).html

La peste citoyenne. La classe moyenne et ses angoisses : http://parolesdesjours.free.fr(...)e.pdf
casseoreille
Encore un match nul, serions nous nuls, alors que nous jouons ni l'Angleterre, ni l'Allemagne, ni l'Italie, etc... Benzema ne m'a pas impressionné, il attend le ballon, trottine de temps à autre, et comme quelques uns de ses partenaires, joue à l'économie!

En voyant ces derniers matchs je me demande si je n'ai pas rêvé que nous étions les champions du monde!
bjeje
jules_albert a écrit :


Neymar: Le contrat qui a rompu l'équilibre financier du monde du football

489 228 117 euros




EL MUNDO révèle l'accord que le Brésilien a signé avec le PSG en 2017, le deuxième le plus juteux de l'histoire du football. L'opération a coûté au club français 489 228 117 euros.

Article réservé aux abonnés: https://www.elmundo.es/deporte(...).html


Le deuxième contrat le plus juteux de l'histoire du football a été signé par le Paris Saint-Germain (PSG) et l'attaquant brésilien Neymar da Silva Santos, le 3 août 2017, à Barcelone. Cet accord prévoyait que le joueur toucherait un salaire brut annuel de 43 334 400 euros (incluant une prime automatique) pendant cinq saisons, plus une sixième prime de fidélité de 50 556 117 euros s'il restait dans le club. Une fois ajoutés les 222 millions d'euros avancés par le PSG pour payer la clause libératoire et recruter le joueur du Barça, l'opération Neymar aura demandé un investissement de 489 228 117 euros au grand club-État avec un capital qatari.

Le journal EL MUNDO a eu un accès exclusif à l'accord qui a fini par rompre l'équilibre financier du football mondial. En effet, l'irruption du Qatar, le propriétaire du PSG soutenu par le fonds souverain Qatar Investment Authority, a rendu possible une opération apparemment inconcevable. Et, au cours de la dernière saison, Neymar a renouvelé ce contrat avant son expiration. Mais, au-delà des ajustements fiscaux et des réductions de salaire collectives dues à la pandémie de Covid, les montants ont peu varié.

Le contrat de Neymar a été le prélude à la signature du contrat le plus mirobolant jamais signé dans l'histoire du sport, celui de l'Argentin Lionel Messi avec le Barça, trois mois plus tard. Cet autre accord s'élève à 555 237 619 euros, un chiffre révélé par EL MUNDO en janvier dernier. C'est également le tournant à partir duquel le nombre d'opérations dans le monde du football a explosé avec l'entrée en scène des «clubs-États», selon l'expression du président de la Ligue de football professionnel (LFP), Javier Tebas; à la tête de ces clubs-États se trouve le PSG sur lequel l'émir Tamim bin Hamad Al-Thani a misé pour donner une visibilité internationale à son pays.

Le contrat de Neymar est subdivisé en trois documents de 19 pages où les revenus, les obligations et les droits d'image du joueur sont fixés. Le salaire annuel brut établi est de 43 334 400 euros pour le joueur, avec l'inclusion d'une prime automatique.

185 MILLIONS D'EUROS NETS POUR SIX SAISONS
Pour apprécier l'importance de ce montant, il faut savoir qu'il représente plus du double du montant déboursé par le Real Madrid pour la dernière saison de Cristiano Ronaldo en Espagne. Dans le classement des salaires, Neymar se trouvait jusque-là derrière le Portugais ; il gagnait 17 millions nets lors de sa dernière saison au Barça. Après impôts, le joueur brésilien a touché 185 millions d'euros nets pour six saisons. Soit pas moins de 30 millions fixes garantis chaque année, quoi qu'il arrive. Seul son nouveau coéquipier et ami, Messi, peut se targuer d'avoir gagné plus que Neymar en jouant au football. L'attaquant argentin a en effet empoché le montant indépassable de 74 900 000 euros non imposables par saison, au cours de sa dernière étape au Barça. Soit plus de deux fois plus que le Brésilien.

Le contrat de plusieurs millions d'euros de Neymar établissait tout d'abord que le club français avait payé au Barça la plus grande clause libératoire jamais payée par un club, laquelle semblait, à l'époque, totalement inabordable : 222 millions d'euros.

Il s'agissait du prix que le club catalan avait fixé pour libérer le joueur jusqu'au 30 juin 2018 ; après cette date, ce montant devait passer à 250 millions. La somme de 94 millions que le Real Madrid a avancée pour la signature de Cristiano Ronaldo peut également servir de référence. La Juventus a racheté le joueur portugais il y a trois ans pour 112 millions d'euros. Le recrutement de l'attaquant brésilien Philippe Coutinho par le Barça (pour 160 millions d'euros) est justement une conséquence de la vente de Neymar. C'est aussi le cas de l'offre récente du Real Madrid pour Kylian Mbappé - 180 millions d'euros - même si elle n'a pas franchi la barre de l'opération Neymar.

En 2011, le club madrilène avait fait une offre pour le Brésilien. En signant un avant-contrat avec le joueur, daté du 5 juin de cette année-là, dans les bureaux de l'agent Wagner Ribeiro à Sao Paulo, le Real était prêt à débourser 95 millions d'euros. Le club espagnol lui aurait alors versé pendant cinq saisons cinq millions nets plus un million supplémentaire s'il figurait parmi les trois candidats au Ballon d'or, plus un autre s'il le remportait. Le club aurait fixé une clause libératoire de 200 millions. À cette époque, Neymar gagnait 33 000 euros bruts par semaine à Santos au Brésil ; l'offre du Real Madrid représentait cinq fois ses revenus.

