De retour de déjeuner, un joli mail m'attendait dans ma boite mail, envoyé par le collegue en question (cf. premier post):
Objet: Sindrome Post Aborto (Reino Unido)
(Syndrôme post avortement)
Los psiquiatras británicos advierten contra el síndrome post-aborto
Les psychiatres Britanniques mettent en garde contre le syndrôme post avortement
El Royal College of Psychiatrists, la principal organización
profesional de psiquiatras del Reino Unido, ha dado un importante giro
a sus recomendaciones en torno a la relación entre aborto y salud
mental.
(Le RCP, principale organisation de psychiatres du royaume uni a donné un virage important a ses recommandations liées a la relation entre l'avortement et la santé mentale.
En 1994, esta institución marcó una línea interpretativa muy clara con
su respuesta especializada a una pregunta hecha por Lord Rawlison, en
aquel entonces parlamentario de la Cámara de los Comunes. A la
cuestión sobre los efectos psíquicos y psico-sociales en las mujeres
de la práctica de abortos, el Colegio contestó de manera concluyente:
"Los riesgos para la salud psíquica de la interrupción de un embarazo
en el primer trimestre son mucho menores que los riesgos asociados al
hecho de seguir adelante con un embarazo que está perjudicando
claramente la salud mental de la madre".
En 94 cette institution avait fait fourni une réponse claire avec des réponses précises a une question faite par Lord Rawlinson, alors parlementaire de la Chambre des comunes (??), A la question sur les effets psychiques et psycho-sociaux sur les femmes ayant pratiqué l'avortement, le Collège a répondu de manière concluante:
"les risques pour la santé psychique de l'IVG durant le premier trimestre son bien moindre que les risques liés a la poursuite d'une grosesse mettant clairement en péril la santé mentale de la mère.
Pues bien, el pasado 14 de marzo el Colegio dio marcha atrás: el
aborto voluntario supone un riesgo importante para la salud mental de
las madres y, por tanto, recomienda que se asesore convenientemente
sobre estos riesgos a quienes deseen abortar. Las indicaciones que dan
bajan a detalles prácticos y recomiendan actualizar la información lo
antes posible con la edición de folletos que incluyan detalles de los
riesgos de depresión a raíz de un aborto, pues "no puede haber
consentimiento informado –se dice en las conclusiones– si no se
suministra una información adecuada y apropiada".
Cela dit, le 14 Mars dernier, le collège a fait marche arrière: l'IVG laisse supposer un risque important pour la santé mentale de la mere, et de même, recommandent que cette solution soit convenablement expliquée avec les risques liés a qui veut avorter. Les indications donnés se concrétisent par des détails pratiques, et recommandent une mise a jours de l'information le plus rapidement possible avec l'éditions de dépliants incluants les détails des risques de dépressions suite a un avortement, et par le fait "il ne peut pas y avoir de consentement éclairé - dit-on en conclusion - si on ne fourni pas l'information adequat et adaptée".
Hay que tener en cuenta que la opinión pública inglesa está muy
sensibilizada por la cuestión: a principios de este año, se publicaron
los detalles de la muerte de Emma Beck, ocurrida en 2007. La joven
artista británica, de 30 años, que había abortado a sus dos gemelos,
apareció ahorcada, dejando a sus familiares una conmovedora nota: "La
vida es un infierno para mí, yo nunca debería haber abortado, habría
sido una buena madre. Quiero estar con mis bebés, necesitan de mí más
que nadie". La familia de Beck culpó al estamento médico de no haber
informado con acierto a la joven.
Il faut prendre en compte le fait que l'opinion publique anglaise est tres sensible a la question: au début de cette année, la presse a publié les détails de la mort de Emma Beck en 2007. La jeune artiste britannique de 30 ans, qui avait avorté de jumeaux, a été retrouvée pendue en laissant a sa famille une lettre disant "la vie est devenue un enfer pour moi, je n'aurais jamais du avorter, j'aurais été une bonne mère. Je veux être avec mes bébés, Ils ont besoin de moi plus que n'importe qui". La famille Beck a fustigé le domaine médical de ne pas avoir sufisamment informé la jeune femme.
La revisión de la doctrina del Real Colegio se enmarca en el contexto
de la controversia que ocupa estas semanas los puestos principales de
la discusión política británica: la reducción del plazo para abortar
de 24 a 20 semanas. Según el Sunday Times, el 59% de las mujeres apoya
esa reducción, y sólo un 28% está a favor de mantener el límite
actual.
La relecture de la doctrine du College s'est situé dans le contexte de la controverse qui occupe ces dernieres semaines les principaux postes de la discussion politique britannique: la réduction du délai d'avortement de 24 a 20 semaines.Selon le Sunday Times, 59% des femmes approuvent cette réduction et seulement 28% sont en faveur de la limite actuelle.
Para la diputada conservadora Nadine Dorries, el nuevo planteamiento
del Colegio de Psiquiatras podría acabar con muchas arbitrariedades:
"Que un médico tramite la solicitud de aborto de una mujer, sin darle
el apoyo y la información que necesita en ese momento de crisis, me
parece casi como un caso de malos tratos". Del mismo parecer es el Dr.
Peter Saunders, secretario general del Christian Medical Fellowship:
"¿Cómo puede un médico justificar ahora un aborto por razones de salud
mental [motivo que se invoca para más del 90% de los 200.000 abortos
anuales que se practican en Gran Bretaña], si los psiquiatras mismos
dudan que haya pruebas claras de que proseguir el embarazo pueda
causar problemas psíquicos?".
Pour la députée conservatrice Nadine Dorries, la nouvelle approche du College de Psychiatres pourrait déboucher sur beaucoup de jugements différents:
"Qu'un médecin prenne en charge la demande d'IVG d'une femme, sans lui donner l'e soutient et l'information dont elle a besoin en ce mment de crise, me paraît être un cas de mauvais traitement". Le Dr Peter Saunders, secrétaire général du la "confederation des médecins chrétiens" est du même avis: "comment un médecin peut-il justifier un avortement maintenant pour des raisons de santé mentale [raison invoquée dans 90% des cas des 200 000 avortements pratiqés en GB], si les psychiatres eux-mêmes doutent qu'il y ait des preuves claires que poursuivre une grossesse peut produire des problemes psychiques?"
lunes, 07 de abril de 2008
Samedi 14 juillet 1997
la trad est relativement fidèle hein, mais bon je suis pas encore bilingue.
J'avais pas forcément envie de lire ca apres bouffer, mais bon. Je m'attendais a pire.