La Grece, sa crise, son peuple

je crois qu'il parlait de l'avis des autres populations dans le cas où on imagine des référendums ailleurs en Europe.....pour faire changer l'Europe.

faut lire l'ensemble de la conversation pas seulement la dernière ligne...

Pardon?

La propagande du OUI vue de l'intérieur :

http://www.keeptalkinggreece.c(...)fire/

Mais de ce que j'entends, j'ai aussi l'impression que tous ces mensonges vont se retourner contre leur pourvoyeurs. Mon estimation perso, si j'en vois ce qui se passe autour de moi, je dirais 70% pour le NON. Apres comme ce n'est peut être pas représentatif, je dirais pour être large entre 60% et 70%.

-fx

http://tempsreel.nouvelobs.com(...).html

Dans tous les cas il y aura un énorme décalage entre les sondages/estimations et la réalité. (Comme à chaque élection importante cela dit, mais encore plus fort...)

Bah au moins Tsipras saura ou trouver de l'argent pour la suite

-fx

Bien vu

https://twitter.com/CBCNews/st(...)oto/1

Incorrigibles ces grecs, ça va jusqu'à faire participer les enfants pour faire du bourrage d'urnes, ils sont vraiment pas sérieux

Vu sur le live du Figaro :


à 10:15
SUR PLACE - Témoignage de Markos, un Grec qui vit à Paris

De notre journaliste en Grèce :
Markos, trentenaire grec vivant à Paris, est arrivé hier soir à Athènes et reprendra dès cet après-midi l'avion pour la France. "J'ai un mémoire à rendre mardi, mais mon devoir civique est beaucoup plus important", explique ce farouche partisan du oui, ancien élève de l'ENA. Pour lui comme pour de nombreux expatriés, le vote électronique n'était pas possible. Ce qui le désole, étant donné le nombre important de Grecs ayant émigré en Europe ces dernières années. "Beaucoup ne pourront pas forcément rentrer pour voter - cet aller-retour imprévu me coûte 500 euros. C'est autant de voix en moins pour le oui...", regrette-t-il.

Propos recueillis par Marie Bartnik à Corinthe


Un énarque grec qui vote oui, quelle surprise...

La victoire du NON serait (sera?) un espoir pour tous ceux qui refusent que leur vie soit dictée par les ukases des criminels boursiers. Comment dit-on "podemos" en grec?

(Au passage merci à fx et autres pour ce long topic qui m'a rendu -un peu- moins con.)

Pas forcément, on voit bien qu'il faut évoluer vers une démocratie participative et internet s'y prêterait plutôt bien.
Si un pays ne souhaitait ne plus côtiser à l'Euro, de quel droit le retiendrait-on ? à moins que l'Europe ne soit déjà devenu l'EURSS ?
Le seul problème du référendum c'est qu'il emmerde les rentiers (politiciens + financiers).

Y'a quand même une question technique que je me pose, si les pays commencent à sortir un par un de la zone euro, c'est qui qui est censé régler les monceaux de dettes que la BCE a racheté (et qui continue à le faire). Le dernier couillon qui y est resté ?
Je pense que tout a du être prévu mais je serais curieux de savoir comment cela s'organiserait.

Je pense qu'au contraire rien n'a été prévu,donc si la dette n'est pas remboursée,faut voir comment ça se passe

c'est la question a 1 million de dollars

les allemands sont les plus riches donc...

Techniquement la BCE ne peut pas faire faillite au sens traditionnel du terme, par contre dans un tel scénario l'Euro sera forcément amené à crever par perte de crédibilité, et donc la BCE avec lui vu que c'est sa seule raison d'être.

(Quant aux autres pays, aucun ne paiera ses dettes à la BCE, tous feront défaut.)

+3.
Tout ce qu'ils ont prévu c'est qu'on ne puisse pas en sortir.
#€URSS