Mais, dans l'accord de transfert, dûment fixé par le contrat auquel ce journal a eu accès, le PSG s'engage à assumer tout type d'éventualités qu'il s'agisse d'une réclamation du Barça ou d'un problème fiscal découlant de cette transaction. Cet accord a ainsi permis au club parisien de devenir propriétaire du joueur pour cinq saisons plus une optionnelle. Coût annuel moyen : 81,5 millions d'euros.

Après avoir signé le document, Neymar a ensuite déclaré : «Un athlète a besoin de défis». Il a assuré qu'il avait accepté la proposition du PSG «contre l'opinion» de son père et agent, car le club français lui avait «présenté un plan audacieux» pour lequel il se sentait «préparé». «Dans mon cur, je sens que le moment est venu pour moi de partir», a-t-il déclaré.

Le document signé entre le club propriété du Qatar et le joueur brésilien prévoit que Neymar bénéficiera des avantages fiscaux du statut d'impatrié : un avantage de 50 % en matière d'imposition vu que le joueur n'était pas domicilié fiscalement en France les cinq années précédant son transfert. Le PSG a ainsi pu atténuer considérablement l'opération en trouvant un accord avec le joueur sur les montants nets, en assumant les aléas fiscaux et en imposant son salaire à 30,77 %. Ce chiffre contraste avec les 50 % que les joueurs étrangers doivent payer en Espagne, les 45 % en Angleterre ou les 40 % en Allemagne.

Le contrat précise que la signature de Neymar avec le PSG s'est faite avec l'aide de deux agents du monde du sport, Laurent Gutsmuth, et le célèbre Israélien Pinhas Zahavi, l'un des principaux représentants du magnat Roman Abramovich à Chelsea. Les honoraires des deux agents, tout comme ceux du père du joueur, ont été réglés en dehors du contrat de l'attaquant brésilien ; ils ne figurent donc pas dans l'accord.

Une fois ces questions résolues, le document se penche sur l'essentiel, à savoir le salaire de l'international brésilien. Ainsi, entre 2017 et 2022, le PSG s'est engagé à verser à Neymar un montant fixe de 3 069 520 euros avant impôts chaque mois, ce qui, après impôts, donne 2 125 000 euros nets. En d'autres termes, Neymar était assuré de recevoir 43 334 400 euros par an. D'autre part, le PSG s'est engagé par écrit à ce que, quoi qu'il arrive, le joueur ne reçoive jamais moins de 30 millions nets par an.

De plus, le PSG s'engage à verser une prime supplémentaire, incluse dans le montant ci-dessus et s'élevant à 541 680 euros bruts par mois (6 500 160 euros par an) si le joueur remplit un certain nombre de conditions symboliques. Le contrat lui-même spécifie que, en toutes circonstances, ce revenu ne tombera jamais en dessous de 375 000 euros nets (4,5 millions d'euros par saison).

L'accord prévoit en outre un renouvellement automatique à la fin de la durée du contrat et pour une saison supplémentaire jusqu'au 30 juin 2023. Toutefois, cette possibilité est laissée à la discrétion du joueur, qui se réserve le droit d'exercer ce droit. « Pour éviter toute ambiguïté, le joueur pourra signer ou non l'avenant au contrat », stipule le document qui présente ladite année supplémentaire comme une récompense pour la fidélité du joueur au club français.

Le club parisien a accepté de verser au joueur la somme brute de 50 556 117 euros pour la sixième saison - salaire et primes compris ; soit 35 millions d'euros par an, ce qui représente une hausse de salaire considérable pour l'attaquant.

Le PSG indique clairement qu'il « définit la rémunération nette » comme le montant versé au joueur moins « les cotisations sociales, tous les impôts sur le revenu dus en France sur la rémunération versée par le PSG ». « C'est-à-dire l'impôt sur le revenu, la CSG-CRDS et les contributions additionnelles, la contribution exceptionnelle sur les hauts et très hauts revenus et tous les changements juridiques à introduire, y compris l'introduction de tout autre impôt ou contribution de toute nature sur les rémunérations ». C'est-à-dire « toutes les contributions exceptionnelles ou tout autre impôt de même nature basé sur la rémunération ».

De cette manière, le PSG met le joueur à l'abri de tout aléa fiscal et lui garantit des émoluments fixes et invariables. Ainsi, le PSG s'engage à « prendre en charge tous les aléas fiscaux » qui pourraient survenir afin que le salaire net convenu ne soit pas affecté. Mais aussi les « frais d'avocats que le club » désignera pour toute procédure judiciaire qui pourrait se présenter ainsi que les « frais de justice associés ».

De cette façon, le PSG protège le joueur contre d'hypothétiques hausses d'impôts, « le club prenant en charge les impôts supplémentaires avant leur date d'échéance ainsi que les éventuelles majorations, pénalités ou intérêts de retard ». Le PSG verserait donc une « rémunération supplémentaire » au joueur pour pallier cette hausse d'impôts, qui devrait bien sûr lui être remboursée si le club faisait appel et gagnait le procès contre le fisc français.

