daeronbass a écrit :
alors ferme la et retourne chez les bisounours, mes problèmes de vocabulaire et moi on va continuer a défendre le progrès .
Tiens d'ailleur quel est la notion du progrès que tu défend ?
à l'heure ou les progressistes militent pour le droit des femmes à vendre leur enfant par le biais de la GPA ? à l'heure ou le progrès permet à des labos privé de vendre par correspondance des spermatozoïdes ou des ovules sur catalogue, à l'heure de la séléction génétique, du clonage et bientot pourquoi pas, de la gestation masculine ?
A l'heure ou justement on commence à prendre conscience des ravages du progrès à tout crin, des ogm, des pesticides , des océans de plastiques, du zyklon B à la bombe atomique ...
Faut il toujours que nous experimentions tout sur l'homme afin de se rendre compte toujours trop tard de l'horreur dans laquelle on se plonge pour un petit bénéfice immédiat ?
N'est on pas un tout petit peu capable de réfléchir aux consequence de nos actes quitte à parfois, accepter de ne pas "progresser " dans tout ?
On pointe du doigt dans ce débat toujours et encore la "morale" sous entendue "morale catho" répugnante et gluante selon ceux qui au passage la connaissent si mal. Mais "la morale" du bon sens, de la réflexion, de la conscience, bordel de merde qu'a t elle fait de mal ? Pour reprendre les mots de Rabelais qui n'etait pas particulièrement cul béni :
"science sans conscience n'est que ruine de l'ame " c'etait il y a 500 ans !! 500 putains d'années et si l'on vit surement mieux aujourd'hui qu'a l'epoque grace à des progrès sociaux et médicaux qui ne peuvent appeler à la critique, faut bien admettre d'un autre coté que pour satisfaire des petits interets privés et avec l'accélération des possibles on ne sait jamais aussi bien torché le cul avec cette maxime...
"L'équitation n'est pas végane. Il ne s'agit pas seulement de ne pas faire souffrir les animaux, mais de ne pas les utiliser, ce qui est le cas. Une vraie interaction serait qu'un cheval sauvage vienne te voir de lui même, avec éventuellement un petit travail d'approche préalable, sans le brusquer, comme le renard et le petit prince."