rapideyemove a écrit :
Mais, rassure–toi, je me suis distrait, en te répondant, mon petit Emerson.
Pour me faire tomber dans je ne sais quel panneau, ou même en concevoir seulement l'ébauche, il y faut dépenser bien d'autres moyens.
Et ne pas se borner à la morale, je veux dire aux commodités de l'après–coup.
Mais je vois que cela t'a échappé.
Ce jour, sous mes yeux, n'en demeurera pas moins gris et mes mots sous le vent.
Pas le tien.
Cela va sans dire.
Allez, je te laisse à ton cœur et à ses monopoles.
Quant à l'esprit, gageons qu'il saura circuler, encore, et battre jusqu'aux tempes. Au bout du souffle.
Et peut-être accédera-t-on enfin au cœur, à l'horizon.
PS : Garde-moi au chaud le mot de «mégères», il m'est allé droit au ... droit au... ?
Droit au cœur, si j'en fais l'hypothèse.
J'aurais cependant préféré que tu nous appelles « The merry wives » of G dot com.
Et cette bonne feuille très austère et véridique : «
ça me saoule ces philosophes et mystiques à deux balles qui sévissent sur les forums, qui se défont pour un rien, perdent leur sang froid en agissant et s'exprimant comme n'importe quel type dans la rue.» me réjouit, tu ne peux pas deviner comment.
D'où, selon toute apparence, ton recours à l'image du miroir, ensuite, une fois ce verdict tombé, soufflé à la buée, sans tain.
Du verbe à l'acte, de l'acte à l'idée, de l'idée à sa représentation.
Quant à la présence, alors là, c'est une autre affaire.
Dommage, tes emportements étaient prometteurs.
Allez, de ce pas clair, et serein, un dernier bécot.
Tu remplis des tartines mon petit bonhomme. Ah le soufisme !