Une fois les conditions générales du contrat établies, le PSG lui impose, entre autres exigences de l'accord, « de satisfaire pleinement ses obligations fiscales françaises, qu'il s'agisse des aspects liés à ses déclarations fiscales et au paiement des impôts de toute nature, que ceux-ci soient ou non liés à la rémunération versée par le club ». Et le club le met en garde contre les éventuelles fraudes fiscales qu'il pourrait commettre, ce qu'il ne tolérerait à aucun moment, souligne-t-il.

DROITS D'IMAGE
Dans les trois documents formant l'épine dorsale du contrat de Neymar, une partie importante est concernée à l'exploitation des droits d'image du joueur, comme dans le cas de Lionel Messi.

Contrairement à l'accord de Messi avec le Barça, l'exploitation de l'image de l'attaquant brésilien liée au PSG, est cédée intégralement au club parisien. « Le joueur concède expressément et sans limitation au club le droit exclusif d'utiliser, reproduire, représenter, adapter et exploiter, sur tout support et par tout moyen, son image associée (au PSG) dans tous les pays du monde ». Le club français peut utiliser les supports comme bon lui semble. Qu'il s'agisse de « supports audio, vidéo, téléphoniques, affiches, pancartes, textiles d'intérieur ou articles de plage ».

En mai dernier, le PSG a annoncé officiellement que le contrat de Neymar, aujourd'hui âgé de 29 ans, était renouvelé jusqu'en 2025. Il a donc prorogé son contrat de plusieurs millions d'euros pour deux ans supplémentaires et aux conditions fixées au cours de la dernière signature, selon les informations obtenues par ce journal. Ces conditions sont d'ailleurs fort similaires à celles qui unissent le PSG et Lionel Messi pour deux saisons, un contrat qui fait du joueur argentin le joueur le mieux payé au monde aux côtés de Neymar.

Il y a deux ans à peine, le FC Barcelone a essayé de réengager Neymar, le joueur brésilien ayant été réclamé par Messi et d'autres poids lourds du vestiaire. Comme l'a révélé EL MUNDO, le père du joueur avait offert sans surprise ses services à l'ancien président Josep Maria Bartomeu, quelques mois plus tôt ; il avait évoqué le désir de Neymar de retourner en Espagne, suite à son manque de conformité avec le projet sportif du PSG. Le club catalan avait mis le pied à l'étrier et tenté de lancer l'opération, en analysant le contrat publié par EL MUNDO, ainsi que les exigences du père : 10 % du salaire net de son fils, 5 % du brut ou 10 % du prix du transfert.

L'État qatari a alors fixé un prix inaccessible pour son meilleur joueur, 300 millions d'euros, bloquant ainsi toute possibilité de transfert. Peu après, le club français a travaillé au renouvellement du contrat du joueur brésilien, selon le même schéma qu'il a maintenant déployé pour protéger Kylian Mbappé de l'offre millionnaire du Real Madrid. Pour garantir sa continuité, le club français cherche désormais à obtenir pour Mbappé des chiffres proches de ceux du contrat de Neymar.

Esteban Urreiztieta
4 septembre 2021












Et ?
"Il y a plusieurs façons d'être con, mais le con choisit toujours la pire"
fabh
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bjeje a écrit :
jules_albert a écrit :


Neymar: Le contrat qui a rompu l'équilibre financier du monde du football

489 228 117 euros




EL MUNDO révèle l'accord que le Brésilien a signé avec le PSG en 2017, le deuxième le plus juteux de l'histoire du football. L'opération a coûté au club français 489 228 117 euros.

Article réservé aux abonnés: https://www.elmundo.es/deporte(...).html


Le deuxième contrat le plus juteux de l'histoire du football a été signé par le Paris Saint-Germain (PSG) et l'attaquant brésilien Neymar da Silva Santos, le 3 août 2017, à Barcelone. Cet accord prévoyait que le joueur toucherait un salaire brut annuel de 43 334 400 euros (incluant une prime automatique) pendant cinq saisons, plus une sixième prime de fidélité de 50 556 117 euros s'il restait dans le club. Une fois ajoutés les 222 millions d'euros avancés par le PSG pour payer la clause libératoire et recruter le joueur du Barça, l'opération Neymar aura demandé un investissement de 489 228 117 euros au grand club-État avec un capital qatari.

Le journal EL MUNDO a eu un accès exclusif à l'accord qui a fini par rompre l'équilibre financier du football mondial. En effet, l'irruption du Qatar, le propriétaire du PSG soutenu par le fonds souverain Qatar Investment Authority, a rendu possible une opération apparemment inconcevable. Et, au cours de la dernière saison, Neymar a renouvelé ce contrat avant son expiration. Mais, au-delà des ajustements fiscaux et des réductions de salaire collectives dues à la pandémie de Covid, les montants ont peu varié.

Le contrat de Neymar a été le prélude à la signature du contrat le plus mirobolant jamais signé dans l'histoire du sport, celui de l'Argentin Lionel Messi avec le Barça, trois mois plus tard. Cet autre accord s'élève à 555 237 619 euros, un chiffre révélé par EL MUNDO en janvier dernier. C'est également le tournant à partir duquel le nombre d'opérations dans le monde du football a explosé avec l'entrée en scène des «clubs-États», selon l'expression du président de la Ligue de football professionnel (LFP), Javier Tebas; à la tête de ces clubs-États se trouve le PSG sur lequel l'émir Tamim bin Hamad Al-Thani a misé pour donner une visibilité internationale à son pays.

