Bon, je vous le mets en exclu ! Je pense encore y apporter quelques modifications, notamment sur la fin que je juge encore un peu trop facile et "orale".
Les mots à placer (26 ) (Delcr tu auras probablement vu les "consignes" supplémentaires sur le post qui dévoile le sujet de ce logorallye):
Ambiance - Balourd - Cerises - Double - Événement - Feu - Gros - Hache - Impossible - Jeu - Kiwi - Lampe - Moisson - Nouvelle - Octave - Pyromane - Querelle - Raisonnable - Souris - Tartine - Universelle - Véridique - Wagon - Xylophone - Yo-yo – Zoo
L'histoire:
Lampe Clic-Clac
Semblable à des cerises en querelle, ils se frôlent, se contrent, s’envoient en l’air. Ah, satané yo-yo d’individus qui s’accolent, s’embrassent et se dérobent. C’est à en vomir, cette recette si raisonnable. Foutus beurriers de tartines, oh non !, partout, ça dégouline ! Votre confiture est un tourment. Mon cœur en est balourd.
Lumière sur toi, moisson de regards sur le rose moelleux de tes lèvres. Ah, mon beau pyromane de sentiments. On se crêpe, on en rajoute des tonnes. Voilà que la cuisine prend feu pour un simple oui, mais non moindre événement.
Un jour, je te mangerai, fichu quidam à plumes ! Et cette passion qui me dévore ira croquer quelqu'un d'autre. Stu mfuis, jte suis. C’est donc bel et bien une loi universelle. En vers et contre nous, changement d’octave sur trois hivers. Comme le temps passe, aucune vergogne. Que diable, nous avons déjà même abandonné l’automne ! Ta bouche ! Je craque. Souris encore une fois ! On croirait la sortie du grand huit !, une chute au précipice d’où finalement l’on s’envole. Ciel, m’en voici une nouvelle fois tout exsangue. Mon cœur éclate !, mon Moi s’affole.
Je ne sais plus.
Nouvelle ambiance, retour au vide. Inside souffle une peine livide. Chaque appel ricoche et s’écorche langoureusement à l’ami silence. L’ambiance devient pâle, l’envie d’un impossible annihile le plus clair de mes soupirs. Oh, ugly like me. Chante et joue m’en du Staind, rends ma vie chaotique avec ton wagon de délires, ton apanage d’ignorance et tes complaintes.
Est-ce donc un jeu ? Y a t’il seulement des règles à ce xylophone d’émotions sur lequel tu cognes ? Je n’aime pas ce jeu. Double annonce : tu n’es d’ailleurs plus même mon camarade.
Tes histoires sont à couper à la hache. Ton discours trop gros pour que je l'avale.
Finalement le temps passe. Chaque dimanche poursuit sa monotonie et la pression de mon cœur se relâche. Lentement… on l’entend encore battre trop fort lorsque, ma musique aux oreilles, je fredonne un vieil Outside. C’est effrayant pour qui me croise : cette pauvre fille a sûrement des sentiments. La maladie de notre époque. Pauvre petite, elle doit se sentir pareille à une souris enfermée dans une cage de zoo.
Ah, j’aimerais tant respirer de façon plus ample. Mes minuscules poumons m’en empêchent.
Oh, et puis fini la peine ! Critique soudaine mais véridique : je décide de me sentir bien. Je valse de bonheur, rions-en ! Je n’aimais pas me sentir mal de toute façon. A croire que l’on se laisse descendre par dégoût du bien être, pour l’agrément de la souffrance. Retour à l’euphorie, à quand bien même je retrouverai le sourire grâce à un simple kiwi !
A côté de ça j'ai lu pas mal de citations de Vian, j'aime beaucoup sa façon de doser le dérisoire du réaliste. Il ne tombe pas dans la caricature comme d'autres et c'est très agréable à lire. =) Une fois mes révisions finies jvais essayer de lire "L'écume des jours".
edit: rah jviens de réaliser qu'il manquait le mot "gros"
ayé, l'est calé (c'est moche le mot gros en fait Oo)
P.S.: Ca fait plaisir de te voir sur le forum Delcr. ^^
A Certain Romance