Le contrat de Neymar est subdivisé en trois documents de 19 pages où les revenus, les obligations et les droits d'image du joueur sont fixés. Le salaire annuel brut établi est de 43 334 400 euros pour le joueur, avec l'inclusion d'une prime automatique.

185 MILLIONS D'EUROS NETS POUR SIX SAISONS
Pour apprécier l'importance de ce montant, il faut savoir qu'il représente plus du double du montant déboursé par le Real Madrid pour la dernière saison de Cristiano Ronaldo en Espagne. Dans le classement des salaires, Neymar se trouvait jusque-là derrière le Portugais ; il gagnait 17 millions nets lors de sa dernière saison au Barça. Après impôts, le joueur brésilien a touché 185 millions d'euros nets pour six saisons. Soit pas moins de 30 millions fixes garantis chaque année, quoi qu'il arrive. Seul son nouveau coéquipier et ami, Messi, peut se targuer d'avoir gagné plus que Neymar en jouant au football. L'attaquant argentin a en effet empoché le montant indépassable de 74 900 000 euros non imposables par saison, au cours de sa dernière étape au Barça. Soit plus de deux fois plus que le Brésilien.

Le contrat de plusieurs millions d'euros de Neymar établissait tout d'abord que le club français avait payé au Barça la plus grande clause libératoire jamais payée par un club, laquelle semblait, à l'époque, totalement inabordable : 222 millions d'euros.

Il s'agissait du prix que le club catalan avait fixé pour libérer le joueur jusqu'au 30 juin 2018 ; après cette date, ce montant devait passer à 250 millions. La somme de 94 millions que le Real Madrid a avancée pour la signature de Cristiano Ronaldo peut également servir de référence. La Juventus a racheté le joueur portugais il y a trois ans pour 112 millions d'euros. Le recrutement de l'attaquant brésilien Philippe Coutinho par le Barça (pour 160 millions d'euros) est justement une conséquence de la vente de Neymar. C'est aussi le cas de l'offre récente du Real Madrid pour Kylian Mbappé - 180 millions d'euros - même si elle n'a pas franchi la barre de l'opération Neymar.

En 2011, le club madrilène avait fait une offre pour le Brésilien. En signant un avant-contrat avec le joueur, daté du 5 juin de cette année-là, dans les bureaux de l'agent Wagner Ribeiro à Sao Paulo, le Real était prêt à débourser 95 millions d'euros. Le club espagnol lui aurait alors versé pendant cinq saisons cinq millions nets plus un million supplémentaire s'il figurait parmi les trois candidats au Ballon d'or, plus un autre s'il le remportait. Le club aurait fixé une clause libératoire de 200 millions. À cette époque, Neymar gagnait 33 000 euros bruts par semaine à Santos au Brésil ; l'offre du Real Madrid représentait cinq fois ses revenus.

Mais, dans l'accord de transfert, dûment fixé par le contrat auquel ce journal a eu accès, le PSG s'engage à assumer tout type d'éventualités qu'il s'agisse d'une réclamation du Barça ou d'un problème fiscal découlant de cette transaction. Cet accord a ainsi permis au club parisien de devenir propriétaire du joueur pour cinq saisons plus une optionnelle. Coût annuel moyen : 81,5 millions d'euros.

Après avoir signé le document, Neymar a ensuite déclaré : «Un athlète a besoin de défis». Il a assuré qu'il avait accepté la proposition du PSG «contre l'opinion» de son père et agent, car le club français lui avait «présenté un plan audacieux» pour lequel il se sentait «préparé». «Dans mon cur, je sens que le moment est venu pour moi de partir», a-t-il déclaré.

Le document signé entre le club propriété du Qatar et le joueur brésilien prévoit que Neymar bénéficiera des avantages fiscaux du statut d'impatrié : un avantage de 50 % en matière d'imposition vu que le joueur n'était pas domicilié fiscalement en France les cinq années précédant son transfert. Le PSG a ainsi pu atténuer considérablement l'opération en trouvant un accord avec le joueur sur les montants nets, en assumant les aléas fiscaux et en imposant son salaire à 30,77 %. Ce chiffre contraste avec les 50 % que les joueurs étrangers doivent payer en Espagne, les 45 % en Angleterre ou les 40 % en Allemagne.

Le contrat précise que la signature de Neymar avec le PSG s'est faite avec l'aide de deux agents du monde du sport, Laurent Gutsmuth, et le célèbre Israélien Pinhas Zahavi, l'un des principaux représentants du magnat Roman Abramovich à Chelsea. Les honoraires des deux agents, tout comme ceux du père du joueur, ont été réglés en dehors du contrat de l'attaquant brésilien ; ils ne figurent donc pas dans l'accord.

Une fois ces questions résolues, le document se penche sur l'essentiel, à savoir le salaire de l'international brésilien. Ainsi, entre 2017 et 2022, le PSG s'est engagé à verser à Neymar un montant fixe de 3 069 520 euros avant impôts chaque mois, ce qui, après impôts, donne 2 125 000 euros nets. En d'autres termes, Neymar était assuré de recevoir 43 334 400 euros par an. D'autre part, le PSG s'est engagé par écrit à ce que, quoi qu'il arrive, le joueur ne reçoive jamais moins de 30 millions nets par an.

De plus, le PSG s'engage à verser une prime supplémentaire, incluse dans le montant ci-dessus et s'élevant à 541 680 euros bruts par mois (6 500 160 euros par an) si le joueur remplit un certain nombre de conditions symboliques. Le contrat lui-même spécifie que, en toutes circonstances, ce revenu ne tombera jamais en dessous de 375 000 euros nets (4,5 millions d'euros par saison).

L'accord prévoit en outre un renouvellement automatique à la fin de la durée du contrat et pour une saison supplémentaire jusqu'au 30 juin 2023. Toutefois, cette possibilité est laissée à la discrétion du joueur, qui se réserve le droit d'exercer ce droit. « Pour éviter toute ambiguïté, le joueur pourra signer ou non l'avenant au contrat », stipule le document qui présente ladite année supplémentaire comme une récompense pour la fidélité du joueur au club français.

Le club parisien a accepté de verser au joueur la somme brute de 50 556 117 euros pour la sixième saison - salaire et primes compris ; soit 35 millions d'euros par an, ce qui représente une hausse de salaire considérable pour l'attaquant.

Le PSG indique clairement qu'il « définit la rémunération nette » comme le montant versé au joueur moins « les cotisations sociales, tous les impôts sur le revenu dus en France sur la rémunération versée par le PSG ». « C'est-à-dire l'impôt sur le revenu, la CSG-CRDS et les contributions additionnelles, la contribution exceptionnelle sur les hauts et très hauts revenus et tous les changements juridiques à introduire, y compris l'introduction de tout autre impôt ou contribution de toute nature sur les rémunérations ». C'est-à-dire « toutes les contributions exceptionnelles ou tout autre impôt de même nature basé sur la rémunération ».

De cette manière, le PSG met le joueur à l'abri de tout aléa fiscal et lui garantit des émoluments fixes et invariables. Ainsi, le PSG s'engage à « prendre en charge tous les aléas fiscaux » qui pourraient survenir afin que le salaire net convenu ne soit pas affecté. Mais aussi les « frais d'avocats que le club » désignera pour toute procédure judiciaire qui pourrait se présenter ainsi que les « frais de justice associés ».

De cette façon, le PSG protège le joueur contre d'hypothétiques hausses d'impôts, « le club prenant en charge les impôts supplémentaires avant leur date d'échéance ainsi que les éventuelles majorations, pénalités ou intérêts de retard ». Le PSG verserait donc une « rémunération supplémentaire » au joueur pour pallier cette hausse d'impôts, qui devrait bien sûr lui être remboursée si le club faisait appel et gagnait le procès contre le fisc français.

Une fois les conditions générales du contrat établies, le PSG lui impose, entre autres exigences de l'accord, « de satisfaire pleinement ses obligations fiscales françaises, qu'il s'agisse des aspects liés à ses déclarations fiscales et au paiement des impôts de toute nature, que ceux-ci soient ou non liés à la rémunération versée par le club ». Et le club le met en garde contre les éventuelles fraudes fiscales qu'il pourrait commettre, ce qu'il ne tolérerait à aucun moment, souligne-t-il.

DROITS D'IMAGE
Dans les trois documents formant l'épine dorsale du contrat de Neymar, une partie importante est concernée à l'exploitation des droits d'image du joueur, comme dans le cas de Lionel Messi.

Contrairement à l'accord de Messi avec le Barça, l'exploitation de l'image de l'attaquant brésilien liée au PSG, est cédée intégralement au club parisien. « Le joueur concède expressément et sans limitation au club le droit exclusif d'utiliser, reproduire, représenter, adapter et exploiter, sur tout support et par tout moyen, son image associée (au PSG) dans tous les pays du monde ». Le club français peut utiliser les supports comme bon lui semble. Qu'il s'agisse de « supports audio, vidéo, téléphoniques, affiches, pancartes, textiles d'intérieur ou articles de plage ».

En mai dernier, le PSG a annoncé officiellement que le contrat de Neymar, aujourd'hui âgé de 29 ans, était renouvelé jusqu'en 2025. Il a donc prorogé son contrat de plusieurs millions d'euros pour deux ans supplémentaires et aux conditions fixées au cours de la dernière signature, selon les informations obtenues par ce journal. Ces conditions sont d'ailleurs fort similaires à celles qui unissent le PSG et Lionel Messi pour deux saisons, un contrat qui fait du joueur argentin le joueur le mieux payé au monde aux côtés de Neymar.

Il y a deux ans à peine, le FC Barcelone a essayé de réengager Neymar, le joueur brésilien ayant été réclamé par Messi et d'autres poids lourds du vestiaire. Comme l'a révélé EL MUNDO, le père du joueur avait offert sans surprise ses services à l'ancien président Josep Maria Bartomeu, quelques mois plus tôt ; il avait évoqué le désir de Neymar de retourner en Espagne, suite à son manque de conformité avec le projet sportif du PSG. Le club catalan avait mis le pied à l'étrier et tenté de lancer l'opération, en analysant le contrat publié par EL MUNDO, ainsi que les exigences du père : 10 % du salaire net de son fils, 5 % du brut ou 10 % du prix du transfert.

L'État qatari a alors fixé un prix inaccessible pour son meilleur joueur, 300 millions d'euros, bloquant ainsi toute possibilité de transfert. Peu après, le club français a travaillé au renouvellement du contrat du joueur brésilien, selon le même schéma qu'il a maintenant déployé pour protéger Kylian Mbappé de l'offre millionnaire du Real Madrid. Pour garantir sa continuité, le club français cherche désormais à obtenir pour Mbappé des chiffres proches de ceux du contrat de Neymar.

Esteban Urreiztieta
4 septembre 2021












Et ?


Ca valait bien le coup de quoter pour ça
Biosmog: "T'es franchement pathétique."
bjeje
Je maintiens...et ?
Je cherche encore l'intérêt du post...
"Il y a plusieurs façons d'être con, mais le con choisit toujours la pire"
fabh
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C'est Jules Albert, il n'y a jamais ni d'intérêt à part copier des textes entiers sur le forum
Biosmog: "T'es franchement pathétique."
PierredesElfes
En attendant l' EDF a encore brillé en Ukraine ....lol
La vie s'écoule comme l'eau d' un ruisseau, chaque mètre parcouru est à jamais perdu ...
bjeje
fabh a écrit :
C'est Jules Albert, il n'y a jamais ni d'intérêt à part copier des textes entiers sur le forum


C’est une passion ?
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bjeje
Tu traines encore ici toi ?
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oldamp
fabh a écrit :
bjeje a écrit :
jules_albert a écrit :


Neymar: Le contrat qui a rompu l'équilibre financier du monde du football

489 228 117 euros




EL MUNDO révèle l'accord que le Brésilien a signé avec le PSG en 2017, le deuxième le plus juteux de l'histoire du football. L'opération a coûté au club français 489 228 117 euros.

Article réservé aux abonnés: https://www.elmundo.es/deporte(...).html


Le deuxième contrat le plus juteux de l'histoire du football a été signé par le Paris Saint-Germain (PSG) et l'attaquant brésilien Neymar da Silva Santos, le 3 août 2017, à Barcelone. Cet accord prévoyait que le joueur toucherait un salaire brut annuel de 43 334 400 euros (incluant une prime automatique) pendant cinq saisons, plus une sixième prime de fidélité de 50 556 117 euros s'il restait dans le club. Une fois ajoutés les 222 millions d'euros avancés par le PSG pour payer la clause libératoire et recruter le joueur du Barça, l'opération Neymar aura demandé un investissement de 489 228 117 euros au grand club-État avec un capital qatari.

Le journal EL MUNDO a eu un accès exclusif à l'accord qui a fini par rompre l'équilibre financier du football mondial. En effet, l'irruption du Qatar, le propriétaire du PSG soutenu par le fonds souverain Qatar Investment Authority, a rendu possible une opération apparemment inconcevable. Et, au cours de la dernière saison, Neymar a renouvelé ce contrat avant son expiration. Mais, au-delà des ajustements fiscaux et des réductions de salaire collectives dues à la pandémie de Covid, les montants ont peu varié.

Le contrat de Neymar a été le prélude à la signature du contrat le plus mirobolant jamais signé dans l'histoire du sport, celui de l'Argentin Lionel Messi avec le Barça, trois mois plus tard. Cet autre accord s'élève à 555 237 619 euros, un chiffre révélé par EL MUNDO en janvier dernier. C'est également le tournant à partir duquel le nombre d'opérations dans le monde du football a explosé avec l'entrée en scène des «clubs-États», selon l'expression du président de la Ligue de football professionnel (LFP), Javier Tebas; à la tête de ces clubs-États se trouve le PSG sur lequel l'émir Tamim bin Hamad Al-Thani a misé pour donner une visibilité internationale à son pays.

Le contrat de Neymar est subdivisé en trois documents de 19 pages où les revenus, les obligations et les droits d'image du joueur sont fixés. Le salaire annuel brut établi est de 43 334 400 euros pour le joueur, avec l'inclusion d'une prime automatique.

185 MILLIONS D'EUROS NETS POUR SIX SAISONS
Pour apprécier l'importance de ce montant, il faut savoir qu'il représente plus du double du montant déboursé par le Real Madrid pour la dernière saison de Cristiano Ronaldo en Espagne. Dans le classement des salaires, Neymar se trouvait jusque-là derrière le Portugais ; il gagnait 17 millions nets lors de sa dernière saison au Barça. Après impôts, le joueur brésilien a touché 185 millions d'euros nets pour six saisons. Soit pas moins de 30 millions fixes garantis chaque année, quoi qu'il arrive. Seul son nouveau coéquipier et ami, Messi, peut se targuer d'avoir gagné plus que Neymar en jouant au football. L'attaquant argentin a en effet empoché le montant indépassable de 74 900 000 euros non imposables par saison, au cours de sa dernière étape au Barça. Soit plus de deux fois plus que le Brésilien.

Le contrat de plusieurs millions d'euros de Neymar établissait tout d'abord que le club français avait payé au Barça la plus grande clause libératoire jamais payée par un club, laquelle semblait, à l'époque, totalement inabordable : 222 millions d'euros.

Il s'agissait du prix que le club catalan avait fixé pour libérer le joueur jusqu'au 30 juin 2018 ; après cette date, ce montant devait passer à 250 millions. La somme de 94 millions que le Real Madrid a avancée pour la signature de Cristiano Ronaldo peut également servir de référence. La Juventus a racheté le joueur portugais il y a trois ans pour 112 millions d'euros. Le recrutement de l'attaquant brésilien Philippe Coutinho par le Barça (pour 160 millions d'euros) est justement une conséquence de la vente de Neymar. C'est aussi le cas de l'offre récente du Real Madrid pour Kylian Mbappé - 180 millions d'euros - même si elle n'a pas franchi la barre de l'opération Neymar.

En 2011, le club madrilène avait fait une offre pour le Brésilien. En signant un avant-contrat avec le joueur, daté du 5 juin de cette année-là, dans les bureaux de l'agent Wagner Ribeiro à Sao Paulo, le Real était prêt à débourser 95 millions d'euros. Le club espagnol lui aurait alors versé pendant cinq saisons cinq millions nets plus un million supplémentaire s'il figurait parmi les trois candidats au Ballon d'or, plus un autre s'il le remportait. Le club aurait fixé une clause libératoire de 200 millions. À cette époque, Neymar gagnait 33 000 euros bruts par semaine à Santos au Brésil ; l'offre du Real Madrid représentait cinq fois ses revenus.

Mais, dans l'accord de transfert, dûment fixé par le contrat auquel ce journal a eu accès, le PSG s'engage à assumer tout type d'éventualités qu'il s'agisse d'une réclamation du Barça ou d'un problème fiscal découlant de cette transaction. Cet accord a ainsi permis au club parisien de devenir propriétaire du joueur pour cinq saisons plus une optionnelle. Coût annuel moyen : 81,5 millions d'euros.

Après avoir signé le document, Neymar a ensuite déclaré : «Un athlète a besoin de défis». Il a assuré qu'il avait accepté la proposition du PSG «contre l'opinion» de son père et agent, car le club français lui avait «présenté un plan audacieux» pour lequel il se sentait «préparé». «Dans mon cur, je sens que le moment est venu pour moi de partir», a-t-il déclaré.

Le document signé entre le club propriété du Qatar et le joueur brésilien prévoit que Neymar bénéficiera des avantages fiscaux du statut d'impatrié : un avantage de 50 % en matière d'imposition vu que le joueur n'était pas domicilié fiscalement en France les cinq années précédant son transfert. Le PSG a ainsi pu atténuer considérablement l'opération en trouvant un accord avec le joueur sur les montants nets, en assumant les aléas fiscaux et en imposant son salaire à 30,77 %. Ce chiffre contraste avec les 50 % que les joueurs étrangers doivent payer en Espagne, les 45 % en Angleterre ou les 40 % en Allemagne.

Le contrat précise que la signature de Neymar avec le PSG s'est faite avec l'aide de deux agents du monde du sport, Laurent Gutsmuth, et le célèbre Israélien Pinhas Zahavi, l'un des principaux représentants du magnat Roman Abramovich à Chelsea. Les honoraires des deux agents, tout comme ceux du père du joueur, ont été réglés en dehors du contrat de l'attaquant brésilien ; ils ne figurent donc pas dans l'accord.

Une fois ces questions résolues, le document se penche sur l'essentiel, à savoir le salaire de l'international brésilien. Ainsi, entre 2017 et 2022, le PSG s'est engagé à verser à Neymar un montant fixe de 3 069 520 euros avant impôts chaque mois, ce qui, après impôts, donne 2 125 000 euros nets. En d'autres termes, Neymar était assuré de recevoir 43 334 400 euros par an. D'autre part, le PSG s'est engagé par écrit à ce que, quoi qu'il arrive, le joueur ne reçoive jamais moins de 30 millions nets par an.

De plus, le PSG s'engage à verser une prime supplémentaire, incluse dans le montant ci-dessus et s'élevant à 541 680 euros bruts par mois (6 500 160 euros par an) si le joueur remplit un certain nombre de conditions symboliques. Le contrat lui-même spécifie que, en toutes circonstances, ce revenu ne tombera jamais en dessous de 375 000 euros nets (4,5 millions d'euros par saison).

L'accord prévoit en outre un renouvellement automatique à la fin de la durée du contrat et pour une saison supplémentaire jusqu'au 30 juin 2023. Toutefois, cette possibilité est laissée à la discrétion du joueur, qui se réserve le droit d'exercer ce droit. « Pour éviter toute ambiguïté, le joueur pourra signer ou non l'avenant au contrat », stipule le document qui présente ladite année supplémentaire comme une récompense pour la fidélité du joueur au club français.

Le club parisien a accepté de verser au joueur la somme brute de 50 556 117 euros pour la sixième saison - salaire et primes compris ; soit 35 millions d'euros par an, ce qui représente une hausse de salaire considérable pour l'attaquant.

Le PSG indique clairement qu'il « définit la rémunération nette » comme le montant versé au joueur moins « les cotisations sociales, tous les impôts sur le revenu dus en France sur la rémunération versée par le PSG ». « C'est-à-dire l'impôt sur le revenu, la CSG-CRDS et les contributions additionnelles, la contribution exceptionnelle sur les hauts et très hauts revenus et tous les changements juridiques à introduire, y compris l'introduction de tout autre impôt ou contribution de toute nature sur les rémunérations ». C'est-à-dire « toutes les contributions exceptionnelles ou tout autre impôt de même nature basé sur la rémunération ».

De cette manière, le PSG met le joueur à l'abri de tout aléa fiscal et lui garantit des émoluments fixes et invariables. Ainsi, le PSG s'engage à « prendre en charge tous les aléas fiscaux » qui pourraient survenir afin que le salaire net convenu ne soit pas affecté. Mais aussi les « frais d'avocats que le club » désignera pour toute procédure judiciaire qui pourrait se présenter ainsi que les « frais de justice associés ».

De cette façon, le PSG protège le joueur contre d'hypothétiques hausses d'impôts, « le club prenant en charge les impôts supplémentaires avant leur date d'échéance ainsi que les éventuelles majorations, pénalités ou intérêts de retard ». Le PSG verserait donc une « rémunération supplémentaire » au joueur pour pallier cette hausse d'impôts, qui devrait bien sûr lui être remboursée si le club faisait appel et gagnait le procès contre le fisc français.

Une fois les conditions générales du contrat établies, le PSG lui impose, entre autres exigences de l'accord, « de satisfaire pleinement ses obligations fiscales françaises, qu'il s'agisse des aspects liés à ses déclarations fiscales et au paiement des impôts de toute nature, que ceux-ci soient ou non liés à la rémunération versée par le club ». Et le club le met en garde contre les éventuelles fraudes fiscales qu'il pourrait commettre, ce qu'il ne tolérerait à aucun moment, souligne-t-il.

DROITS D'IMAGE
Dans les trois documents formant l'épine dorsale du contrat de Neymar, une partie importante est concernée à l'exploitation des droits d'image du joueur, comme dans le cas de Lionel Messi.

Contrairement à l'accord de Messi avec le Barça, l'exploitation de l'image de l'attaquant brésilien liée au PSG, est cédée intégralement au club parisien. « Le joueur concède expressément et sans limitation au club le droit exclusif d'utiliser, reproduire, représenter, adapter et exploiter, sur tout support et par tout moyen, son image associée (au PSG) dans tous les pays du monde ». Le club français peut utiliser les supports comme bon lui semble. Qu'il s'agisse de « supports audio, vidéo, téléphoniques, affiches, pancartes, textiles d'intérieur ou articles de plage ».

En mai dernier, le PSG a annoncé officiellement que le contrat de Neymar, aujourd'hui âgé de 29 ans, était renouvelé jusqu'en 2025. Il a donc prorogé son contrat de plusieurs millions d'euros pour deux ans supplémentaires et aux conditions fixées au cours de la dernière signature, selon les informations obtenues par ce journal. Ces conditions sont d'ailleurs fort similaires à celles qui unissent le PSG et Lionel Messi pour deux saisons, un contrat qui fait du joueur argentin le joueur le mieux payé au monde aux côtés de Neymar.

Il y a deux ans à peine, le FC Barcelone a essayé de réengager Neymar, le joueur brésilien ayant été réclamé par Messi et d'autres poids lourds du vestiaire. Comme l'a révélé EL MUNDO, le père du joueur avait offert sans surprise ses services à l'ancien président Josep Maria Bartomeu, quelques mois plus tôt ; il avait évoqué le désir de Neymar de retourner en Espagne, suite à son manque de conformité avec le projet sportif du PSG. Le club catalan avait mis le pied à l'étrier et tenté de lancer l'opération, en analysant le contrat publié par EL MUNDO, ainsi que les exigences du père : 10 % du salaire net de son fils, 5 % du brut ou 10 % du prix du transfert.

L'État qatari a alors fixé un prix inaccessible pour son meilleur joueur, 300 millions d'euros, bloquant ainsi toute possibilité de transfert. Peu après, le club français a travaillé au renouvellement du contrat du joueur brésilien, selon le même schéma qu'il a maintenant déployé pour protéger Kylian Mbappé de l'offre millionnaire du Real Madrid. Pour garantir sa continuité, le club français cherche désormais à obtenir pour Mbappé des chiffres proches de ceux du contrat de Neymar.

Esteban Urreiztieta
4 septembre 2021












Et ?


Ca valait bien le coup de quoter pour ça


Source ?
PierredesElfes
manulonch a écrit :
PierredesElfes a écrit :
En attendant l' EDF a encore brillé en Ukraine ....lol


Ils y ont apporté la lumière ??
Sacrée équipe l"électricité de France !!!


Plutot une lumiere noire ou un stroboscope ..( une fois je te vois une fois je te vois pas ...)

La vie s'écoule comme l'eau d' un ruisseau, chaque mètre parcouru est à jamais perdu ...
Zorzi
Ce topic est devenu un défouloir pour rageux…

Hier, le temps de découvrir qui était sur le terrain et constater qu'il s'agissait d'une équipe expérimentale, j'ai changé de programme, persuadé qu'on allait perdre ce match. L'étonnant, c'est d'avoir marqué un but avec cette équipe-là. Je ne sais pas ce qui lui prend au DD mais on dirait qu'il donne raison à Valbuena qui disait il y a peu qu'il avait perdu les clés du camion.
Jim Morrison
Zorzi a écrit :
Ce topic est devenu un défouloir pour rageux…

Hier, le temps de découvrir qui était sur le terrain et constater qu'il s'agissait d'une équipe expérimentale, j'ai changé de programme, persuadé qu'on allait perdre ce match. L'étonnant, c'est d'avoir marqué un but avec cette équipe-là. Je ne sais pas ce qui lui prend au DD mais on dirait qu'il donne raison à Valbuena qui disait il y a peu qu'il avait perdu les clés du camion.
Ouais. Pourtant je suis plutôt un défenseur de DD, mais en ce moment j'ai du mal à (le) suivre...
Directement connecté depuis ma tombe du Père Lachaise. On n'arrête pas le progrès...

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